Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Sur la déforestation et l’huile de palme, Sauvages réussit à être un grand film d’animation familial, aventurier et engagé sans être moralisateur.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
À partir d’une thématique sérieuse, Claude Barras réussit à en tirer un authentique film familial, accessible pour tous les âges, où le souffle de l’aventure est bien présent et où le poids de l’actualité n’empêche pas une certaine poésie.
Paris Match
par Yannick Vely
Et la magie opère à nouveau, non seulement le film aborde avec intelligence la question de l’exploitation industrielle mais il offre une jubilation de tous les instants à juste découvrir la faune et la flore locales.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un conte émouvant, et un vibrant plaidoyer contre la déforestation.
L'Humanité
par Eléonore Houée
Après Ma vie de courgette, le réalisateur suisse Claude Barras signe son retour gagnant avec Sauvages.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Isabelle Danel
Une fable écolo sensible, passionnante et d’utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O. D.
Si la fable écologique de Barras s'adresse aux enfants, c'est aussi pour mieux inviter leurs parents à prendre conscience des dangers encourus par les forêts ancestrales indonésiennes à l'heure où des multinationales sans scrupule saccagent la planète juste pour augmenter leurs profits.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S. B.
Le récit nous prend par les sentiments avec son univers visuel aux couleurs chatoyantes, sa sagesse et son respect de la nature qui n’est pas sans évoquer Avatar (2009), de James Cameron.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Drôle et plein de jolis messages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Maître de la pâte à modeler, le réalisateur de « Ma vie de courgette » revient avec un bel ouvrage écolo, situé au pays des grands singes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est tout simplement déchirant, drôle et politique. Et comme Benoît Poelvoorde, Laetitia Dosch et Michel Vuillermoz (et d’autres) font les voix, il n’y a plus qu’à courir voir Sauvages !
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un touchant et réaliste hommage à la nature et la liberté.
Télé Loisirs
par S.O.
Maître de l'animation en stop motion, le réalisateur de Ma vie de courgette pointe les responsabilités de chacun dans la crise écologique. Très bon.
Télérama
par Jérémie Couston
Une leçon de choses fort utile, pas seulement réservée aux enfants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Avec un ton enlevé et un langage moderne, des personnages attachants et complexes, ce film épatant lève le voile sur un drame écologique sans jamais être plombant ou donneur de leçon.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Cahiers du Cinéma
par Mathilde Grasset
Entre destruction de la forêt primaire et disparition des orangs-outans, l’urgence de la situation écologique de l’île de Bornéo impose à Sauvages un tour trop didactique. (…) Le film trouve néanmoins sa beauté dans la rencontre du stop-motion et de la quête des origines dont il fait aussi le récit.
Konbini
par Arthur Cios
Plus destiné aux enfants que sa Vie de Courgette, Claude Barras redonne vie à ses créatures en pâte à modeler dans un film mignon, et intelligent.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Un film d’animation de toute beauté, mais qui déroule une intrigue un peu trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Filmée en stop motion (des figurines captées image par image), jouant sur l’ambiguïté du mot « sauvage » (successivement appliqué aux animaux, aux indigènes… et aux exploiteurs), cette très belle parabole s’adresse à toute la famille sans renoncer à une forme de maturité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par C. Fa.
Le scénario devait être aussi crédible que respectueux. En filigrane, le film interroge le rapport à la terre et aux pratiques agroalimentaires. Qui est le sauvage, celui qui vit en pagne ou celui qui arrive avec son engin pour couper les arbres et déloger les habitants ? On devine la réponse, mais le suspense est bien entretenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marius Chapuis
On regrette néanmoins que ce récit d’initiation plein de charme soit si transparent dans ses intentions, dans sa façon de renverser l’accusation de sauvagerie contre la multinationale aux atours paramilitaires qui détruit le vivant. La charge est évidemment légitime mais si frontale qu’elle destine surtout le film à un public scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Accessible et agrémenté de petites touches poétiques, Sauvages a également cette capacité de s’adresser à tous les publics, sans jamais tomber dans le pédagogique. Captivant.
Première
par Thierry Chèze
Avec Sauvages, le Suisse signe un film en immersion où cette forme enveloppante accompagne son désir premier : célébrer les combats d’une jeunesse désireuse de corriger les erreurs de ses aînés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Camille Bouthors
La devise du film est d’être inoffensif ; il laisse aussi indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur la déforestation et l’huile de palme, Sauvages réussit à être un grand film d’animation familial, aventurier et engagé sans être moralisateur.
Le Dauphiné Libéré
À partir d’une thématique sérieuse, Claude Barras réussit à en tirer un authentique film familial, accessible pour tous les âges, où le souffle de l’aventure est bien présent et où le poids de l’actualité n’empêche pas une certaine poésie.
Paris Match
Et la magie opère à nouveau, non seulement le film aborde avec intelligence la question de l’exploitation industrielle mais il offre une jubilation de tous les instants à juste découvrir la faune et la flore locales.
Femme Actuelle
Un conte émouvant, et un vibrant plaidoyer contre la déforestation.
L'Humanité
Après Ma vie de courgette, le réalisateur suisse Claude Barras signe son retour gagnant avec Sauvages.
L'Obs
Une fable écolo sensible, passionnante et d’utilité publique.
Le Figaro
Si la fable écologique de Barras s'adresse aux enfants, c'est aussi pour mieux inviter leurs parents à prendre conscience des dangers encourus par les forêts ancestrales indonésiennes à l'heure où des multinationales sans scrupule saccagent la planète juste pour augmenter leurs profits.
Le Journal du Dimanche
Le récit nous prend par les sentiments avec son univers visuel aux couleurs chatoyantes, sa sagesse et son respect de la nature qui n’est pas sans évoquer Avatar (2009), de James Cameron.
Le Parisien
Drôle et plein de jolis messages.
Les Echos
Maître de la pâte à modeler, le réalisateur de « Ma vie de courgette » revient avec un bel ouvrage écolo, situé au pays des grands singes.
Les Inrockuptibles
C’est tout simplement déchirant, drôle et politique. Et comme Benoît Poelvoorde, Laetitia Dosch et Michel Vuillermoz (et d’autres) font les voix, il n’y a plus qu’à courir voir Sauvages !
Ouest France
Un touchant et réaliste hommage à la nature et la liberté.
Télé Loisirs
Maître de l'animation en stop motion, le réalisateur de Ma vie de courgette pointe les responsabilités de chacun dans la crise écologique. Très bon.
Télérama
Une leçon de choses fort utile, pas seulement réservée aux enfants.
Version Femina
Avec un ton enlevé et un langage moderne, des personnages attachants et complexes, ce film épatant lève le voile sur un drame écologique sans jamais être plombant ou donneur de leçon.
Cahiers du Cinéma
Entre destruction de la forêt primaire et disparition des orangs-outans, l’urgence de la situation écologique de l’île de Bornéo impose à Sauvages un tour trop didactique. (…) Le film trouve néanmoins sa beauté dans la rencontre du stop-motion et de la quête des origines dont il fait aussi le récit.
Konbini
Plus destiné aux enfants que sa Vie de Courgette, Claude Barras redonne vie à ses créatures en pâte à modeler dans un film mignon, et intelligent.
La Croix
Un film d’animation de toute beauté, mais qui déroule une intrigue un peu trop prévisible.
La Voix du Nord
Filmée en stop motion (des figurines captées image par image), jouant sur l’ambiguïté du mot « sauvage » (successivement appliqué aux animaux, aux indigènes… et aux exploiteurs), cette très belle parabole s’adresse à toute la famille sans renoncer à une forme de maturité.
Le Monde
Le scénario devait être aussi crédible que respectueux. En filigrane, le film interroge le rapport à la terre et aux pratiques agroalimentaires. Qui est le sauvage, celui qui vit en pagne ou celui qui arrive avec son engin pour couper les arbres et déloger les habitants ? On devine la réponse, mais le suspense est bien entretenu.
Libération
On regrette néanmoins que ce récit d’initiation plein de charme soit si transparent dans ses intentions, dans sa façon de renverser l’accusation de sauvagerie contre la multinationale aux atours paramilitaires qui détruit le vivant. La charge est évidemment légitime mais si frontale qu’elle destine surtout le film à un public scolaire.
Nice-Matin
Accessible et agrémenté de petites touches poétiques, Sauvages a également cette capacité de s’adresser à tous les publics, sans jamais tomber dans le pédagogique. Captivant.
Première
Avec Sauvages, le Suisse signe un film en immersion où cette forme enveloppante accompagne son désir premier : célébrer les combats d’une jeunesse désireuse de corriger les erreurs de ses aînés.
Critikat.com
La devise du film est d’être inoffensif ; il laisse aussi indifférent.