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L’intrigue ne sert que de fil conducteur à une profusion de blagues puériles, absurdes ou trash. Et Didier Bourdon, comme Artus, nous offrent de grands numéros… Hilarant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Avec une touche d’humour noir, le premier film de Benjamin Lehrer fait tenir cette histoire insensée en s’appuyant sur une bande d’acteurs azimutés qui ont l’air de s’amuser comme des petits fous.
38°5 quai des Orfèvres n’a rien d’une grande œuvre de terreur psychologique, mais tout d’une farce goubiboulga, assemblage disparate de références et de clins d’œil, pour un pastiche de comédie policière sans aucun esprit de sérieux.
D’un mauvais goût crânement assumé, premier degré et bas de plafond, cette farce drôlement référencée additionne les gags, les clins d’œil rigolards et les punchlines.
Résultat, un exercice de style ultra-référencé (Le Silence des agneaux, Esprits criminels…) à prendre au quinzième degré avec son avalanche de situations absurdes et décalées, mais qui, sur la durée, se révèle bien trop poussif malgré quelques bonnes idées (Artus hilarant en médecin légiste façon Top Chef).
Une comédie policière version « Hibernatus » qui, comme dans ce classique de Louis de Funès, semble avoir été écrite il y a un demi-siècle avant d’être oubliée dans un congélateur. Le réveil est brutal.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce n’est donc pas tant à l’humour populaire dévastateur des Inconnus et moins encore à l’explosivité parodique d’un Mel Brooks que ce film peut se comparer, plutôt à l’esprit des Bidasses du temps jadis, une sorte d’esthétique du lamentable telle que le cinéma français, d’une génération l’autre, nous en repasse les plats.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Comédie parodique placée sous le patronage des ZAZ et des Nuls, le film de B. Lehrer, faute de gags inventifs et d’une mise en scène plus inspirée, tombe à plat.
Le film lorgne ouvertement l’humour du collectif américain ZAZ ou encore celui des Nuls, absurde mais, au fond, très travaillé : tout l’inverse de ce sketch interminable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Cette comédie originale a bien mérité son Grand Prix au Festival de l’Alpe d’Huez.
Closer
Un thriller loufoque qui assume avec joie son côté nanar et s'annonce comme un futur polar culte.
Le Parisien
L’intrigue ne sert que de fil conducteur à une profusion de blagues puériles, absurdes ou trash. Et Didier Bourdon, comme Artus, nous offrent de grands numéros… Hilarant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec une touche d’humour noir, le premier film de Benjamin Lehrer fait tenir cette histoire insensée en s’appuyant sur une bande d’acteurs azimutés qui ont l’air de s’amuser comme des petits fous.
La Voix du Nord
Résultat inégal mais on applaudit le culot de l’affaire.
Le Dauphiné Libéré
38°5 quai des Orfèvres n’a rien d’une grande œuvre de terreur psychologique, mais tout d’une farce goubiboulga, assemblage disparate de références et de clins d’œil, pour un pastiche de comédie policière sans aucun esprit de sérieux.
Télé 2 semaines
Pour les amateurs de parodies et d'humour référencé et bourré d'absurde.
Télé 7 Jours
D’un mauvais goût crânement assumé, premier degré et bas de plafond, cette farce drôlement référencée additionne les gags, les clins d’œil rigolards et les punchlines.
Le Journal du Dimanche
Résultat, un exercice de style ultra-référencé (Le Silence des agneaux, Esprits criminels…) à prendre au quinzième degré avec son avalanche de situations absurdes et décalées, mais qui, sur la durée, se révèle bien trop poussif malgré quelques bonnes idées (Artus hilarant en médecin légiste façon Top Chef).
L'Obs
Une comédie policière version « Hibernatus » qui, comme dans ce classique de Louis de Funès, semble avoir été écrite il y a un demi-siècle avant d’être oubliée dans un congélateur. Le réveil est brutal.
Le Monde
Ce n’est donc pas tant à l’humour populaire dévastateur des Inconnus et moins encore à l’explosivité parodique d’un Mel Brooks que ce film peut se comparer, plutôt à l’esprit des Bidasses du temps jadis, une sorte d’esthétique du lamentable telle que le cinéma français, d’une génération l’autre, nous en repasse les plats.
Les Fiches du Cinéma
Comédie parodique placée sous le patronage des ZAZ et des Nuls, le film de B. Lehrer, faute de gags inventifs et d’une mise en scène plus inspirée, tombe à plat.
Ouest France
Un monument de malaise à peine croyable.
Première
Un monument de malaise sous couvert de cinquième degré.
Télérama
Le film lorgne ouvertement l’humour du collectif américain ZAZ ou encore celui des Nuls, absurde mais, au fond, très travaillé : tout l’inverse de ce sketch interminable.