Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Digne héritier de Rainer Fassbinder (pour son acuité acide des névroses humaines) et de Pedro Almodóvar (pour le tourbillon des genres chorégraphié avec maestria), Nadir Moknèche a choisi pour son septième long-métrage une histoire qui résonne avec les problématiques contemporaines, celle du genre et de la filiation, non sans humour et finesse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
De la douceur tranquille de cette histoire émerge un joli film à la tendresse inattendue, qui s’impose en toute discrétion, dans un équilibre parfait entre la pudeur et la retenue.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le casting est parfait, la mise en scène, irréprochable. Bref c’est une merveille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Si cet air de la mer devient une bourrasque émotionnelle, c’est par sa manière effrénée et exsangue de mettre en scène la course de Saïd vers sa liberté. La sienne, mais aussi celle des autres.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mais au lieu de cela, le récit s‘évade, léger, fluide, tournant et enveloppant les personnages, pour en faire le portrait le plus juste et partager leurs aspirations à être ce qu’ils sont.
Le Figaro
par B.P.
Fariza, incarnée par Zahia Dehar, ex-escort girl devenue une vraie actrice avec Une fille facile en 2019. On ne peut pas dire que celle-ci joue bien, elle déroule plutôt sa propre partition de créature désirable que sa beauté rend altière. Et cela fonctionne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[Un] film émouvant qui parle d’hypocrisie et d’émancipation, loin d’être évidente, avec beaucoup de subtilité et de délicatesse. Bien dessinés, ses personnages sont incarnés par des acteurs formidables auxquels il doit beaucoup
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Face à un jeune comédien formidable (Youssouf Abi-Ayad), Kenza Fortas, lumineuse, prouve qu’elle n’a pas volé le César du meilleur espoir féminin décroché pour « Shéhérazade ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un film subtil, dans une ville de Rennes magnifiquement filmée.
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Le réalisateur franco-algérien Nadir Moknèche aborde des thèmes forts et déconstruit les clichés communautaires avec une salutaire légèreté.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film audacieux signé Nadir Moknèche, qui regarde la réalité en face pour mieux la dédramatiser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
L’histoire, si l’on veut, d’une confiance mutuellement conquise et de l’apprentissage, assez touchant, de la conquête d’une commune résilience. On notera au passage un casting absolument parfait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Les intentions de Nadir Moknèche sont louables, mais le film manque d’un supplément d’âme pour sublimer une histoire à l’écriture trop évidente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
On retient surtout la manière dont ce portrait d’aujourd’hui d’enfants de l’immigration, avec des comptes générationnels à régler, arpente des terrains intimes que le cinéma français observe rarement d’aussi près.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Moknèche signe un film aussi engagé qu’engageant sur l’acceptation de soi, sur l’inéluctabilité d’une émancipation pourtant tout sauf évidente chez l’un comme chez l’autre. Et sa subtilité doit aussi beaucoup à l’interprétation tout en nuances de son duo de jeunes comédiens (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un joli conte moderne qui redonne foi à la lutte contre les préjugés et le droit à la différence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur du Harem de Mme Osmane et de Lola Pater signe un film parfois brouillon mettant en scène la difficulté d’un garçon d’une famille d’origine algérienne à assumer son homosexualité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Nadir Moknèche propose un film très imparfait mais qui empoigne sans effusion un sujet compliqué et méconnu : le mariage arrangé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Bande à part
Digne héritier de Rainer Fassbinder (pour son acuité acide des névroses humaines) et de Pedro Almodóvar (pour le tourbillon des genres chorégraphié avec maestria), Nadir Moknèche a choisi pour son septième long-métrage une histoire qui résonne avec les problématiques contemporaines, celle du genre et de la filiation, non sans humour et finesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De la douceur tranquille de cette histoire émerge un joli film à la tendresse inattendue, qui s’impose en toute discrétion, dans un équilibre parfait entre la pudeur et la retenue.
L'Obs
Le casting est parfait, la mise en scène, irréprochable. Bref c’est une merveille.
La Septième Obsession
Si cet air de la mer devient une bourrasque émotionnelle, c’est par sa manière effrénée et exsangue de mettre en scène la course de Saïd vers sa liberté. La sienne, mais aussi celle des autres.
Le Dauphiné Libéré
Mais au lieu de cela, le récit s‘évade, léger, fluide, tournant et enveloppant les personnages, pour en faire le portrait le plus juste et partager leurs aspirations à être ce qu’ils sont.
Le Figaro
Fariza, incarnée par Zahia Dehar, ex-escort girl devenue une vraie actrice avec Une fille facile en 2019. On ne peut pas dire que celle-ci joue bien, elle déroule plutôt sa propre partition de créature désirable que sa beauté rend altière. Et cela fonctionne.
Le Journal du Dimanche
[Un] film émouvant qui parle d’hypocrisie et d’émancipation, loin d’être évidente, avec beaucoup de subtilité et de délicatesse. Bien dessinés, ses personnages sont incarnés par des acteurs formidables auxquels il doit beaucoup
Le Parisien
Face à un jeune comédien formidable (Youssouf Abi-Ayad), Kenza Fortas, lumineuse, prouve qu’elle n’a pas volé le César du meilleur espoir féminin décroché pour « Shéhérazade ».
Ouest France
Un film subtil, dans une ville de Rennes magnifiquement filmée.
Télé 2 semaines
Le réalisateur franco-algérien Nadir Moknèche aborde des thèmes forts et déconstruit les clichés communautaires avec une salutaire légèreté.
Télérama
Un film audacieux signé Nadir Moknèche, qui regarde la réalité en face pour mieux la dédramatiser.
Le Monde
L’histoire, si l’on veut, d’une confiance mutuellement conquise et de l’apprentissage, assez touchant, de la conquête d’une commune résilience. On notera au passage un casting absolument parfait.
Les Fiches du Cinéma
Les intentions de Nadir Moknèche sont louables, mais le film manque d’un supplément d’âme pour sublimer une histoire à l’écriture trop évidente.
Libération
On retient surtout la manière dont ce portrait d’aujourd’hui d’enfants de l’immigration, avec des comptes générationnels à régler, arpente des terrains intimes que le cinéma français observe rarement d’aussi près.
Première
Moknèche signe un film aussi engagé qu’engageant sur l’acceptation de soi, sur l’inéluctabilité d’une émancipation pourtant tout sauf évidente chez l’un comme chez l’autre. Et sa subtilité doit aussi beaucoup à l’interprétation tout en nuances de son duo de jeunes comédiens (...).
aVoir-aLire.com
Un joli conte moderne qui redonne foi à la lutte contre les préjugés et le droit à la différence.
La Croix
Le réalisateur du Harem de Mme Osmane et de Lola Pater signe un film parfois brouillon mettant en scène la difficulté d’un garçon d’une famille d’origine algérienne à assumer son homosexualité.
Les Echos
Nadir Moknèche propose un film très imparfait mais qui empoigne sans effusion un sujet compliqué et méconnu : le mariage arrangé.