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Michel1664
21 abonnés
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3,0
Publiée le 11 octobre 2022
Point positif : Nous sommes aujourd’hui en 2022 est « Soleil Vert » reste bien de la science-fiction :-) L’intérêt principal de ce film réside surtout dans son futur dystopique bien flippant : la surpopulation, la nature décimée, la famine, une écrasante majorité d’ultra pauvre, une toute petite minorité d’ultra riche, des prostitués qui ont un statut de meuble (sic), etc … La narration et la progression de l’enquête est quand à elle juste moyenne (et c’est un peu étonnant que dans ce triste monde corrompu, un simple flic comme Charlton Heston ne se fasse pas flinguer dans l’indifférence générale en moins de 5mn !). Même si je n’ai jamais vu ce film, il est devenu tellement culte qu’on sait dès le début de quoi il retourne, ça gâche malheureusement pas mal l’effet de surprise, d’où le petit 3 étoiles.
soleil vert est un film d'anticipation visionaire glacant de pessimisme sur l'ecologie la surpopulation et les carrences alimentaires qui en découlent. les dirigeants devraient le voir et y reflechir avant qu'on en arrive la. un grand classique de la S.F
Un classique de la science fiction, dystopie sur la surpopulation, que je ne divulgacherais pas. Je ne mets plus 5* aujourd'hui car la réalisation et le film lui-même ont vieilli. Mais on est tout de même très proche du chez d'oeuvre quasi intemporel.
Un chef d’œuvre ! Il a beaucoup vieilli (un demi-siècle) donc il sera difficile à voir et à comprendre pour la génération z. Quoi qu’il en soit, à sa sortie, ce film était une dystopie et il est devenu futuriste puisqu’on en arrivera là à courte échéance...
Grand classique de la science-fiction des années 70, Soleil vert situe son action en 2022 (!) et imagine un monde où les ressources naturelles sont épuisées, où le climat est devenu caniculaire, où une seule multinationale monopolise toutes les richesses et où les femmes sont réduites à l’état d’objets. Les nantis quant à eux vivent dans des ghettos grillagés, bénéficiant de tout le confort moderne, quand le petit peuple s’entasse dans des halls d’immeubles et des églises, bénéficiant d’une distribution hebdomadaire d’un mystérieux aliment, le « soleil vert » à la composition bien étrange. Porté par un Charlton Heston solide, ce Soleil vert est un film marquant, à l’efficacité indiscutable, et constitue l’une des premières incursions d’Hollywood dans le drame écologique. Une séquence d’ouverture remarquable.
Un classique de SF d’anticipation. Le « soleil vert » seule nourriture pour les humains est contrôlée par un gouvernement dictatorial et puissant. Un policier va découvrir ce que cache la fabrication de cette nourriture. L’ambiance tout au long du long métrage est incroyable.
Une dénonciation pertinente et relativement avant-gardiste de notre modèle de consommation et du mépris généralisé pour la sauvegarde de la nature porté par un casting sérieusement impliqué. Divers indices nous laissent entrevoir la fin qui aurait été plus marquante si elle avait consisté en la dernière séquence au lieu de cette conclusion ouverte dont le pessimisme respecte néanmoins l'ambiance générale. Une mise en garde malheureusement dédaignée.
Ce qui s'appelle un film de SF prémonitoire : sans effets spéciaux il avait prévu le réchauffement climatique, la pollution, et la surpopulation de 2022 ! La seule chose où il a faux c'est sur les femmes en tant que " meubles" alors que nous vivons "# metoo" ! A ce titre ce film plutôt sous évalué mérite une réhabilitation. La mort de Robinson et la révélation finale sont très émouvantes et, espérons le, non prémonitoires....
Porté par l’excellente interprétation de Charlton Heston, un thriller d’anticipation culte, à l’intrigue captivante et à l’ambiance oppressante, qui a visuellement un peu vieilli certes, mais dont le discours écologique visionnaire et inquiétant sonne encore plus fort aujourd’hui. 3,75
Le film date de 1974 et le voir en 2022 (année où se déroule l'action), fait froid dans le dos. Heureusement tout n'est pas devenu réalité mais tout de même... ça donne à réfléchir.
Sorti en 1973, "Soleil vert" est un sommet dans l'oeuvre de Richard Fleischer. Il s'agit par ailleurs d'un des premiers films à présenter une vision apocalyptique d'une humanité marquée par l'épuisement de ses ressources. Le cinéaste emprunte à la fois aux codes du roman noir puis à ceux du film catastrophe pour proposer un double tableau passionnant. D'un côté, l'enquête policière captivante menée par Charlton Heston. De l'autre, le cadre d'une Terre ravagée par la surpopulation, l'augmentation des températures, la pollution et la violence. Tout cela est mené tambour-battant jusqu'au fabuleux twist final. Un film dont les problématiques restent plus que jamais actuelles.
Soleil Vert 1973 Le film commence par un diaporama d'une minute montrant les joies du XXIe siecle y compris l'omniprésence des masques chirurgicaux, puis il enchaine sur les lieux et date de l'action 2022 NYC 40 millions d'habitants 20 millions de chomeurs
J'ai vu le film à sa sortie en salle ; à l 'époque je trouvais ce film un peu caricatural et en même temps inquiétant. Une œuvre tres originale à l'époque. Le dénouement final me semblait incroyable, aujourd'hui j'en serais moins certain.
Je viens de le regarder à nouveau après avoir subi la vue de Don't look up qui prétend traiter le même thème, avec beaucoup moins de force (amha). Je ne peux que vivement conseiller de voir Soleil Vert , disponible sur les plateformes de streaming Tous les grands thèmes de notre société actuelle y sont prévus et traités dont certains déjà réels aujourd'hui et d'autres en « working progress » Surpopulation, réchauffement climatique , inégalités sociales et société à deux vitesses, manipulations de masses, corruption, bureaucratie, couvre feu,, tout y est , et on comprend pourquoi et comment on en est arrivé là, notamment grace aux différentes générations de personnages et à celui d'EG Robinson Il manque juste Internet qui était difficile à prévoir en 1973.
Techniquement cela a peu vieilli , scénario, mise en scène, casting, décors, photo tout est parfait . L'ambiance (2050 si je réactualise la date) en particulier est bien rendue , avec la chaleur étouffante (avec une balance des blancs tres chaude), le manque d'eau, tout concourt à une lenteur bien présente dans ce film: à plus de 40° à l'ombre, on va moins vite qu'à 20°.
Ça fait plus de 20 ans qu'on me bassine avec ce soi-disant chef d'oeuvre. Non mais au secours ! Je crois que je n'ai jamais vu un tel navet, c'est un attentat à la qualité de spectateur. Un réalisateur de 1973 qui veut faire croire qu'on est en 2022 essaye a minima de créer des décors futuristes. Que dalle, on patauge dans les 70ies. Seul un pauvre jeu vidéo ridicule sert de caution. La problématique écologique qui est censée nous "conscientiser" comme on dit maintenant est à peine effleurée. Quant au terrible complot-scandale sanitaire, on le devine dès le premier quart d'heure (On a tous vu L'aile ou la cuisse, 1000 fois meilleur). Le personnage principal est laid, con, inintéressant. Et la place des femmes mon Dieu !!! Même en 1973, ce n'est pas acceptable.
Ce film est une projection possible de notre futur, surpopulation et famine. C'est assez sympa à regarder même s'il manque de scènes d'actions, on reste un peu sur sa faim. La magnifique Leigh Taylor-Young apporte de la douceur à ce film au fond dramatique. Je dirais que c'est un peu lent et c'est dommage car l'histoire général est très bonne ( ce qui justifie ma note.)
Voir en 2021 en film de 1974 qui nous parle de 2022... Soleil vert est un film dont le suspense fonctionne impeccablement mais dont la richesse provient de son aspect prophétique. Surpopulation, dérèglement climatique, lobbys industriels, inégalités sociales, goût du profit. Seule l'extrême passivité de la population sonne le faux. "vous ne vous mettez jamais en colère ?" demande d'ailleurs Charlton Heston au milieu du film. Il est vrai que Fleischer filme les citoyens comme des consommateurs. quand on dit que c'est prophétique... L'histoire est quand à elle prenante et l'univers urbain écrasé de chaleur imaginé, reste cohérent. Toujours un classique.