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Vu le 13/06/2023.
Un film que je qualifierai de moyen même si je peux comprendre que lors de sa sortie en 1973, il est pu être traité comme un chef-d’œuvre. 50 ans plus tard, même si j'ai toujours apprécie Charlton Heston (notamment pour ses rôles dans "Les 10 Commandements" et dans "La Planète des Singes"), je reste asse dubitatif sur ce film. Déjà parce que les dialogues me semblent un peu creux et hachés et certaines sont vraiment pitoyables. Comme par exemple celle du début où Simonson (joué par Joseph Cotton) se fait tuer sans même essayer de se défendre ou alors celle encore plus risible où Franck Thorn vient défendre le groupe de femmes présentes chez Shirl (joué par la délicieuse Leigh Taylor-Young), on voit ces dernières pleurnicher pendant 5 min de façon vraiment grotesque. je n'ai pas aimé non plus la scène où Thorn rentre dans la salle et dit à Shirl "au lit" sous entendu, "je vais te b....", on a vraiment l'impression que la femme est un bout de plastique sans valeur même si c’est comme ça qu'elle apparait dans le film, comme un "mobilier". La scène aussi où les dégageuses récupèrent des êtres humains pour les mettre dans la benne, ils pourraient s'échapper facilement et pourtant.... même la mort de Sol (joué par Edward G. Robinson me semble un peu surfaite et mal jouée. La fin est aussi expédiée de façon assez grotesque comme si on voulait finir le film au plus vite. Là où la vision de la statue de la Liberté avait marqué le spectateur dan s"la Planète des Singes", là je reste plus mitigé.
Après les différents messages écologiques, sur la perte de repère, la perte de la foi en Dieu, l'allusion aux camps de concentration marche bien par contre
Un film que je qualifierai de moyen même si je peux comprendre que lors de sa sortie en 1973, il est pu être traité comme un chef-d’œuvre. 50 ans plus tard, même si j'ai toujours apprécie Charlton Heston (notamment pour ses rôles dans "Les 10 Commandements" et dans "La Planète des Singes"), je reste asse dubitatif sur ce film. Déjà parce que les dialogues me semblent un peu creux et hachés et certaines sont vraiment pitoyables. Comme par exemple celle du début où Simonson (joué par Joseph Cotton) se fait tuer sans même essayer de se défendre ou alors celle encore plus risible où Franck Thorn vient défendre le groupe de femmes présentes chez Shirl (joué par la délicieuse Leigh Taylor-Young), on voit ces dernières pleurnicher pendant 5 min de façon vraiment grotesque. je n'ai pas aimé non plus la scène où Thorn rentre dans la salle et dit à Shirl "au lit" sous entendu, "je vais te b....", on a vraiment l'impression que la femme est un bout de plastique sans valeur même si c’est comme ça qu'elle apparait dans le film, comme un "mobilier". La scène aussi où les dégageuses récupèrent des êtres humains pour les mettre dans la benne, ils pourraient s'échapper facilement et pourtant.... même la mort de Sol (joué par Edward G. Robinson me semble un peu surfaite et mal jouée. La fin est aussi expédiée de façon assez grotesque comme si on voulait finir le film au plus vite. Là où la vision de la statue de la Liberté avait marqué le spectateur dan s"la Planète des Singes", là je reste plus mitigé.
Après les différents messages écologiques, sur la perte de repère, la perte de la foi en Dieu, l'allusion aux camps de concentration marche bien par contre
Un vrai monument d'anticipation qui a pris un coup de vieux. Mais le film reste une référence absolue dans son domaine. Et quelle affiche splendide.
Évidemment que ce film fait très années 70, ça fait vieillot mais l'intérêt n'est pas là, ce n'est pas un film de SF mais plutôt d'anticipation, sur ce qui nous attend, sur ce que ce monde risque de devenir dans l'avenir ! Hélas on n'en n'est pas loin aujourd'hui !
Quand on voit vers la fin, la scène du vieillard qui se fait euthanasier devant des images magnifiques d'un monde révolu, franchement a-t-on vraiment envie d'en arriver là ? Moi, pas. Un film à voir car avant-gardiste.
Quand on voit vers la fin, la scène du vieillard qui se fait euthanasier devant des images magnifiques d'un monde révolu, franchement a-t-on vraiment envie d'en arriver là ? Moi, pas. Un film à voir car avant-gardiste.
Si l'on excepte l'esthétique datée - et qui ne vaut pas pour pénalité car il faut replacer l'œuvre dans son contexte, le film coche toutes les cases du chef d'œuvre.
Les acteurs sont bons, le propos avant-gardiste, le scénario efficace et le film ne souffre d'aucune longueurs.
Une réussite totale, un mythe du septième art.
Une réussite totale.
Les acteurs sont bons, le propos avant-gardiste, le scénario efficace et le film ne souffre d'aucune longueurs.
Une réussite totale, un mythe du septième art.
Une réussite totale.
Noté en prenant en compte l'époque du film. 2022 - l'abondance a disparu sauf pour quelques privilégiés, le monde est pollué, plus d'animaux, plus de viande, plus de salade...les femmes appartiennent à une maison. À l'époque ce devait être un film de science fiction, aujourd'hui, c'est plus de l'anticipation...et c'était bien vu. La fin est beaucoup trop courte. On aimerait une suite après la folle découverte de l'inspecteur.
3,8/5
3,8/5
ferdinand75
Un film qui a beaucoup vieillit et ce pour plusieurs raisons. Un réalisation figée, datée , avec peu de brio, assez basique. Charlton Heston vraiment pas bon , mal dirigé probablement, pas crédible. On est bien loin de sa magnifique performance dans la "Planète des singes" tourné 5 ans plus tôt , sur un thème similaire . Il sur-joue .Le film fait souvent "cheap" , avec des bagarres ridicules, faites en une prise , trop forcées. Et puis sur le fonds le scénario, qui situe l'action en 2022 ? ,est bien là côté de la plaque . Il dessert la cause qu'i veut défendre , car bien sûr l'humanité n'a pas dérivée de la sorte. Ce qui prouve d'ailleurs le contraire de sa thèse , c'est que les théories alarmistes, écologiques- extrémistes, sont ridicules et fantaisistes. Le film vu à l'époque avait eu un énorme succès , parce que le twist final était très bien fait et que c'était une claque dans la figure : un sujet qui sera éternellement un tabou. La scène de E.Robinson dans sa chambre de ciné-musical est aussi culte et une représente allégorie toujours d'actualité. Une autre partie à sauver est la déco de l'appartement du quartier VIP, très belle vision de ce qui restera le design contemporain. Donc un film inégal , du très bon , et du moins bon .
Un film d'anticipation qui a pas mal vieilli,mais qui a eu le grand mérite en son temps,de livrer une vision très pessimiste et effrayante du devenir de l'humanité."Soleil Vert"(1973)met le doigt sur le problème écologique et sur la surpopulation,qui menace l'équilibre planétaire.Ici,la végétation n'existe pas. Les aliments non plus. Un film qui s'était pessimiste sur l'avenir de l'être humain et de la population et de l'environnement dans les année 2020 et précisément 2022 mais heureusement pour nous ce n'est actuellement pas comme cela même si le monde et et la planète se dégrade de plus en plus on n'est pas encore à ce point là et jeszpre que sa n'arrivera pas ou en tous cas pas de ci tôt. le film pâtit de façon flagrante d'un manque de rythme et d'une intrigue pas franchement évidente. Le caractère précurseur du film mérite d'être relevé. Des nombreux faux raccords qui jalonnent les plans, on est quasi dans l'amateurisme. On lui reconnais certaines qualités sur la vision assez juste d'un monde a venir. Charlton Heston fait du mieux qui peux pour sauver cette oeuvre mais malheureusement pour lui rien ni fait.
Film d'anticipation de 1973, l'action se déroule en 2022 et heureusement, la situation n'est pas aussi catastrophique que décrite dans le film. On sent qu'il y a un manque de moyens dans ce film, en tout cas c'est ce que j'ai ressenti. On y voit un des premiers jeux vidéos, mais technologiquement parlant, tout ce qui est montré dans le film est vieillot, même pour l'époque j'ai du mal à penser que les spectateurs se sentent plonger au 21e siècle. Le film a le mérite au même titre que le roman de H. Harrison, dont il est issu de montrer que la planète va mal. C'est d'ailleurs à ce moment que les premières sensibilités écologiques se développent. Je n'ai pas été captivé par ce film et ce n'est pas C. Heston, la star de l'époque, qui puisse le sauver.
50 ans après ce film, tourné en 1972, qui est une dystopie : 2022, on y est. Comme pour 1984 il y a un peu de cela avec des conjonctures assez différentes et un empirisme moins sombre. Le film cependant est bien de 1973 avec un Charlton Heston né en 1923 omniprésent avec sa grande gueule. Et cela instille largement le propos avec un fort machisme qui n'est plus d'actualité. Le film est lent et lourd, bien dans un style hollywoodien très vieilli en cela s'il a son intérêt par le sujet il en est assez atténué. Il est cependant pas trop mal séquencé avec un bon E G Robinson en second rôle pour son dernier film, mort peu après à 79 ans et visionnaire d'un certain point de vue.
J’ai déjà vu ce film plusieurs fois, il m’a toujours marqué par son côté pessimiste, voir prophétique (espérons qu’il ne le soit pas trop). Une humanité ravagée par les « progrès » non maitrisés, laissant une terre exsangue, ne nourrissant plus toute la population, et à la clé une pénurie de la production d’énergie. Seule une minorité de privilégiés garde un niveau de vie et d’alimentation satisfaisant avec cependant la nécessité de vivre reclus dans des quartiers sécurisés. La plèbe est malmenée, la vie de chacun ne vaut pas grand-chose. L’apparition d’une nouvelle nourriture synthétique un peu spéciale va ouvrir les yeux d’un policier, l’euthanasie des vieillards ne me semble pas inenvisageable dans un avenir proche d’ailleurs (peut-être pas pour servir de nourriture bien sûr).
Film qui va avoir 50 ans et qui interpelle toujours autant (voir encore plus). Un des plus grands films de SF.
Film qui va avoir 50 ans et qui interpelle toujours autant (voir encore plus). Un des plus grands films de SF.
Non ce n'est pas un grand film. On s'y ennuie beaucoup et la fiction ne joue pas son rôle pour amener le spectateur vers une réflexion et une prise de conscience puisque nous sommes en 2022. Regardons plutôt "OUTLAND" avec Sean Connery et laissons nous porter par une fiction pleine de subtilités dans cette enquête policière Hors Norme.
Un film de science fiction de 1973 qui imagine notre futur (2022) où un gouvernement dirigé par une dictature écolo interdit à ses concitoyens de manger de la viande et les oblige à se laver à l'eau froide...
aujourd'hui, oui, on peur le dire en regardant ce film qu'on l'a échappé belle
seule prémonition dans ce film >>>TOUTES les femmes portent le voile...inquiétant pour le futur
à revisionner en 2072
aujourd'hui, oui, on peur le dire en regardant ce film qu'on l'a échappé belle
seule prémonition dans ce film >>>TOUTES les femmes portent le voile...inquiétant pour le futur
à revisionner en 2072
ce film qui date bientôt de 50 ans a conservé toute sa pertinence anticipatrice et ses qualités démonstratives. L'épuisement des ressources naturelles, l'asservissement des populations, le mensonge, la dictature... toutes ces menaces n'ont fait que s'accentuer et l'éventualité de l'avenir que nous décrivait ce film pour 2022 est simplement repoussé de quelques décennies.
Certes le film passe à coté de beaucoup de choses qui sont arrivées depuis sa sortie, comme l'avènement du numérique, certes il y a eu des progrès sociétaux, les femmes ne sont pas devenues du mobilier attaché aux appartements, mais la vision est là.
L'idée de présenter tout cela comme un thriller policier avec meurtre, commanditaire et un flic désabusé mais tenace est toujours pertinente, avec un Charlton Heston dans le rôle principal qui tient parfaitement la route, de même que l'ambiance crépusculaire et les couleurs glauques des rues qui s'opposent au luxe lumineux des appartements de nantis, contribuent parfaitement à cette évocation pessimiste de fin du monde qui baigne la totalité du film
Certes le film passe à coté de beaucoup de choses qui sont arrivées depuis sa sortie, comme l'avènement du numérique, certes il y a eu des progrès sociétaux, les femmes ne sont pas devenues du mobilier attaché aux appartements, mais la vision est là.
L'idée de présenter tout cela comme un thriller policier avec meurtre, commanditaire et un flic désabusé mais tenace est toujours pertinente, avec un Charlton Heston dans le rôle principal qui tient parfaitement la route, de même que l'ambiance crépusculaire et les couleurs glauques des rues qui s'opposent au luxe lumineux des appartements de nantis, contribuent parfaitement à cette évocation pessimiste de fin du monde qui baigne la totalité du film
Incroyable de voir l'action de ce film de 1973, écologiste en avance, se tenir en 2022. On y retrouve tous les dérèglements climatiques et le climat social d'aujourd'hui ! Un film visionnaire et donc effrayant.
J'adore.....
voir ce film de 1976 (j'avais 15 ans) en 2022, c'est franchement extra.
Il y a des extrapolations un peu décalées, mais les idées de fond sont bien là.
C'est tellement savoureux que j'ai cherché "le point" majeur qui a échappé à l'écrivain et/ou le scénariste sur ce futur à 46 ans et c'est ...mais bien sur l'informatique !
pas de bit "0" / "1", pas de minitel, ni de PC, ni de réseaux sociaux...un pauvre petit téléphone portable qui pointe sur un central !.
Le plus désolant : le rôle de la femme devenue "mobilier" (désolée Maman, dans la réalité, Papa n'a pas gagné la génération suivante!)
Le plus avangardiste ? ici le " suicide assisté ", que nous mettrons des années à légiférer et encore pour des maladies incurables et souffrances extrêmes
et le petit détail "qui tue" : les beaux ongles longs et couleur nude de la jolie fille : j'y crois pas !!!
A voir de toute évidence cette année 2022 !
voir ce film de 1976 (j'avais 15 ans) en 2022, c'est franchement extra.
Il y a des extrapolations un peu décalées, mais les idées de fond sont bien là.
C'est tellement savoureux que j'ai cherché "le point" majeur qui a échappé à l'écrivain et/ou le scénariste sur ce futur à 46 ans et c'est ...mais bien sur l'informatique !
pas de bit "0" / "1", pas de minitel, ni de PC, ni de réseaux sociaux...un pauvre petit téléphone portable qui pointe sur un central !.
Le plus désolant : le rôle de la femme devenue "mobilier" (désolée Maman, dans la réalité, Papa n'a pas gagné la génération suivante!)
Le plus avangardiste ? ici le " suicide assisté ", que nous mettrons des années à légiférer et encore pour des maladies incurables et souffrances extrêmes
et le petit détail "qui tue" : les beaux ongles longs et couleur nude de la jolie fille : j'y crois pas !!!
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