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    Le Procès Goldman
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    297 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    Film d'ouverture à la Quinzaine à Cannes, "Le Procès Goldman" est une reconstitution du second procès de Pierre Goldman en 1976. Ce militant d'extrême gauche est accusé d'avoir réalisé quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Goldman clame son innocence pour cette dernière affaire. Cédric Kahn signe l'un des films judiciaires les plus intenses de ces dernières années. Décrit presque en temps réel, le huis clos s'impose à nous de façon magistrale avec une précision des mots et une maîtrise du rythme captivante.
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    51 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2023
    Excellent film de procès, très documenté qui se déroule dans le prétoire.
    La vie des années 70 entre dans la salle d'assise avec le public, les jurés et la cour.
    La police, la justice mais aussi les rapports sociaux de l'époque sont décortiqués avec précision.
    Les témoins de La Défense comme de l'accusation apportent un monde qui nous paraît à la fois daté mais aussi parfaitement contemporain.
    Nous sommes mis à la place des jurés, la personne jugée est mal aimable, bien que très intelligente, elle a des valeurs et les défend. Pierre Goldman souhaite simplement être reconnu innocent non pas de tous ses crimes mais d'un double meurtre.
    Ce film est un chef-d'œuvre du genre il résonne longtemps et interroge.
    maguaguas
    maguaguas

    7 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 octobre 2023
    J'ai trouvé ce film mal joué par des acteurs inégaux en fonction des moments. Seuls l'avocat de l'accusation et l'avocat général tirent leur épingle du jeu. L'acteur qui joue Pierre Goldman n'est pas convaincant non plus, surtout au début du film. Le personnage de Pierre Goldman est prétentieux, arrogant, insolent et absolument pas attechant. Le sujet et la cause du film sont dans l'air du temps et certaines répliques peuvent agacer. Cette histoire ne méritait pas un film. On est tout de même bien loin de l'affaire Dreyfus.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    110 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    Ai vu "Le procès Goldman" de Cédric Kahn. Après les très grands films "Roberto Zucco" et "La prière", le réalisateur ajoute un nouveau film essentiel à sa filmographie. Avant tout ce dernier opus est un film de mise en scène. Cédric Kahn choisi de ne jamais sortir la caméra du tribunal (à part la première scène) et filme au plus près tous les protagonistes (accusé, défense, avocats, jurés, Simone Signoret...). Le réalisateur varie les plans fixes, les plans caméra à l'épaule et joue souvent avec la spatialisation entre les témoins et l'accusé. C'est toujours inventif en visant l'essentiel sans jamais perturber l'attention du spectateur par des scènes ou des plans inutiles et sans être didactique. Image carrée, lumière blafarde, aucune musique tout est à l'os. Je ne connaissais absolument rien à cette affaire et la culpabilité où non de Pierre Goldman n'est absolument pas le propos du film. Pierre Goldman est un militant d'extrême gauche qui est accusé de plusieurs hold-up (qu'il a reconnu) et d'un double meurtre dans une pharmacie en 1969 (objet du procès en question). Pierre Goldman est un personnage à part, sanguin, enflammé, orateur hors pair, au charisme puissant et à la faconde épuisante. Même son avocat, Georges Kiejman a bien du mal à canaliser son client. La force de la mise en scène de Kahn permet au spectateur d'assister à ce procès tout en visualisant à la perfection les scènes qui ne sont jamais montrées. Le film n'est jamais théâtral, aucune longueur. Le spectateur est happé par ce personnage jusqu'au boutiste sans qu'il ne soit montré comme un héros. Ce film ne serai pas ce qu'il est sans l'interprétation magistrale d'Arieh Worthalter (Pierre Goldman) et celle tout aussi puissante de son avocat (Georges Kiejman) Arthur Harari qui ne fait qu'une bouchée de ses monologues. Film puissant et hypnotisant.
    Chris58640
    Chris58640

    208 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    « Le Procès Goldman » est un film de 2 heures qui se déroule quasiment intégralement dans la toute petite salle du Palais de Justice d’Amiens. La caméra n’en sortira pour ainsi dire jamais, et il n’y aura pas non plus le moindre flash back pour éclairer l’affaire, pas la moindre conversation privée dans un couloir ou une salle des pas perdus : le prétoire, la barre des témoins, la cellule de rétention du tribunal, la salle et rien d’autre. Pas même la moindre note de musique, ni pour habiller un générique de début, un générique de fin, rien de rien… Recadré en format 4/3, comme pour aider le spectateur à se focaliser seulement et uniquement sur l’essentiel, le film de Cédric Kahn est totalement nettoyé de tous les artifices du spectacle pour ne donner à voir qu’un procès, le procès d’un homme. « Le Procès Goldman » est passionnant de la première image à la toute dernière image, de la première scène dans le bureau de Kiejman au verdict. En respectant au plus près le verbatim du procès, il offre à ses acteurs des dialogues d’une puissance totale. Il utilise subtilement et très souvent le hors champs, pendant de longues secondes, il scrute l spoiler: e regard d’un frère fébrile, d’une compagne inquiète, d’un père bouleversé, d’un veuf inconsolable, d’un policier déstabilisé, d’un avocat dépassé par la fougue de son client,
    et pendant qu’il filme ces regards se disent hors champs des phrases clefs, des vérités fortes, des mots puissants. Cédric Kahn a choisit l’angle de la sobriété totale pour nous laisser seul dans cette salle avec ces formidables acteurs. Je pourrais dire beaucoup de bien de Arthur Harari en Georges Kiejman, de Nicolas Briançon en Maitre Garaud, de Jerzy Radziwilowicz en Alter Goldman (son témoignage est bouleversant) ou encore Chloé Lecerf, tout sont impeccables. Mais la performance d’Arieh Worthalter éclipse toutes les autres : on ne voit que lui, on n’entend que lui, il est le pôle magnétique irrésistible de cette petite salle, et c’est un pôle magnétique hyper puissant ! Il donne corps à un Pierre Goldman droit comme un « i », une boule de nerfs et de révolte, perpétuellement à fleur de peau, emporté et théâtral, moqueur et d’une éloquence folle. Il incarne tout simplement un Pierre Goldman au charisme indéniable et, je le redis, magnétique. Son interprétation, jusque dans son regard noir, son rictus buté, ses poings serrés, est un tour de force qu’il n’est pas facile de décrire. spoiler: Il ne parle pas, il ne se justifie pas, il ne cherche pas de faux fuyants : il proclame, il assène, il affirme.
    Arieh Worthalter livre une interprétation comme on en voit peu. spoiler: Sur le fond, « Le Procès Goldman » est bien plus que le procès d’un homme, c’est aussi le portrait d’un révolutionnaire tourmenté, qui par faiblesse ou par facilité à choisit la voie sans issue du banditisme. Pierre Goldman, dont j’ai lu une biographie il y a quelques années, était un homme d’une complexité insondable. Marqué par sa naissance dans la clandestinité de la Guerre et de la Résistance, écrasé par le passé héroïque de ses deux parents, empêtré dans sa condition de juif polonais, aussi intelligent que fragile psychologiquement, c’est un homme très difficile à aimer. [spoiler]C’est un homme difficile à aimer et pourtant beaucoup de gens l’aiment, sa compagne, ses frères, sa sœur, son père, sa belle-mère. C’est un homme difficile à comprendre et pourtant tout ce que la Gauche Française compte d’intellectuels de l’époque le comprenait. C’est un homme ô combien difficile à défendre (la pauvre Georges Kiejman, on a mal pour lui !) et pourtant il est ardemment défendu. « Je suis innocent parce que je suis innocent, personne ne peux rien y faire même pas vous ».
    spoiler: C’est qui ce « vous » ?
    C’est la société des années 70, encore très antisémite (c’est la génération des fils de résistants et des fils de collabo, et rien n’est réellement purgé à l’époque) et spoiler: bien plus raciste qu’aujourd’hui
    ? C’est la Police, que Goldman fustige sans aucune nuance parfois de façon tout à fait pertinente mais aussi parfois jusqu’à l’absurde ? C’est la Justice, qui laisse elle aussi entrevoir son racisme sous-jacent par les mots qu’elle prononce, spoiler: ou ceux qu’elle laisse dire
    ? spoiler: Ce sont les « juifs de salon » que Goldmann méprise tant ?
    C’est tout ça à la fois, tant cet homme apparait seul contre le monde entier, alors qu’il ne l’est pas, mais alors pas du tout, en avril 1976 ? Le film de Cédric Kahn est, en plus du portrait d’un homme celui d’une époque, et ça sans jamais poser sa caméra ailleurs que dans une minuscule salle.[/spoiler] Ce film est un tour de force, l’interprétation d’Arieh Worthalter est un tour de force. Il est des films qui en mette plein la vue et qu’on oublie presque aussitôt. Le film de Cédric Kahn, c’est exactement le contraire.
    Jean-Marie S.
    Jean-Marie S.

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Film intéressant si cette affaire vous intéresse.
    Sinon rien ne sort de ce film: mauvais acteurs, mise en scène médiocre.
    un audio book aurait suffit.
    j'ai d'ailleurs fermé les yeux quasiment toute la durée de film
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    78 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    ​
           Voilà que le cinéma français nous donne coup sur coup deux films de prétoire, genre dans lequel nous avons été excellents, à l'instar des Américains (rappelez vous André Cayatte!!), et qu'on retrouve avec un grand bonheur, l'un et l'autre étant excellents.
           Le film de Cédric Kahn est exceptionnel. Parce qu'inventer, c'est toujours facile; créer des personnages, c'est toujours facile; mais là, Kahn se collète avec la vie, avec l'histoire contemporaine. Avec une période qu'il n'est pas assez vieux pour avoir connue, mais qu'il est assez vieux pour en avoir entendu  témoigner. Et puis, il se trouve que l'actualité par une de ses boucles dont elle a le secret, la retrouve. Car, que crient ils, les groupies de Pierre Goldman venus en nombre aux audiences: tout le monde déteste la police! Ca ne vous rappelle rien?
         Exceptionnelle, la direction d'acteurs et leur choix -jusqu'au plus petit figurant, complètement "vrai", regardez bien, soyez attentif, dans l'auditoire vous verrez passer Simone Signoret, Régis Debray, et... le jeune Jean-Jacques venu soutenir son grand demi-frère! Et, parmi les rôles majeurs, il y a cette ressemblance hallucinante entre Arthur Harari et maitre Kiejman, du temps où il avait des cheveux .... (était il aussi séduisant que son clone?)
           Exceptionnel, au premier plan Arieh Worthalter qui incarne Goldman, qui comme l'héroïne d'Anatomie d'une chute,  restera opaque -sauf que, puisqu'il s'agit du compte rendu d'une histoire véridique, nous autres, spectateurs, on voudrait savoir la vérité vraie: oui ou non, Pierre Goldman a t-il assassiné deux pharmaciennes (et blessé gravement un témoin) au cours d'un hold-up qui a mal tourné??
        spoiler:  La justice a tranché: Goldman n'a pas été reconnu coupable des meurtres, qui resteront donc toujours impunis. On imagine la douleur du mari de la plus jeune, très émouvant... (Arthur Verret) Les témoins (des deux parties) ne se sont pas révélés parfaitement fiables, changeant leurs dépositions d'un interrogatoire à l'autre. Ah, les témoins! bien sûr, tous les présents se targuent d'avoir vu, leur imagination travaille et au fil du temps, les versions évoluent. Bien sûr, l'alibi de Goldman sent le poisson pas frais... mais le doute doit profiter à l'accusé.      

     Kiejman a t-il vraiment été étincelant, face au redoutable avocat des parties civiles, maître Garaud (Nicolas Briancon), handicapé qu'il était par ce client incontrôlable, spoiler: qui ne cesse de vomir la police et ses méthodes, qui ne veut pas parler, surtout de lui, sauf pour dire qu'il est innocent parce qu'il sait qu'il est innocent, et qui ne veut pas dénoncer, c'est pas une balance, même quand cela pourrait le servir, et qui ne cesse de lancer des diatribes délirantes contre le monde, la police, la justice, qu'il accuse d'être -rien que ça!!! raciste et antisémite, les témoins à charge? Il a fallu qu'il le soit, Kiejman, car les éructations de Goldman venaient régulièrement mettre à mal son plan de défense.... sans compter que ce  révolté exalté, ce bloc de haine anti-sociale, était accompagné par un fan-club soixante-huitard qui ne cessait de troubler la sérénité des débats en hurlant, applaudissant, lançant des slogans gauchistes, et dont beaucoup sont noirs, puisque pour l'accusé, les juifs et les noirs sont les uns et les autres les persécutés de la société? Mais qui ne s'épargne pas lui-même. Assumant son lointain passé de fêtard....

         Ou bien, est ce que la stratégie de défense de Goldman, aussi délirante paraisse t-elle, aurait marché? Face au président du tribunal Stephan Guérin-Tillié, a l'implacable avocat général (Aurélien Chaussade), est ce que Goldman aurait réussi à convaincre les jurés??? Cela, on ne le saura pas puisque les délibérations des jurés restent secrètes et Kahn est bien trop intelligent pour les avoir réinventées... Ou enfin, est ce la noble figure de son père (Jerzy Radziwilowicz), un résistant (la mère, exaltée elle aussi, est retournée en Pologne), si digne, ce poids d'une hérédité persécutée qui a retenu la main vengeresse des jurés? En sortant de là, si vous ne tournez et retournez pas les arguments dans votre tête en devenant juré à votre tour, c'est que vous n'aimez pas le cinéma!
           Bref.... c'est un film formidable!!!

    ​
    tuppence
    tuppence

    9 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    je ne connaissais pas du tout cette histoire sur Pierre Goldman braqueur, militant d'extrême gauche et demi-frère du bien connu jean-Jacques.
    A la lecture du résumé, j'étais un peu mitigée mais quelque chose m'a quand même décidée à ouvrir les portes du ciné et prendre un billet. Le film est bien fait, bien interprété par tous les acteurs connus ou inconnus, même par les figurants du tribunal.
    Le procès Goldman montre l'interrogatoire de Goldman, de divers témoins dont son ancienne maîtresse antillaise, ses amis, les interventions intempestifs de Goldman au cours du procès, des réactions du public, des plaidoiries des différents avocats.
    On ne connait pas la vérité mais à l'issu du procès et du film, on se fait tous un avis.
    mimi067
    mimi067

    5 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2023
    Je suis allé voir le film sur la base de la note Presse (4,5) et Spectateurs (4,0 à date). Hélas.. grosse déception. Moi qui adore les films à procès, ce film est raté. L'unanimité de la critique Presse est ici douteuse..
    Une direction d'acteurs catastrophique, un jeu d'acteurs hystérique, des textes récités, à part 2 acteurs (le père de Goldmann, J Radziwilovitch et l'avocat de la partie civile, N Briançon), une méconnaissance des fondamentaux de la dramaturgie: au prétexte de coller aux minutes du procès, on a un film de type série B des plus soporifiques, sans relief, sans montée en puissance du drame, sans émotion malgré des coups de gueule ici et là. Bref, c'est plat, surjoué, comme une série TF1. On est assez loin de l'énergie employée dans "Anatomie d'une chute" ou de grands films à procès ou huis clos.
    Autour de moi hier soir, 3 personnes ronflaient littéralement dans le dernier quart d heure (le réquisitoire): fâcheux... Je passe sur la photographie pas du tout adaptée à une reconstituon des années 70 avec une lumière blanche quasi clinique par le haut. Bref, je suis sorti déçu par ces 2h qui m'ont paru bien plus longues..
    Gloups 3
    Gloups 3

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    De bons acteurs ne font pas un film. Tout au plus un téléfilm plutôt soporifique au sein d'un espace confiné
    Alpilles
    Alpilles

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Excellent film. Fait comprendre la compléxité d'un procès et combien la société était politisée à l'époque. Quel plaisir de découvrir de nouveaux acteurs si talentueux
    Alain
    Alain

    23 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    La première scène du film est catastrophique. Les acteurs jouent mal. Et tout au long du film c’est assez inégal.
    La mise en scène est absente. On a le sentiment de regarder une pièce de théâtre filmée par une caméra sur pied…
    Framboisett
    Framboisett

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    Film passionnant de bout en bout , huit clos dans un tribunal pendant près de 2 heures , à part la première scène, mais je ne me suis jamais ennuyée tant les acteurs jouent bien ! Mention spéciale à l acteur principal qui joue Pierre Goldman , criant de vérité !!!
    Film à voir ! Enfin une relève du cinéma Français qui ne nous propose quasiment plus que des petites comédies minables !
    The Passenger
    The Passenger

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Je m'attendais à un chef-d'œuvre mais on n'en est loin même très loin. J'ai trouvé ce film trop long.
    irgendwer92
    irgendwer92

    9 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Misère! Que c'est long! Tout est déclamé, récité, surjoué... mais le plus étrange est que, même quand ça gueule, on ne se réveille pas... Tout ça est digne d'un mauvais téléfilm. L'image un peu cradoc donne un côté arty à ce nanard anar'. Pas certain que ça suffise.
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