Une parodie marrante, ultra-référencée, complètement absurde, dont l'aspect nanardesque est assumé. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2023/06/385-quai-des-orfevres-de-benjamin.html
Très drôle, à prendre au 40 treizième degré, c'est gros mais ils y vont tellement à fond que ca marche ! Quelques maladresses qu'on ne retiendra pas, car les comédiens sont excellents et s'en donnent à cœur joie, les dialogues sont piquants, il y a pleins de petits détails cachés et plus de fond qu'on ne pourrait penser avec une satire de notre société scotchée aux chaînes d'infos continues.. Bref, très bon moment qui ne mérite clairement pas les critiques parfois très dures que j'ai pu lire!
Il n'y a que le titre qui est drôle.....mais que c'est nul. Chaque réplique tombe à plat, tout en se voulant une référence à plein de films...n'est pas Les Nuls qui veut ....!!! Pas un rire dans la salle, malgré que ce film soit une comédie. Heureusement qu'il ne dure que 1h25 en gros....déjà que je suis partie 10 mn avant la fin.. Dans ce "genre" de film La Cité de la Peur n'est pas prêt d'être égalé.... Je dois rajouter quand même que j'aime beaucoup Didier Bourdon mais là, le pauvre, il aurait pû se passer de participer à ce film....tout le monde peut se tromper !
Première fois que je pars avant la fin d'une séance... et apparemment je n'étais pas seul.
Il n'y a rien à rattraper dans ce film, vraiment, j'ai essayé d'y mettre toute ma volonté mais rien y fait, ce n'est pas marrant et encore moins intéressant, de quelques points de vu que ce soit.
Manifestement ce film ne laisse personne indifférent, c'est déjà signe qu'il vaut quelque chose! Je fais partie de ceux qui ont plongé avec délice dans cette parodie, peut être pas exempte de défaut, mais jubilatoire et tellement subtile. Et je me réjouis de ne pas être le seul. J'avoue ne pas comprendre tout le mépris déversé par certaines critiques, peut-être certains spectateurs attendaient-ils une comédie linéaire, plus classique, et seraient passés à côté de ce film tellement riche et qui leur aurait semblé indigeste?
Car en plus des innombrables références cinématographiques, le scénario policier est parfaitement bien construit, (il faut un peu de mauvaise foi pour y voir juste une suite de sketchs comme on l'a lu parfois), et surtout, sous son côté potache et déconnant, cette histoire propose une belle réflexion sur les traumas de l'enfance, et sur les souffrances de ceux qui ont le malheur d'être différents dans une société hyper normalisée... Mais bon, peu de gens prennent la peine de le relever, peut-être est -il tabou de proposer plusieurs grilles de lectures quand on parle d'une comédie? Déstabilisante parce que différente, justement?
Un tueur en série surnommé le "Ver(s) solitaire" laisse sur ses scènes de crime des alexandrins issues de comptines pour enfants. Une jeune enquêtrice se voit confier l’affaire aux côtés du légendaire commissaire Keller, sauf que la tâche va s’avérer bien plus difficile qu’ils ne l’auraient imaginé…
Pour son premier long-métrage, Benjamin Lehrer s’est inspiré du trio ZAZ (la saga des Y-a-t-il… ?) auquel on pourrait aussi citer l’univers des Nuls (La Cité de la peur - 1994) et d’Olivier Baroux (Mais qui a tué Pamela Rose ? - 2003). Sauf qu’à aucun moment l’alchimie prend forme, les blagues et autres références tombent à plat, on n’arrive jamais à en rire, pire à esquisser ne serait-ce qu’un sourire.
L’ensemble devient rapidement gênant tant l’écriture s’avère confondante de nullité (la vanne sur « Clarisse Sterling, comme la livre sterling, à ne pas confondre avec Clarice Starling du Silence des agneaux », fait clairement de la peine, d’autant plus qu’on nous la rabâche plusieurs fois, au cas où on serait trop ɔon pour ne pas l’avoir comprise la première fois).
38°5 Quai des Orfèvres (2023) joue à fond la carte de l’absurde et du décalage, sauf que ça ne fonctionne jamais, pire, on en vient à avoir de la peine pour les comédiens (seul Artus tire son épingle du jeu). Il ne suffit pas de balancer à la gueule des spectateurs des références et des gags crétins pour pleinement satisfaire, l’écriture et les personnages sont bâclés, il n’y a rien qui fonctionne.
Pour la légèreté et aux références trop rare aux "Y'a t il...", "Hot Shot" ou, côté français, "La cité de la peur"... vraiment il était important qu'un film français tente le coup.
Très très nul... Dommage pourtant, j'avais hâte en entrant dans la salle de passer un bon moment. L'humour est nul et les blagues tombent à l'eau. Peut-être que ça marche avec un certain audience, pas moi.
C'est un film complètement déglingué ! On y retrouve l'humour absurde décalé des célèbres comédies américaines du genre ("Y a-t-il un flic ?..., ""Scary movie") plus une allusion à certains autres films ("Le silence des agneaux", "Intouchables"...). Les scènes se succèdent aussi rapidement que les gags. Ce n'est évidemment pas toujours du meilleur goût, diront certains, mais on s'en fout ! Le but de ce film est de faire rire et il y parvient parfaitement ! C'est loufoque, décalé, irrespectueux, bref, par les temps qui courent, ça fait du bien !
Bien mené avec du rythme, un scénario solide et surtout le comique par l'absurde ! Nous avons apprécié cette avant première ! La référence au film des inconnus est évidente et je souhaite à 38 5 de devenir un film culte tout comme son aîné l'est devenu.
Une parodie vraiment affligeante. Rien ne fonctionne : les blagues et situations tombent toujours à l'eau dès la scene dintro, les acteurs semblent perdus dans cette succession de sketch parodique. On est bien loin de l'humour parodique des Nuls ou des Inconnus, on se rapproche ici des parodies tf1.
Franchement j ai été bluffé ! Je m attendais à voir une comédie comme on a l habitude d en voir ! Et la tout part en vrille on en prend plein la figure, ça fait plaisir de voir ce genre de film bravo au réalisateur d avoir osé!