Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
En réveillant un moment important de l’histoire juridique française, Cédric Kahn signe à la fois un très grand film de procès et le passionnant portrait d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Tourné en huis clos, presque dans les conditions du réel, à mi-chemin entre l'éloquence théâtrale et la tension d'un tribunal, «Le procès Goldman» est un film coup de poing qui, au-delà de nous renvoyer aux combats révolutionnaires des années 1970, dresse le portrait d'un écorché vif [...].
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un procédural aussi rigoureux que romanesque où le passé et le présent dialoguent avec pertinence. Remarquable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une fiction historique à la droiture irréprochable, d’une absolue maîtrise.
Elle
par Françoise Delbecq
Magistral.
La Voix du Nord
par C. P.
Arieh Worthalter (au cœur d’une solide distribution) est un interprète intense dont on ne peut se détourner. Autour de lui, Cédric Kahn laisse filtrer l’émotion, donne toute leur place aux amis, à la famille, aux témoins, à l’accusation, ressuscite une époque, renvoie à la nôtre. Et nous place impitoyablement dans la position du juré. Inconfortable et passionnante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Quand commence le procès d’assises dans un huis clos dont le film ne sortira plus, tout est déjà là : deux personnages puissants, piliers d’un récit historique brillamment reconstitué : le révolutionnaire braqueur et l’immense plaideur. Deux acteurs majeurs occupent ces rôles : Arthur Harari et Arieh Worthalter.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sec et intense, ce huis-clos brille par ses qualités d’écriture et sa précision horlogère, son refus des artifices laissant toute sa place à ce qui importe ici : la parole.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un des meilleurs films de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un des sommets de l’année au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Michel Oriot
Un drame psychologique tendu de bout en bout.
Positif
par Ariane Allard
Non seulement Cédric Kahn saisit au plus près, ainsi, la complexité dudit personnage, mais il livre un huis clos captivant qui fera date, assurément !
Sud Ouest
par Julien Rousset
Cédric Kahn retrace ce second procès dans un film dense, tendu, à la fois sobre et épique. Il soulève des questions vertigineuses sur la vérité, la justice, l’engagement, le fait même d’être jugé.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Avec "Le Procès Goldman", Cédric Kahn décoche un film uppercut réussi dans ses trois dimensions : judiciaire, théâtrale, cinématographique.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Captivante reconstitution du procès, ce film montre, dans un style différent d'"Anatomie d'une chute", que la justice est d'abord une affaire de point de vue.
Voici
par La Rédaction
Un film captivant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un film judiciaire, Le Procès Goldman est non seulement une leçon brillante de mise en scène, mais un témoignage historique profond à méditer.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La réussite du Procès Goldman tient à son caractère déceptif : empruntée à un texte habité mais « sans contradicteur » [...], la parole de Goldman y reflète un idéal du moi, jamais masqué comme tel mais discrètement contrecarré par le soin apporté par Kahn aux personnages prétendument secondaires (les magistrats) et l’écoute véritable réservée aux témoins, jamais ridiculisés.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Le passé se fait l’écho proche d’un présent que l’on nous invite à considérer comme la suite d’un récit à l’issue incertaine. Un film magistral, haletant et passionnant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Une merveille d’écriture et d’interprétation, pour un film de procès qui cache derrière son apparente âpreté une grande richesse thématique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Mohamed Berkani
Le film "Le Procès Goldman", porté par des acteurs "investis", est un théâtre captivant qui a su restituer une période tumultueuse à travers un huis-clos nerveux, fébrile.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Épaulé par les performances brillantes d'Arieh Worthalter et Arthur Harari, Cédric Kahn signe avec Le Procès Goldman un passionnant film de procès.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Sophie Grassin
Interprété avec brio par Arieh Worthalter dans le rôle complexe de Goldman, et Arthur Harari, hallucinant de justesse en Kiejman, écho à notre époque – racisme, antisémitisme, police taxée de xénophobie –, « le Procès Goldman » est un film brillant et politique sur le verbe, mais surtout sur la dialectique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
D’une précision formidable, les débats ont été reconstitués à partir des articles de presse de l’époque, Cédric Kahn et sa coscénariste Nathalie Hertzberg n’ayant pas eu accès aux minutes du procès. Œuvre forte sur la force de la parole, le film en dit long sur la difficulté à rendre la justice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Dans un cadre carré, [Cédric Kahn] orchestre avec la méticulosité d’un stratège militaire les rapports de force qui s’affrontent ici. Magistral.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film sobre et rugueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl.
Au milieu de la lutte rhétorique, manœuvrée au moyen de prodigieux face-à-face, le film impressionne une matière sensible qui doit beaucoup à la fiction (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
On a beau connaître l’issue, le suspense intellectuel est brillant. La justice y est explorée dans ses vertiges si humains, quand aucune preuve scientifique ne vient à sa rescousse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Avec une austère sobriété qui l’honore souvent et le handicape parfois, ce nouveau film de Cédric Kahn reconstitue le mythique procès Goldman. Tournant le dos aux simplifications, il valorise la parole et refuse l’imagerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
C’est là la grande force du film de procès, dont Kahn exploite la sève à merveille : sonder la profondeur et les contradictions des individus pour mieux les faire dialoguer avec la piteuse santé des institutions, de 1976 ou d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Conforme à l’approche sobre, réputée académique, du huis clos judiciaire, qui ne fait ici usage d’aucun flash-back, le "Procès Goldman" fait le pari de résister aux effets de pompe et de grandiloquence gratuits. Cela, sans assécher l’ivresse qu’il y a à croire en l’innocence de son personnage, à se laisser embarquer par son aura de rock star.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Le film apparaît d’une grande modernité, remettant la procédure et la présomption d’innocence au centre du village.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Le Procès Goldman est le film d’un portraitiste. Selon, celui ou celle qui parle ou écoute, le choix des compositions renforce subtilement l’implacable logique narrative.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Ne pas prendre parti, rendre sa dignité à chacun, voilà ce qui fait toute la force bouleversante de ce film qui n’accable ni ne défend le voyou révolutionnaire, personnage comme frappé par la malédiction d’être né trop tôt ou trop tard, de s’être trompé d’époque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marin Gérard
Une grande partie de la réussite du film tient à l’attention qu’il porte à ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Charlie Hebdo
par Fabrice Nicolino
On aurait aimé applaudir, mais un naufrage reste un naufrage.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Bande à part
En réveillant un moment important de l’histoire juridique française, Cédric Kahn signe à la fois un très grand film de procès et le passionnant portrait d’une époque.
CNews
Tourné en huis clos, presque dans les conditions du réel, à mi-chemin entre l'éloquence théâtrale et la tension d'un tribunal, «Le procès Goldman» est un film coup de poing qui, au-delà de nous renvoyer aux combats révolutionnaires des années 1970, dresse le portrait d'un écorché vif [...].
CinemaTeaser
Un procédural aussi rigoureux que romanesque où le passé et le présent dialoguent avec pertinence. Remarquable.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une fiction historique à la droiture irréprochable, d’une absolue maîtrise.
Elle
Magistral.
La Voix du Nord
Arieh Worthalter (au cœur d’une solide distribution) est un interprète intense dont on ne peut se détourner. Autour de lui, Cédric Kahn laisse filtrer l’émotion, donne toute leur place aux amis, à la famille, aux témoins, à l’accusation, ressuscite une époque, renvoie à la nôtre. Et nous place impitoyablement dans la position du juré. Inconfortable et passionnante.
Le Dauphiné Libéré
Quand commence le procès d’assises dans un huis clos dont le film ne sortira plus, tout est déjà là : deux personnages puissants, piliers d’un récit historique brillamment reconstitué : le révolutionnaire braqueur et l’immense plaideur. Deux acteurs majeurs occupent ces rôles : Arthur Harari et Arieh Worthalter.
Le Journal du Dimanche
Sec et intense, ce huis-clos brille par ses qualités d’écriture et sa précision horlogère, son refus des artifices laissant toute sa place à ce qui importe ici : la parole.
Les Echos
Un des meilleurs films de l'année.
Marianne
Un des sommets de l’année au cinéma.
Ouest France
Un drame psychologique tendu de bout en bout.
Positif
Non seulement Cédric Kahn saisit au plus près, ainsi, la complexité dudit personnage, mais il livre un huis clos captivant qui fera date, assurément !
Sud Ouest
Cédric Kahn retrace ce second procès dans un film dense, tendu, à la fois sobre et épique. Il soulève des questions vertigineuses sur la vérité, la justice, l’engagement, le fait même d’être jugé.
Transfuge
Avec "Le Procès Goldman", Cédric Kahn décoche un film uppercut réussi dans ses trois dimensions : judiciaire, théâtrale, cinématographique.
Télé Loisirs
Captivante reconstitution du procès, ce film montre, dans un style différent d'"Anatomie d'une chute", que la justice est d'abord une affaire de point de vue.
Voici
Un film captivant.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un film judiciaire, Le Procès Goldman est non seulement une leçon brillante de mise en scène, mais un témoignage historique profond à méditer.
Cahiers du Cinéma
La réussite du Procès Goldman tient à son caractère déceptif : empruntée à un texte habité mais « sans contradicteur » [...], la parole de Goldman y reflète un idéal du moi, jamais masqué comme tel mais discrètement contrecarré par le soin apporté par Kahn aux personnages prétendument secondaires (les magistrats) et l’écoute véritable réservée aux témoins, jamais ridiculisés.
Culturopoing.com
Le passé se fait l’écho proche d’un présent que l’on nous invite à considérer comme la suite d’un récit à l’issue incertaine. Un film magistral, haletant et passionnant de bout en bout.
Ecran Large
Une merveille d’écriture et d’interprétation, pour un film de procès qui cache derrière son apparente âpreté une grande richesse thématique.
Franceinfo Culture
Le film "Le Procès Goldman", porté par des acteurs "investis", est un théâtre captivant qui a su restituer une période tumultueuse à travers un huis-clos nerveux, fébrile.
GQ
Épaulé par les performances brillantes d'Arieh Worthalter et Arthur Harari, Cédric Kahn signe avec Le Procès Goldman un passionnant film de procès.
L'Obs
Interprété avec brio par Arieh Worthalter dans le rôle complexe de Goldman, et Arthur Harari, hallucinant de justesse en Kiejman, écho à notre époque – racisme, antisémitisme, police taxée de xénophobie –, « le Procès Goldman » est un film brillant et politique sur le verbe, mais surtout sur la dialectique.
La Croix
D’une précision formidable, les débats ont été reconstitués à partir des articles de presse de l’époque, Cédric Kahn et sa coscénariste Nathalie Hertzberg n’ayant pas eu accès aux minutes du procès. Œuvre forte sur la force de la parole, le film en dit long sur la difficulté à rendre la justice.
La Septième Obsession
Dans un cadre carré, [Cédric Kahn] orchestre avec la méticulosité d’un stratège militaire les rapports de force qui s’affrontent ici. Magistral.
Le Figaro
Un film sobre et rugueux.
Le Monde
Au milieu de la lutte rhétorique, manœuvrée au moyen de prodigieux face-à-face, le film impressionne une matière sensible qui doit beaucoup à la fiction (...).
Le Parisien
On a beau connaître l’issue, le suspense intellectuel est brillant. La justice y est explorée dans ses vertiges si humains, quand aucune preuve scientifique ne vient à sa rescousse.
Les Fiches du Cinéma
Avec une austère sobriété qui l’honore souvent et le handicape parfois, ce nouveau film de Cédric Kahn reconstitue le mythique procès Goldman. Tournant le dos aux simplifications, il valorise la parole et refuse l’imagerie.
Les Inrockuptibles
C’est là la grande force du film de procès, dont Kahn exploite la sève à merveille : sonder la profondeur et les contradictions des individus pour mieux les faire dialoguer avec la piteuse santé des institutions, de 1976 ou d’aujourd’hui.
Libération
Conforme à l’approche sobre, réputée académique, du huis clos judiciaire, qui ne fait ici usage d’aucun flash-back, le "Procès Goldman" fait le pari de résister aux effets de pompe et de grandiloquence gratuits. Cela, sans assécher l’ivresse qu’il y a à croire en l’innocence de son personnage, à se laisser embarquer par son aura de rock star.
Paris Match
Le film apparaît d’une grande modernité, remettant la procédure et la présomption d’innocence au centre du village.
Première
Le Procès Goldman est le film d’un portraitiste. Selon, celui ou celle qui parle ou écoute, le choix des compositions renforce subtilement l’implacable logique narrative.
Télérama
Ne pas prendre parti, rendre sa dignité à chacun, voilà ce qui fait toute la force bouleversante de ce film qui n’accable ni ne défend le voyou révolutionnaire, personnage comme frappé par la malédiction d’être né trop tôt ou trop tard, de s’être trompé d’époque.
Critikat.com
Une grande partie de la réussite du film tient à l’attention qu’il porte à ses acteurs.
Charlie Hebdo
On aurait aimé applaudir, mais un naufrage reste un naufrage.