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Le créateur de la série « Vingt-cinq » s’est documenté à fond pour écrire et réaliser ce premier long-métrage plein de tendresse. Quatorze personnages trouvent leur place dans ce récit tantôt drôle ou poignant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La construction dramatique a beau être convenue - prise de conscience, empathie, tensions, crise, jusqu’au climax diluvien qui justifie le titre -, la mise en scène trouve la bonne distance entre le réalisme « immersif » et une forme de stylisation (couleurs, musique...) qui fait passer les excès du récit.
Le tandem Oldfield/Lemercier a du jus et, derrière le burlesque, une poignée de personnages tous en représentation, portés par des acteurs inconnus et bouillants, suscite peu à peu l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Malgré une mise en scène classique au service d’un scénario cousu de fil blanc, ce drame pédagogique touche par les témoignages poignants de ces adolescents parfois menacés de mort, et le portrait sans détour des bénévoles qui se retroussent les manches.
On ne croit d’ailleurs pas tellement à ce jeune qui se retrouve dans l’association contre son gré et devient subitement très empathique. Dommage que cette « Arche de Noé » prenne un peu l’eau, parce que son sujet est fort et Valérie Lemercier y est très crédible, comme Elsa Guedj, vue dans la série « Drôle », très juste aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Parfois maladroite mais toujours tendre et filmée sur le vif, cette galerie de portraits d'une jeunesse en plein chaos a le mérite de la sincérité. Et d'une urgente utilité.
Finnegan Oldfield impressionne dans le rôle central tout comme Valérie Lemercier dans celui de la directrice de ce refuge, un rôle inhabituellement dramatique pour elle, par sa composition tout en épaisseur et nuances. A l’image du film tout entier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le trait est appuyé, les dialogues enlevés et des personnages concrets, avides d’exister – dans l’outrance parfois, mais toujours avec humour –, font la réussite de cet "Arche de Noé" débordant de vie, qui ne délivre qu’un message : abandonnez vos préjugés.
Mêlant dossier de société, ressorts pathétiques et abattage actoral, voici un premier long-métrage au ton « nakachetolédanien » (on pense plus particulièrement à Hors normes, 2014) dont le goût du spectacle eût gagné à être tempéré.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film est à l’image du personnel encadrant de l’association, plus soucieux de réinsérer les personnes queer à la société – ou au cinéma commercial (c’est pareil) – mais sans prendre le soin de leur laisser la place d’exister autrement qu’à travers des clichés.
Même la grande Valérie Lemercier (en patronne bipolaire de l’association), le talentueux Finnegan Oldfield et la singulière Elsa Guedj (révélée par la série Drôle) finissent, eux aussi, par s’y perdre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le créateur de la série « Vingt-cinq » s’est documenté à fond pour écrire et réaliser ce premier long-métrage plein de tendresse. Quatorze personnages trouvent leur place dans ce récit tantôt drôle ou poignant.
L'Humanité
S'il n'échappe pas au regard folklorique, « l'Arche de Noé » donne une épaisseur bienvenue à des résidents par définition interchangeables.
Marie Claire
105 minutes d'utilité publique.
Positif
La construction dramatique a beau être convenue - prise de conscience, empathie, tensions, crise, jusqu’au climax diluvien qui justifie le titre -, la mise en scène trouve la bonne distance entre le réalisme « immersif » et une forme de stylisation (couleurs, musique...) qui fait passer les excès du récit.
L'Obs
Le tandem Oldfield/Lemercier a du jus et, derrière le burlesque, une poignée de personnages tous en représentation, portés par des acteurs inconnus et bouillants, suscite peu à peu l’émotion.
Le Journal du Dimanche
Malgré une mise en scène classique au service d’un scénario cousu de fil blanc, ce drame pédagogique touche par les témoignages poignants de ces adolescents parfois menacés de mort, et le portrait sans détour des bénévoles qui se retroussent les manches.
Le Parisien
On ne croit d’ailleurs pas tellement à ce jeune qui se retrouve dans l’association contre son gré et devient subitement très empathique. Dommage que cette « Arche de Noé » prenne un peu l’eau, parce que son sujet est fort et Valérie Lemercier y est très crédible, comme Elsa Guedj, vue dans la série « Drôle », très juste aussi.
Paris Match
Parfois maladroite mais toujours tendre et filmée sur le vif, cette galerie de portraits d'une jeunesse en plein chaos a le mérite de la sincérité. Et d'une urgente utilité.
Première
Finnegan Oldfield impressionne dans le rôle central tout comme Valérie Lemercier dans celui de la directrice de ce refuge, un rôle inhabituellement dramatique pour elle, par sa composition tout en épaisseur et nuances. A l’image du film tout entier.
Télé 7 Jours
Si le trait est appuyé, les dialogues enlevés et des personnages concrets, avides d’exister – dans l’outrance parfois, mais toujours avec humour –, font la réussite de cet "Arche de Noé" débordant de vie, qui ne délivre qu’un message : abandonnez vos préjugés.
Le Monde
Mêlant dossier de société, ressorts pathétiques et abattage actoral, voici un premier long-métrage au ton « nakachetolédanien » (on pense plus particulièrement à Hors normes, 2014) dont le goût du spectacle eût gagné à être tempéré.
Les Fiches du Cinéma
Un film choral sur la misère et l’homophobie, porté par des interprètes convaincants, mais à la mise en scène cédant à la surenchère.
Les Inrockuptibles
Le film est à l’image du personnel encadrant de l’association, plus soucieux de réinsérer les personnes queer à la société – ou au cinéma commercial (c’est pareil) – mais sans prendre le soin de leur laisser la place d’exister autrement qu’à travers des clichés.
Télérama
Même la grande Valérie Lemercier (en patronne bipolaire de l’association), le talentueux Finnegan Oldfield et la singulière Elsa Guedj (révélée par la série Drôle) finissent, eux aussi, par s’y perdre.