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Votre avis sur L'Esprit Coubertin ?
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Mon Dieu ce film est un des pires navets que j'ai jamais vu !! J'ai voulu regarder ça pour fêter la fin des JO de Paris mais comment dire... bah j'ai vite regretté mon initiative car ce film est lourd et amateur comme c'est pas permis ! L'humour est pénible et loufoque, l'histoire ne tient pas debout, les personnages sont exaspérants et j'ai vécu un vrai moment de solitude au sein de ce club France ! Non mais quel nanar... j'ai honte d'avoir regardé ça !
Sorti en 2024, ce premier long-métrage du co-réalisateur de la série Parlement prend pour cadre des Jeux Olympiques de Paris semi-imaginaires. Il nous plonge plus précisément au sein du village olympique aux côtés de Paul, interprété par un étonnant Benjamin Voisin dans un rôle à contre-emploi. Champion de tir, il va devenir l’unique chance pour la délégation française de remporter une médaille d’or, alors que les athlètes tricolores faillissent tous les uns après les autres. Hélas, le jeune homme est particulièrement immature, souvent problématique dans ses propos, et intéressé par peu de choses hormis sa discipline (et la discipline tout court). Parfois un brin maladroit, ne poussant pas toujours le curseur assez loin, L’esprit Coubertin n’en demeure pas moins une petite comédie décalée et tout à fait réjouissante. Avec une ribambelle de seconds rôles géniaux (Emmanuelle Bercot, Rivaldo Pawawi, Grégoire Ludig, Laura Felpin, Aure Atika, le duo DAVA…).
Je suis abonné a télérama depuis fort longtemps et je mets en doute leurs capacités de jugement cinématographiques quand il attribue une note de 4 sur 5 à un tel navet alors qu'il donne 2 sur 5 à Horizon de Costner qui est malgré tout un très bon film .
"L'esprit Coubertin" est une comédie dramatique qui nous plonge au cœur des Jeux Olympiques, un événement emblématique chargé d'espoir et de rivalités. Réalisé par Jérémie Sein et coécrit avec Mathias Gavarry, le film explore les défis auxquels sont confrontés les athlètes, en particulier la délégation française, dont les performances laissent à désirer après dix jours de compétition.
Au centre de l'histoire se trouve Paul, interprété par Benjamin Voisin, un jeune tiriste au potentiel indéniable mais à la maturité douteuse. Alors que tous les espoirs de la France reposent sur ses épaules, Paul se révèle être à la fois immature et peu réfléchi, ce qui crée une tension palpable. Le film réussit à capturer cette pression, tant sur le plan personnel que collectif, en mettant en lumière le poids des attentes qui pèsent sur les athlètes.
L'intrigue prend une tournure inattendue lorsque Paul se voit contraint de partager sa chambre avec un nageur, Rivaldo Pawawi, dont les préoccupations semblent davantage tournées vers les plaisirs du village olympique que vers la compétition elle-même. Ce duo improbable devient rapidement le cœur du film, avec leurs interactions pleines de malice et de rivalité. La dynamique entre Paul et son colocataire crée des moments comiques mais aussi des réflexions plus profondes sur la discipline, le sacrifice et les véritables valeurs du sport.
Emmanuelle Bercot, dans le rôle d'un entraîneur déterminé, apporte une touche de sérieux au récit. Son personnage incarne la voix de la raison et les défis auxquels les entraîneurs doivent faire face pour motiver des athlètes parfois perdus dans l’ombre des attentes. Elle souligne l'importance de la préparation mentale, un aspect souvent négligé dans le sport de haut niveau.
Visuellement, "L'esprit Coubertin" est bien réalisé, avec une photographie qui capte l'énergie des Jeux, des scènes d’entraînement intenses aux moments de détente au village olympique. La bande sonore dynamise le récit, accentuant les émotions des personnages et les enjeux de la compétition.
À travers l'histoire de Paul, le film aborde des thèmes universels tels que la recherche de soi, l’importance de l’amitié et la notion d'échec. L'esprit de Coubertin, qui prône l'idée que "l'important est de participer", trouve un écho fort dans le parcours de Paul, qui apprend à se dépasser et à embrasser la véritable essence du sport au-delà des médailles.
Au centre de l'histoire se trouve Paul, interprété par Benjamin Voisin, un jeune tiriste au potentiel indéniable mais à la maturité douteuse. Alors que tous les espoirs de la France reposent sur ses épaules, Paul se révèle être à la fois immature et peu réfléchi, ce qui crée une tension palpable. Le film réussit à capturer cette pression, tant sur le plan personnel que collectif, en mettant en lumière le poids des attentes qui pèsent sur les athlètes.
L'intrigue prend une tournure inattendue lorsque Paul se voit contraint de partager sa chambre avec un nageur, Rivaldo Pawawi, dont les préoccupations semblent davantage tournées vers les plaisirs du village olympique que vers la compétition elle-même. Ce duo improbable devient rapidement le cœur du film, avec leurs interactions pleines de malice et de rivalité. La dynamique entre Paul et son colocataire crée des moments comiques mais aussi des réflexions plus profondes sur la discipline, le sacrifice et les véritables valeurs du sport.
Emmanuelle Bercot, dans le rôle d'un entraîneur déterminé, apporte une touche de sérieux au récit. Son personnage incarne la voix de la raison et les défis auxquels les entraîneurs doivent faire face pour motiver des athlètes parfois perdus dans l’ombre des attentes. Elle souligne l'importance de la préparation mentale, un aspect souvent négligé dans le sport de haut niveau.
Visuellement, "L'esprit Coubertin" est bien réalisé, avec une photographie qui capte l'énergie des Jeux, des scènes d’entraînement intenses aux moments de détente au village olympique. La bande sonore dynamise le récit, accentuant les émotions des personnages et les enjeux de la compétition.
À travers l'histoire de Paul, le film aborde des thèmes universels tels que la recherche de soi, l’importance de l’amitié et la notion d'échec. L'esprit de Coubertin, qui prône l'idée que "l'important est de participer", trouve un écho fort dans le parcours de Paul, qui apprend à se dépasser et à embrasser la véritable essence du sport au-delà des médailles.
Film le plus éclaté de l'histoire du cinéma français. Extrêmement déçu du jeu des acteurs et de l'intrigue du film.
Non mais quel film incroyable ! Déjà c'est hyper drôle avec des répliques et des persos mythiques (Grégoire Ludig en judoka, les présentateurs télé, Bercot en coach...et j'en passe il y en a pour tout le monde), mais il y a une deuxième lecture car le ton est beaucoup plus malin qu'on pourrait le penser : c'est un film de passage à l'âge adulte qui se moque en permanence des clichés qu'on voit dans les films de sport, l'obsession de la réussite, le sens qu'on donne à nos combats. Coup de maître pour un premier film, d'être aussi drôle et aussi intelligent. Enfin la performance de Benjamin Voisin est mémorable et jamais vue ! Le cinéma français a de l'avenir !!! BRAVO
PLR
Quelques piques, quelques contrepieds sur le politiquement correct. Le milieu du sport (Olympique, l’élite !) décrit par ses travers, avec dérision et un sens limite de la provocation. Il y aurait sans doute eu matière à nous en donner davantage. On se contentera de ces quelques échantillons. Quelques scènes qui resteront dans les mémoires. Du « rire jaune » si on aime le sport. De l’adhésion (vengeresse ?) à ces coups bien envoyés si on est plus distant et pas dupes de tout ce qu’il y a derrière le vernis de la compétition. Car l’Esprit Coubertin (le titre) ce n’est pas toujours ce qu’on croit ou ce que ça devrait être. Un registre décalé, pince-sans-rire (l'art de pratiquer l'ironie à froid).
Cinéphiles 44
Emmanuelle Bercot et Benjamin Voisin ne se prennent pas au sérieux dans "L'esprit Coubertin", une comédie sportive centrée sur les Jeux Olympiques. Dans le film, les délégations françaises sont historiquement médiocres et incapables de remporter une médaille d'or. Tout l'enjeu repose sur les épaules du champion du monde de tir, mais sa préparation ne se déroule pas comme prévue. Bien que l'histoire soit anecdotique, elle offre un divertissement loufoque et joyeux.
Excellent 1er film de Jérémie Sein que je considère un peu comme une caricature des J.O qui est gentiment incisive et n'épargne pas les différents protagonistes ! Benjamin Voisin dans un rôle à contre-emploi est juste excellent dans l'incarnation de cet anti-héros !
Yetcha
Déception concernant cette comédie. La bande-anonce annonçait quelque chose de décalé et drôle. Mais s'il y a quelques passages plutôt rigolos, l'ensemble est long et ennuyeux.
Christoblog
Il y a beaucoup de choses sympathiques dans L'effet Coubertin : le jeu pince sans-rire de Benjamin Voisin, celui beaucoup plus marqué d'Emmanuel Bercot, toujours prompte à surprendre, et enfin la mise en scène distanciée et pas désagréable de Jérémie Stein (qui oeuvre à la très bonne série Parlement).
Malheureusement, et même si le film se laisse regarder sans problème, je n'ai pas pu m'empêcher d'être un peu décu. Il manque à ce comique de situation un petit quelque chose qui nous arrache un vrai rire (et pas seulement les sourires qui, eux, ne manquent pas).
La vraie réussite de L'esprit Coubertin, au-delà des lieux communs qui s'accumulent dans le village olympique (ça fornique à tout va), c'est pour moi le portrait à la fois très caustique et finalement assez réaliste des journalistes sur le plateau télé. Ces passages sont vraiment drôles, y compris si on s'attache à lire les bandeaux qui défilent en bas de l'écran, façon chaÎne d'information continue.
Plaisant, mais inconsistant.
Malheureusement, et même si le film se laisse regarder sans problème, je n'ai pas pu m'empêcher d'être un peu décu. Il manque à ce comique de situation un petit quelque chose qui nous arrache un vrai rire (et pas seulement les sourires qui, eux, ne manquent pas).
La vraie réussite de L'esprit Coubertin, au-delà des lieux communs qui s'accumulent dans le village olympique (ça fornique à tout va), c'est pour moi le portrait à la fois très caustique et finalement assez réaliste des journalistes sur le plateau télé. Ces passages sont vraiment drôles, y compris si on s'attache à lire les bandeaux qui défilent en bas de l'écran, façon chaÎne d'information continue.
Plaisant, mais inconsistant.
Tous les moments assez déjantés du film se trouvent dans la BA, la déception est grande au vu de la platitude du scénario et de l’ennui perçu malgré la durée très raisonnable.
Rien d’essentiel mais un passe temps tout de même.
Rien d’essentiel mais un passe temps tout de même.
Voici une petite comédie française rafraîchissante et dynamique. On a malgré tout tenté de mettre les moyens financiers là dessus même si la plupart des plans se font en interne (divers équipes, tirs sportifs, délégations...). L'histoire est plutôt sympathique, pas ou rares confrontations sportives avec les autres équipes d'autres pays, pas de quoi rire aux éclats non plus. Quelques personnages atypiques amusants viennent réguler au mieux certaines situations pas drôle du tout et limite vulgaires. Les deux personnages principaux de l’Équipe de France manquent de charisme et finissent par agacer, c'est dommage car le reste des acteurs s’en sort plutôt bien. Une comédie légère, parfois vulgaire inutilement, que l'on oubliera vite.
Tel un athlète de haut niveau qui a tout gagné, « L’esprit Coubertin » est une promesse qui n’a pas pu ou su tenir dans la durée, pourtant courte, par manque de souffle !
Les prestations de Benjamin Bonvoisin et d’Emmanuelle Bercot ne sont pas en cause, au contraire, seule la mécanique narrative sans doute mal réglée du metteur en scène Jérémie Sein ne m’a pas convaincu.
Par contre, j’ai souri volontiers aux informations déroulées sur le bandeau du journal.
Même à prendre à tous les degrés de la dérision, « L’esprit Coubertin » ne monte pas sur le podium.
Dommage.
Les J.O, ce n’est plus un esprit de participation, c’est une compétition de très haut niveau. Et nos Français de Paris 2024 ont fait plus que participer…
Le logiciel de Jérémie Sein serait-il déjà obsolète ?
Ça va, c'est à prendre au troisième degré...
Les prestations de Benjamin Bonvoisin et d’Emmanuelle Bercot ne sont pas en cause, au contraire, seule la mécanique narrative sans doute mal réglée du metteur en scène Jérémie Sein ne m’a pas convaincu.
Par contre, j’ai souri volontiers aux informations déroulées sur le bandeau du journal.
Même à prendre à tous les degrés de la dérision, « L’esprit Coubertin » ne monte pas sur le podium.
Dommage.
Les J.O, ce n’est plus un esprit de participation, c’est une compétition de très haut niveau. Et nos Français de Paris 2024 ont fait plus que participer…
Le logiciel de Jérémie Sein serait-il déjà obsolète ?
Ça va, c'est à prendre au troisième degré...
De bons ingrédients mal cuisinés. Scenario indigent. Quelques bonnes vannes mais beaucoup de gags soit clichés soit de mauvais goût. Peut mieux faire !
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