Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Point
par Philippe Guedj, Jean-Luc Wachthausen
Dans son premier film, un polar social, le réalisateur Baptiste Debraux rassemble les pièces d'un puzzle où s'entremêlent une intrigue policière et un drame social sur fond de luttes ouvrières.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Olivier De Bruyn
Entre polar et drame réaliste, Baptiste Debraux met en scène des personnages obsédés par leur passé et concocte une fiction qui, sur un mode (très) mineur, rappelle parfois l’univers des romans de Nicolas Mathieu. Résultat honorable, malgré les maladresses du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Guillemette Odicino
Très intelligemment construit à coups de flash-back qui abolissent le temps, Un homme en fuite plonge au cœur de l’amitié comme dans une légende, avec un héros hors la loi et un alter ego qui "revient", façon western.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un polar de bonne texture.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Drames familiaux et déréliction régionale s’offrent mieux ici juxtaposés, amollis, comme l’ile boueuse sur la Meuse où Johnny et Paul, lecteurs de Stevenson, construisaient des cabanes sous les feuilles mortes. En faisant converger Bouillon et Drucker vers cette périphérie sans usage pour les autres habitants, Un homme en fuite cesse enfin de s’ébattre avec sa dramaturgie de polar pour décanter à ciel ouvert.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par N.C
Dans son thriller au style noir, sur fond de vengeance sociale et de trahisons, Baptiste Debraux émerge de la banalité, mais s’englue dans les tumultes émotionnels et psychologiques de ses personnages, sur fond de flash-back.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
On y croit durant une bonne demi-heure, le premier acte du film faisant même espérer la révélation d’un Jeff Nichols des Ardennes. Tout s’effondre, malheureusement, par la suite, ensevelie sous les raccourcis, les invraisemblances et une direction d’acteurs qui laisse à désirer. Quel dommage !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par N.C
Dans son thriller au style noir, sur fond de vengeance sociale et de trahisons, Baptiste Debraux émerge de la banalité, mais s’englue dans les tumultes émotionnels et psychologiques de ses personnages, sur fond de flash-back.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
par B.T.
On s’ennuie vite dans cette chasse à l’homme aux idées radicales, menée de main de fer par Léa Drucker dans le rôle d’une commissaire qui ne lâche rien, mais qui part dans tous les sens pour aller nulle part. Bastien Bouillon, Pierre Lottin et Marion Barbeau, talents prometteurs de la nouvelle génération, ont tendance à surjouer pour tenter de faire illusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Grégory Plouviez
On aurait aimé défendre davantage ce premier film signé Bastien Debraux (...). Dommage que l’histoire ne tienne pas la distance et que les incessants flash-back finissent par imposer une lourdeur fâcheuse au scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Yohan Haddad
Sous influence nordique, ce polar évolue maladroitement entre flashbacks et flashforwards, enchaîne les retournements de situations improbables, et peine à développer un véritable propos politique. Reste l’incroyable Pierre Lottin en voyou flegmatique, qui vole nettement la vedette au reste du casting.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Entre thriller et lutte sociale, le film peine à convaincre, empêtré dans une série de flash-back déroutants, de renversements de situations et des personnages peu crédibles, difficiles à incarner. Seul Pierre Lottin (Les Tuches), parfait en Che Guevara ardennais, tire son épingle du jeu.
Les Fiches du Cinéma
par A.C.
Les intrigues secondaires manquent de corps (...), en plus de n’avoir aucun intérêt dans la conduite générale du récit, manque d’une réelle conclusion. Le réalisateur se distingue toutefois par sa faculté à instaurer une ambiance austère, grâce à son approche esthétique de son décor, celui des Ardennes, envisagé comme un paysage de misère - en cohérence avec le climat social qui règne dans le récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Point
Dans son premier film, un polar social, le réalisateur Baptiste Debraux rassemble les pièces d'un puzzle où s'entremêlent une intrigue policière et un drame social sur fond de luttes ouvrières.
Marianne
Entre polar et drame réaliste, Baptiste Debraux met en scène des personnages obsédés par leur passé et concocte une fiction qui, sur un mode (très) mineur, rappelle parfois l’univers des romans de Nicolas Mathieu. Résultat honorable, malgré les maladresses du scénario.
Télérama
Très intelligemment construit à coups de flash-back qui abolissent le temps, Un homme en fuite plonge au cœur de l’amitié comme dans une légende, avec un héros hors la loi et un alter ego qui "revient", façon western.
aVoir-aLire.com
Un polar de bonne texture.
Cahiers du Cinéma
Drames familiaux et déréliction régionale s’offrent mieux ici juxtaposés, amollis, comme l’ile boueuse sur la Meuse où Johnny et Paul, lecteurs de Stevenson, construisaient des cabanes sous les feuilles mortes. En faisant converger Bouillon et Drucker vers cette périphérie sans usage pour les autres habitants, Un homme en fuite cesse enfin de s’ébattre avec sa dramaturgie de polar pour décanter à ciel ouvert.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans son thriller au style noir, sur fond de vengeance sociale et de trahisons, Baptiste Debraux émerge de la banalité, mais s’englue dans les tumultes émotionnels et psychologiques de ses personnages, sur fond de flash-back.
L'Obs
On y croit durant une bonne demi-heure, le premier acte du film faisant même espérer la révélation d’un Jeff Nichols des Ardennes. Tout s’effondre, malheureusement, par la suite, ensevelie sous les raccourcis, les invraisemblances et une direction d’acteurs qui laisse à désirer. Quel dommage !
Le Dauphiné Libéré
Dans son thriller au style noir, sur fond de vengeance sociale et de trahisons, Baptiste Debraux émerge de la banalité, mais s’englue dans les tumultes émotionnels et psychologiques de ses personnages, sur fond de flash-back.
Le Journal du Dimanche
On s’ennuie vite dans cette chasse à l’homme aux idées radicales, menée de main de fer par Léa Drucker dans le rôle d’une commissaire qui ne lâche rien, mais qui part dans tous les sens pour aller nulle part. Bastien Bouillon, Pierre Lottin et Marion Barbeau, talents prometteurs de la nouvelle génération, ont tendance à surjouer pour tenter de faire illusion.
Le Parisien
On aurait aimé défendre davantage ce premier film signé Bastien Debraux (...). Dommage que l’histoire ne tienne pas la distance et que les incessants flash-back finissent par imposer une lourdeur fâcheuse au scénario.
Première
Sous influence nordique, ce polar évolue maladroitement entre flashbacks et flashforwards, enchaîne les retournements de situations improbables, et peine à développer un véritable propos politique. Reste l’incroyable Pierre Lottin en voyou flegmatique, qui vole nettement la vedette au reste du casting.
Télé 7 Jours
Entre thriller et lutte sociale, le film peine à convaincre, empêtré dans une série de flash-back déroutants, de renversements de situations et des personnages peu crédibles, difficiles à incarner. Seul Pierre Lottin (Les Tuches), parfait en Che Guevara ardennais, tire son épingle du jeu.
Les Fiches du Cinéma
Les intrigues secondaires manquent de corps (...), en plus de n’avoir aucun intérêt dans la conduite générale du récit, manque d’une réelle conclusion. Le réalisateur se distingue toutefois par sa faculté à instaurer une ambiance austère, grâce à son approche esthétique de son décor, celui des Ardennes, envisagé comme un paysage de misère - en cohérence avec le climat social qui règne dans le récit.