Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Ce premier long-métrage explore la thématique LGTBQ+ dans un registre émotionnel et sensible, au plus proche des sentiments de ses personnages, loin des discours et du militantisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Dans ce régime d'une banalité assumée où rien de spectaculaire n'advient vraiment – de ce point de vue, le titre est trompeur -, l'émotion surgit de biais, dans la répétition de ces scènes musicales qui s'avèrent les plus belles [et] disent une intensité que le film, trop précautionneux, refuse de libérer.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Avec "Sublime", l’expression de l’amour se figure au-delà des paroles ou des regards, et se trouve peut-être davantage encore dans la mélodie et le rythme des mots.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Le passage vers l’homosexualité acceptée est évoqué avec bienveillance, et les acteurs, qui ont l’âge de leurs rôles, sont très convaincants. Cinéma intimiste, cinéma des sentiments : le titre donne le ton.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Le réalisateur et scénariste argentin Mariano Biasin signe Sublime, un premier (petit) film aussi touchant et chargé de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par J.O.
Un film sensible et pudique sur la découverte de l'orientation sexuelle, qui marque par sa bienveillance et son sympathique casting.
Télé Loisirs
par J.O.
Un film sensible et pudique sur la découverte de l'orientation sexuelle, qui marque par sa bienveillance et son sympathique casting.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce premier long métrage est une œuvre attachante qui porte un regard juste sur les fragilités de l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Très stéréotypé, le récit de ce drame édulcoré est hélas téléguidé, et sans grande tension.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
On salue la pudeur et la douceur d'un cinéaste modeste qui signe là un premier film fragile un brin longuet.
Première
par Estelle Aubin
Si la première demi-heure du film laisse présager un Call me by your name ensoleillé en Argentine, l’intrigue, qui repose uniquement sur l’évocation du trouble amoureux (que se passe-t-il en moi ? Dois-je l’exprimer à l’autre ? Le garder pour moi ?) s’essouffle vite. Sublime est mignon mais guère plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Michel Bezbakh
Peut-être fallait-il filmer de dos le jeune Martin Miller pour qu’il nous rappelle Timothée Chalamet. Mais cela donne juste envie, finalement, de revoir Call Me by Your Name.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Ce premier long-métrage explore la thématique LGTBQ+ dans un registre émotionnel et sensible, au plus proche des sentiments de ses personnages, loin des discours et du militantisme.
Cahiers du Cinéma
Dans ce régime d'une banalité assumée où rien de spectaculaire n'advient vraiment – de ce point de vue, le titre est trompeur -, l'émotion surgit de biais, dans la répétition de ces scènes musicales qui s'avèrent les plus belles [et] disent une intensité que le film, trop précautionneux, refuse de libérer.
Culturopoing.com
Avec "Sublime", l’expression de l’amour se figure au-delà des paroles ou des regards, et se trouve peut-être davantage encore dans la mélodie et le rythme des mots.
L'Obs
Le passage vers l’homosexualité acceptée est évoqué avec bienveillance, et les acteurs, qui ont l’âge de leurs rôles, sont très convaincants. Cinéma intimiste, cinéma des sentiments : le titre donne le ton.
Rolling Stone
Le réalisateur et scénariste argentin Mariano Biasin signe Sublime, un premier (petit) film aussi touchant et chargé de délicatesse.
Télé 2 semaines
Un film sensible et pudique sur la découverte de l'orientation sexuelle, qui marque par sa bienveillance et son sympathique casting.
Télé Loisirs
Un film sensible et pudique sur la découverte de l'orientation sexuelle, qui marque par sa bienveillance et son sympathique casting.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage est une œuvre attachante qui porte un regard juste sur les fragilités de l’adolescence.
Les Fiches du Cinéma
Très stéréotypé, le récit de ce drame édulcoré est hélas téléguidé, et sans grande tension.
Positif
On salue la pudeur et la douceur d'un cinéaste modeste qui signe là un premier film fragile un brin longuet.
Première
Si la première demi-heure du film laisse présager un Call me by your name ensoleillé en Argentine, l’intrigue, qui repose uniquement sur l’évocation du trouble amoureux (que se passe-t-il en moi ? Dois-je l’exprimer à l’autre ? Le garder pour moi ?) s’essouffle vite. Sublime est mignon mais guère plus.
Télérama
Peut-être fallait-il filmer de dos le jeune Martin Miller pour qu’il nous rappelle Timothée Chalamet. Mais cela donne juste envie, finalement, de revoir Call Me by Your Name.