Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Visant l’épure, la mise en scène s’appuie sur ces données élémentaires que sont le plan fixe, la variation d’axe et l’ellipse, s’autorisant tout au plus quelque panoramique et d’encore plus rares travellings – une économie morale du regard qui restitue fidèlement les êtres dans leur environnement, au contact du monde. Omirbaev n’impose pas un discours tout cuit, mais laisse les lieux parler pour lui.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Darezhan Omirbaev appartient à cette mouvance subtilement pince-sans-rire, qui regarde le monde sur un mode dubitatif, tout en mettant l’accent sur la beauté d’un geste et sur l’irréductible étrangeté du réel. Un cinéma rare, feutré et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film raconte leur double solitude, leur conscience d’être de si peu de poids devant l’effacement de leur culture, laminée par la langue des empires et par la folie furieuse du consumérisme. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une ode magnifique sur la puissance du Verbe créateur face au consumérisme.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La découverte de Poet sonne donc comme des retrouvailles joyeuses avec un cinéma dont on reconnaît l’influence première : le style à la Bresson, où l’insert (notamment sur les mains) fait partie intégrante de la grammaire d’Omirvajev.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une beauté formelle fascinante.
Positif
par Eugénie Zvonkine
Sobrement intitulé Poet, le nouveau film de Darejan Omirbaev a, comme les précédents, la limpidité d’une démonstration mathématique.
Transfuge
par Séverine Danflous
Pour le cinéaste, la poésie seule demeure à tout jamais outil de subversion.
Télérama
par Jacques Morice
Ce décalage ne va pas sans ironie loufoque. Dans ces plans simples et dépouillés, au symbolisme épuré, il y a autant de Bresson que de Kaurismäki.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
Comme son personnage, le film se révèle obstiné et ne dévie jamais de sa ligne : plus encore qu’un combat, la poésie y apparaît comme une entreprise de résistance qui consiste à déceler, à l’intérieur même de la machine capitaliste, la beauté nichée dans les éléments les plus triviaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Plastiquement réussi, ce « Poète » ne souffre que d’un excès : celui d’être plus théorique que poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Estelle Aubin
Poet prend parti certes (pour la poésie). Mais plutôt que de railler prétentieusement les smartphones et les centres commerciaux apathiques, il regarde le beau et le bon, sans cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Visant l’épure, la mise en scène s’appuie sur ces données élémentaires que sont le plan fixe, la variation d’axe et l’ellipse, s’autorisant tout au plus quelque panoramique et d’encore plus rares travellings – une économie morale du regard qui restitue fidèlement les êtres dans leur environnement, au contact du monde. Omirbaev n’impose pas un discours tout cuit, mais laisse les lieux parler pour lui.
L'Humanité
Darezhan Omirbaev appartient à cette mouvance subtilement pince-sans-rire, qui regarde le monde sur un mode dubitatif, tout en mettant l’accent sur la beauté d’un geste et sur l’irréductible étrangeté du réel. Un cinéma rare, feutré et envoûtant.
Le Monde
Le film raconte leur double solitude, leur conscience d’être de si peu de poids devant l’effacement de leur culture, laminée par la langue des empires et par la folie furieuse du consumérisme. A ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Une ode magnifique sur la puissance du Verbe créateur face au consumérisme.
Les Inrockuptibles
La découverte de Poet sonne donc comme des retrouvailles joyeuses avec un cinéma dont on reconnaît l’influence première : le style à la Bresson, où l’insert (notamment sur les mains) fait partie intégrante de la grammaire d’Omirvajev.
Ouest France
Une beauté formelle fascinante.
Positif
Sobrement intitulé Poet, le nouveau film de Darejan Omirbaev a, comme les précédents, la limpidité d’une démonstration mathématique.
Transfuge
Pour le cinéaste, la poésie seule demeure à tout jamais outil de subversion.
Télérama
Ce décalage ne va pas sans ironie loufoque. Dans ces plans simples et dépouillés, au symbolisme épuré, il y a autant de Bresson que de Kaurismäki.
Critikat.com
Comme son personnage, le film se révèle obstiné et ne dévie jamais de sa ligne : plus encore qu’un combat, la poésie y apparaît comme une entreprise de résistance qui consiste à déceler, à l’intérieur même de la machine capitaliste, la beauté nichée dans les éléments les plus triviaux.
L'Obs
Plastiquement réussi, ce « Poète » ne souffre que d’un excès : celui d’être plus théorique que poétique.
Première
Poet prend parti certes (pour la poésie). Mais plutôt que de railler prétentieusement les smartphones et les centres commerciaux apathiques, il regarde le beau et le bon, sans cynisme.