Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
"The Devil’s Bath" raconte une histoire de possession qui n’aurait rien de diabolique, jouant résolument contre les attendus fantastiques que le titre du film tendrait à faire croire et préférant jouer sur les attentes d'un mal insidieux, moins prompt à exploser de façon surnaturel à la face du monde qu'à envahir ce dernier par capillarité jusqu'à le rendre parfaitement irrespirable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Une « guerre intérieure » d’une intensité rare.
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Une atmosphère aussi malaisante qu’envoûtante façon The Witch (2015), de Robert Eggers, pour filmer une horreur bien réelle (et documentée) en 35 mm, éclairée à la bougie comme dans une peinture de Rembrandt.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Sacha Rosset
Ce nouveau long-métrage du duo autrichien Severin Fiala/Veronika Franz est une merveille qui rompt radicalement avec les précédents.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un témoignage historique, aussi sinistre que fascinant, qui démontre avec effroi les ravages que le déni de la souffrance psychique et la manipulation religieuse produisent dans notre humanité, surtout quand il s’agit de la condition des femmes. Un film coup de poing.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Pur produit du centre de formation autrichien, le film allie pressing tout-terrain (ne relâchant jamais le joug qui enserre l’héroïne) et misanthropie rigoriste. La photographie est superbe, mais le cadre vermoulu - manque au choc des photos le poids des mots.
Paris Match
par Yannick Vely
D’une efficacité clinique qui rappelle le cinéma de Michael Haneke (« Le Ruban Blanc »), « The Devil’s Bath » impressionne par la qualité de sa reconstitution et l’interprétation de sa jeune actrice, Anja Plaschg.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Déroutant, original, assez obsédant, traversé par une entêtante impression de désolation, The Devil’s Bath confirme que lorsqu’on dit d’un film autrichien qu’il est « glaçant », c’est bien un pléonasme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
Entre naturalisme et onirisme macabre, cette cruelle chronique paysanne se révèle éprouvante à force de dolorisme, mais elle hypnotise par sa beauté mortifère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J.-F. R.
S’appuyant sur un phénomène historique réel, celui du suicide par procuration de femmes qui deviennent criminelles pour pouvoir être exécutées, pur produit d’une société rurale dominée par un catholicisme intransigeant et un matriarcat étouffant, le film décrit, avec minutie, dans un effort d’analyse historique rappelant le cinéma d’un René Allio, une lente descente aux enfers.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
"The Devil’s Bath" raconte une histoire de possession qui n’aurait rien de diabolique, jouant résolument contre les attendus fantastiques que le titre du film tendrait à faire croire et préférant jouer sur les attentes d'un mal insidieux, moins prompt à exploser de façon surnaturel à la face du monde qu'à envahir ce dernier par capillarité jusqu'à le rendre parfaitement irrespirable.
La Septième Obsession
Une « guerre intérieure » d’une intensité rare.
Le Journal du Dimanche
Une atmosphère aussi malaisante qu’envoûtante façon The Witch (2015), de Robert Eggers, pour filmer une horreur bien réelle (et documentée) en 35 mm, éclairée à la bougie comme dans une peinture de Rembrandt.
Mad Movies
Ce nouveau long-métrage du duo autrichien Severin Fiala/Veronika Franz est une merveille qui rompt radicalement avec les précédents.
aVoir-aLire.com
Un témoignage historique, aussi sinistre que fascinant, qui démontre avec effroi les ravages que le déni de la souffrance psychique et la manipulation religieuse produisent dans notre humanité, surtout quand il s’agit de la condition des femmes. Un film coup de poing.
Les Fiches du Cinéma
Pur produit du centre de formation autrichien, le film allie pressing tout-terrain (ne relâchant jamais le joug qui enserre l’héroïne) et misanthropie rigoriste. La photographie est superbe, mais le cadre vermoulu - manque au choc des photos le poids des mots.
Paris Match
D’une efficacité clinique qui rappelle le cinéma de Michael Haneke (« Le Ruban Blanc »), « The Devil’s Bath » impressionne par la qualité de sa reconstitution et l’interprétation de sa jeune actrice, Anja Plaschg.
Première
Déroutant, original, assez obsédant, traversé par une entêtante impression de désolation, The Devil’s Bath confirme que lorsqu’on dit d’un film autrichien qu’il est « glaçant », c’est bien un pléonasme.
Télérama
Entre naturalisme et onirisme macabre, cette cruelle chronique paysanne se révèle éprouvante à force de dolorisme, mais elle hypnotise par sa beauté mortifère.
Le Monde
S’appuyant sur un phénomène historique réel, celui du suicide par procuration de femmes qui deviennent criminelles pour pouvoir être exécutées, pur produit d’une société rurale dominée par un catholicisme intransigeant et un matriarcat étouffant, le film décrit, avec minutie, dans un effort d’analyse historique rappelant le cinéma d’un René Allio, une lente descente aux enfers.