Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Dénué de tout pathos, ce documentaire est un cadeau.
L'Obs
par X. L.
Un hymne à la résistance contre le déterminisme, interprété par un quatuor cabossé, mais plein de belles vibrations humanistes. Ce pourrait être, sur la beauté des familles improvisées et recomposées, la version documentaire d’une fiction de Kore-eda.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par M.D.T.
Ce film, à voir en salle, est d'amour, de solidarité et d'une précieuse sobriété.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une lutte filmée tel un conte social.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Ultrasensible.
Ouest France
par La Rédaction
Un documentaire qui raconte ce parcours de combattante avec une empathie jamais mielleuse.
Paris Match
par Benjamin Locoge
« Le monde de Kaleb », filmé avec une unique caméra, sans preneur de son, n’est pas un énième documentaire voulant dénoncer les aléas et la lenteur de la justice française face aux demandes d’asile. Au contraire, le film s’attache à prendre soin de chacun, la caméra tourne autour des personnages, des situations sans jamais chercher à impressionner.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Toranian se place à hauteur d’enfant pour décrire une réalité où la solidarité l’emporte sur la violence, amenant son histoire aux frontières du conte de fées. Un peu de douceur dans un monde de brutes ne peut pas faire de mal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Malgré la dureté et l’injustice du réel que le film n’épargne pas de montrer, la caméra de Vasken Toranian montre ô combien le réel n’a pas besoin d’être falsifié pour être réenchanté. Ici le simple enregistrement, même le plus brut, de ce petit théâtre de l’action collective et de l’entraide, suffit à construire une utopie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
On assiste à la naissance d’une « famille de cœur », de celles qu’on se choisit.
Première
par Thierry Chèze
Le Monde de Kaleb est un voyage vers un horizon dégagé, celui de l’obtention des papiers de Betty, au fil de rebondissements ubuesques comme seule l’administration. Toranian célèbre l’amour et la puissance de la résilience dans un geste jamais mièvre ou larmoyant. Son empathie jamais intrusive vous submerge d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par V. Ca.
Hélas, le documentaire qui procède par touches n’offre finalement qu’une version en pointillé de l’histoire et de la rencontre qui unit si fort aujourd’hui ces quatre belles personnes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Filmé relativement à l’arrache, le Monde de Kaleb se cherche longtemps une raison d’être qui dépasserait celle de faire exister ce «monde» de solitaires qui évoluent autour de Kaleb, entre soirées arrosées dans l’atelier de Jean-Luc et combat kafkaïen pour obtenir le permis de séjour de Betty.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marion Michel
Dommage que ce documentaire passe complètement à côté de son sujet, restant à la surface des discussions de comptoir et répétant les mêmes scènes sans consistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Dénué de tout pathos, ce documentaire est un cadeau.
L'Obs
Un hymne à la résistance contre le déterminisme, interprété par un quatuor cabossé, mais plein de belles vibrations humanistes. Ce pourrait être, sur la beauté des familles improvisées et recomposées, la version documentaire d’une fiction de Kore-eda.
Le Point
Ce film, à voir en salle, est d'amour, de solidarité et d'une précieuse sobriété.
Les Fiches du Cinéma
Une lutte filmée tel un conte social.
Marie Claire
Ultrasensible.
Ouest France
Un documentaire qui raconte ce parcours de combattante avec une empathie jamais mielleuse.
Paris Match
« Le monde de Kaleb », filmé avec une unique caméra, sans preneur de son, n’est pas un énième documentaire voulant dénoncer les aléas et la lenteur de la justice française face aux demandes d’asile. Au contraire, le film s’attache à prendre soin de chacun, la caméra tourne autour des personnages, des situations sans jamais chercher à impressionner.
aVoir-aLire.com
Toranian se place à hauteur d’enfant pour décrire une réalité où la solidarité l’emporte sur la violence, amenant son histoire aux frontières du conte de fées. Un peu de douceur dans un monde de brutes ne peut pas faire de mal.
Les Inrockuptibles
Malgré la dureté et l’injustice du réel que le film n’épargne pas de montrer, la caméra de Vasken Toranian montre ô combien le réel n’a pas besoin d’être falsifié pour être réenchanté. Ici le simple enregistrement, même le plus brut, de ce petit théâtre de l’action collective et de l’entraide, suffit à construire une utopie.
Positif
On assiste à la naissance d’une « famille de cœur », de celles qu’on se choisit.
Première
Le Monde de Kaleb est un voyage vers un horizon dégagé, celui de l’obtention des papiers de Betty, au fil de rebondissements ubuesques comme seule l’administration. Toranian célèbre l’amour et la puissance de la résilience dans un geste jamais mièvre ou larmoyant. Son empathie jamais intrusive vous submerge d’émotion.
Le Monde
Hélas, le documentaire qui procède par touches n’offre finalement qu’une version en pointillé de l’histoire et de la rencontre qui unit si fort aujourd’hui ces quatre belles personnes.
Libération
Filmé relativement à l’arrache, le Monde de Kaleb se cherche longtemps une raison d’être qui dépasserait celle de faire exister ce «monde» de solitaires qui évoluent autour de Kaleb, entre soirées arrosées dans l’atelier de Jean-Luc et combat kafkaïen pour obtenir le permis de séjour de Betty.
Télérama
Dommage que ce documentaire passe complètement à côté de son sujet, restant à la surface des discussions de comptoir et répétant les mêmes scènes sans consistance.