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Un biopic plutôt sincère sur cette jolie histoire, malheureusement ce dernier est bien vite rattrapé par son casting en dent de scie ainsi que son écriture simpliste et amenée qui nous donne cette impression d’avoir été rush.
Un festival d'anachronismes, de faux raccords et d'acteurs qui jouent n'importe comment. Le film ne sait pas se decider entre le cinéma d'action, la comédie et la fresque politique. Les événements de Cuba en plein 68, Paris qui ressemble à Barcelone : c'est du grand n'importe naouak.
Bande son, jeu d'acteur , décors tout y est dans ce Biopic !
On aurait juste aimé plus de temps sur sa rencontre avec le Che Guevara.
On aurait juste aimé plus de temps sur sa rencontre avec le Che Guevara.
J'ai trouvé ce film moyen, l'histoire est bien et bonne, mais je sais pas plusieurs choses m'ont dérangé et fait meme sortir parfois du film. Je sais pas si c'est le peu de budget du film ou le role des acteurs que j'ai trouvé moyen. j'ai mis 2,5/5
Atout principal du film: les décors, les voitures' les accessoires de l'époque. Des chansons aussi. Pour le reste c'est un peu caricatural, des fois simplet, quasiment pastiche.
Une bonne note parce que c'est un biopic, que les acteurs sont bons, que Anne est jolie et que l'action est bien menée. ca se regarde bien.
dommage que dans la vraie vie, ils se soient séparés.
dommage que dans la vraie vie, ils se soient séparés.
Maçon, braqueur, faux-monayeur, Lucio Urtubia développa un ressentiment féroce envers les banques suite à un épisode traumatisant dans son enfance. La dimension politique avec sa personnalité anarchiste n'est pas assez poussée, la scène avec le Che dans les toilettes fait sourire.
ferdinand75
Un bon biopic romancé, qui nous conte la vie d'un anarchiste espagnol dans les années 60 et 70 , mais contrairement à la tradition de l'anarchisme espagnol , plutôt syndicaliste , Lucio sera attiré par l'action directe et la réappropriation des biens capitalistes ( dans la veine de l'anarchisme français ), puis surtout dans la fabrication de fausse monnaie , dans le but de faire exploser le système capitaliste . Le scénario est bien construit avec à la fois la description de situations historiques , voir pédagogique: couvrant les luttes ouvrières de ces années là, la révolution castriste, et la vie sociale des années 60. La reconstitution des années 60 est très bien faite, un beau choix de voitures et de costumes. Beaucoup de tournages en décor naturel dans Paris. L'actrice principale Liah O'prey est agréable , jouant très juste , ainsi que le héros , Juan José Ballesta , que l'on a déjà vu dans plusieurs films espagnols . La bande son , faites de tube Yéyé des années 60 est un régal. Le film manque parfois de rythme et la réalisation est un peu trop classique "pépère" , c'est dommage .
Super bon moment ! Les quelques citations du début et de la fin offrent un très joli cadre.
De moi-même (rassurez-vous) : L'anarchie c'est la vie !
De moi-même (rassurez-vous) : L'anarchie c'est la vie !
Redzing
Lucio Urtubia fut un maçon anarchiste particulièrement opposé au système bancaire. Mais il a rapidement compris que les braquages n'étaient pas pour lui. Il préféra opter pour la contre-façon monétaire, afin de faire tomber les grandes banques...
Même si le récit est inspiré d'une histoire vraie, "Un hombre de acción" fait furieusement penser à "Catch If You Can", en beaucoup moins bien. On y retrouve un protagoniste adroit et escroc (certes pas pour les mêmes raisons), traqué sans relâche par une figure de l'autorité à travers les années. Sauf que ce film espagnol n'a pas la subtilité du film de Spielberg.
L'intrigue et la personnalité de Lucio Urtubia sont racontés de manière superficielle, celui-ci étant simplement présenté comme un idéaliste qui refuse les ordres et fait à sa sauce. A l'image d'une mise en scène correcte mais sans relief. Les plans de reconstitution en CGI trahissent d'ailleurs un budget limité.
Il y a aussi quelques étrangetés. Par exemple, la quasi totalité du récit se déroule à Paris. Et l'on croise régulièrement des personnages qui parlent espagnols sans mal, ou des "Français" avec un fort accent (ibérique ?).
Néanmoins, ce récit criminel se laisse suivre, étant mené correctement, et soutenu par des comédiens plutôt bons.
Même si le récit est inspiré d'une histoire vraie, "Un hombre de acción" fait furieusement penser à "Catch If You Can", en beaucoup moins bien. On y retrouve un protagoniste adroit et escroc (certes pas pour les mêmes raisons), traqué sans relâche par une figure de l'autorité à travers les années. Sauf que ce film espagnol n'a pas la subtilité du film de Spielberg.
L'intrigue et la personnalité de Lucio Urtubia sont racontés de manière superficielle, celui-ci étant simplement présenté comme un idéaliste qui refuse les ordres et fait à sa sauce. A l'image d'une mise en scène correcte mais sans relief. Les plans de reconstitution en CGI trahissent d'ailleurs un budget limité.
Il y a aussi quelques étrangetés. Par exemple, la quasi totalité du récit se déroule à Paris. Et l'on croise régulièrement des personnages qui parlent espagnols sans mal, ou des "Français" avec un fort accent (ibérique ?).
Néanmoins, ce récit criminel se laisse suivre, étant mené correctement, et soutenu par des comédiens plutôt bons.
C'est assez amusant de voir un film espagnol se situer en France avec des acteurs espagnols qui se font passer pour des Français et un cortège de chansons françaises qu'on n'aurait pas eu l'audace d'utiliser.
Sinon le sujet du film est propice à une reconstitution complaisante (les méchants sont facilement identifiables, ce sont les banques) mais en étant indulgent, l'ensemble se regarde.
Sinon le sujet du film est propice à une reconstitution complaisante (les méchants sont facilement identifiables, ce sont les banques) mais en étant indulgent, l'ensemble se regarde.
Un morceau de lutte anarchiste mis en scène sur Netflix avec une bienveillance qui donne à cette jolie production un air de ces indulgences d'autrefois, le grand capital se payant ici une tranche de bonne conscience en valorisant ce maçon en guerre contre les banques : la propriété c'est le vol, braquer une banque est un crime moins grand que d'en fonder une, la lutte avant tout. Le paradoxe est à la fois plaisant, le film est agréable à regarder, et troublant : l'idéaliste en moi y est souvent renvoyé à la faiblesse de mes convictions, celles là même qui devraient me faire lire un livre plutôt que de regarder des productions Netflix, qui devraient me faire passer à l'action plutôt que d'être spectateur d'un film, aussi sympa soit-il... A tout le moins aurais-je eu là l'occasion de réfléchir à tout ça. Salut à toi camarade de procrastination qui lit ces lignes :)
Les banques sont nos ennemis; la propriété c'est le vol; Sympatoche ces slogans révolutionnaires utopiques d'un anarchiste espagnol présenté comme idéaliste un peu benêt!
Le film est parsemé de chansons françaises des années 60, ce qui le rend sympathique à nos oreilles (Eddy Mitchell, Sylvie Vartan, Hervé Vilard, Jacques Dutronc). Et puis toutes ces voitures vintage (Simca, 4chevaux, course-poursuite par flics en 404). spoiler: On a même droit à rencontrer le CHE dans des toilettes d'aéroport!
Pas très sérieux d'honorer ce type qui a eu pour seule gloire d'être un sacré faux monnayeur!
Le film est parsemé de chansons françaises des années 60, ce qui le rend sympathique à nos oreilles (Eddy Mitchell, Sylvie Vartan, Hervé Vilard, Jacques Dutronc). Et puis toutes ces voitures vintage (Simca, 4chevaux, course-poursuite par flics en 404). spoiler: On a même droit à rencontrer le CHE dans des toilettes d'aéroport!
Pas très sérieux d'honorer ce type qui a eu pour seule gloire d'être un sacré faux monnayeur!
Très bon film sur Lucio Urtubia, un anarchiste nosu ayant quitter en 2020. Un film d'action sur fond d'ideaux. Une belle photo et un très bon choix de musique. Je conseille vivement!
C'est toujours triste de mettre en valeur un homme profondément immoral et promoteur d'idées qui ont fait tant de mal à tant de peuples dans le monde. Mais le film est de très bonne facture et captivant.
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