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Dans son premier film, le débutant Ronan Tronchot met en scène un prêtre qui apprend sur le tard qu’il est le père d’un gamin de 11 ans. Malgré ses défauts, cette fiction entraîne le spectateur dans son charme et prouve que tous les costumes conviennent à l’excellent Grégory Gadebois, y compris celui d’ecclésiastique.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ce premier film questionnant les règles ancestrales de l’Eglise dans de beaux décors auxerrois bénéficie d’une interprétation impeccable, dominée par l’excellent Grégory Gadebois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La description du quotidien d’une paroisse y est très réaliste, et si les personnages secondaires ont tous une fonction didactique – défauts récurrents des premiers longs métrages –, le film y gagne en intelligibilité pour les spectateurs. Surtout, il est servi par un casting formidable (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Comment exercer son sacerdoce tout en assumant son passé, concilier vie spirituelle et intime, autant de questions que pose ce premier film, au cheminement certes balisé, mais qui a le mérite de la simplicité et de l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La vocation sacerdotale est-elle, comme le soutient Simon contre sa hiérarchie, compatible avec celle de la paternité ? Ce sont ces voies particulières qu’explore le film, qui eût considérablement gagné en vraisemblance s’il s’était un peu plus intéressé au personnage, si l’on ose dire sacrifié, du fils.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dommage que l’audace et la singularité appréciées du propos manquent à sa narration et à sa mise en scène très conventionnelles. Il reste alors un film tendre sur l’amour paternel : le spirituel, celui que l’on consacre dans une prière, et le biologique, celui qui transcende parfois la morale établie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
S’il parvient à éviter l’écueil du prosélytisme, le premier long métrage de Ronan Tronchot reste néanmoins à la surface des choses et de ses personnages.
Porté par un Gregory Gadebois une fois encore remarquable, le film reste trop scolaire dans la conduite de son récit pour aller au- delà de la simple illustration de son sujet
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce dilemme moral, personnel et professionnel, semble monté en épingle : les états d’âme du brave prêtre sont patiemment disséqués, alors que la charité chrétienne pèse d’emblée de tout son poids pour le secours à un pauvre gamin ballotté entre ses géniteurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le réalisateur livre une interrogation passionnante sur l’évolution de l’Eglise actuelle.
Closer
Un premier film lumineux, sensible, subtil, jamais caricatural ni moralisateur.
Le Figaro
D’une profondeur inattendue.
Marianne
Dans son premier film, le débutant Ronan Tronchot met en scène un prêtre qui apprend sur le tard qu’il est le père d’un gamin de 11 ans. Malgré ses défauts, cette fiction entraîne le spectateur dans son charme et prouve que tous les costumes conviennent à l’excellent Grégory Gadebois, y compris celui d’ecclésiastique.
Télé 2 semaines
Touchant et équilibré, le film offre un éclairage intéressant sur une question délicate [...].
L'Obs
Ce premier film questionnant les règles ancestrales de l’Eglise dans de beaux décors auxerrois bénéficie d’une interprétation impeccable, dominée par l’excellent Grégory Gadebois.
La Croix
La description du quotidien d’une paroisse y est très réaliste, et si les personnages secondaires ont tous une fonction didactique – défauts récurrents des premiers longs métrages –, le film y gagne en intelligibilité pour les spectateurs. Surtout, il est servi par un casting formidable (...).
Paris Match
Comment exercer son sacerdoce tout en assumant son passé, concilier vie spirituelle et intime, autant de questions que pose ce premier film, au cheminement certes balisé, mais qui a le mérite de la simplicité et de l’humanité.
Télé Loisirs
Touchant et équilibré, le film offre un éclairage intéressant sur une question délicate mais sans doute prégnante au sein de l'Église catholique.
aVoir-aLire.com
Un premier film riche de promesses abordant un sujet délicat - la paternité des prêtres de l’église catholique - mais non dénué de faiblesses.
Le Journal du Dimanche
[...] l'ensemble, trop sage et téléfilmesque, peine à se hisser à la hauteur de son passionnant sujet.
Le Monde
La vocation sacerdotale est-elle, comme le soutient Simon contre sa hiérarchie, compatible avec celle de la paternité ? Ce sont ces voies particulières qu’explore le film, qui eût considérablement gagné en vraisemblance s’il s’était un peu plus intéressé au personnage, si l’on ose dire sacrifié, du fils.
Le Parisien
Dommage que l’audace et la singularité appréciées du propos manquent à sa narration et à sa mise en scène très conventionnelles. Il reste alors un film tendre sur l’amour paternel : le spirituel, celui que l’on consacre dans une prière, et le biologique, celui qui transcende parfois la morale établie.
Les Fiches du Cinéma
S’il parvient à éviter l’écueil du prosélytisme, le premier long métrage de Ronan Tronchot reste néanmoins à la surface des choses et de ses personnages.
Première
Porté par un Gregory Gadebois une fois encore remarquable, le film reste trop scolaire dans la conduite de son récit pour aller au- delà de la simple illustration de son sujet
Sud Ouest
On se souviendra principalement de l’interprétation humaine, sensible, de Grégory Gadebois.
Télérama
Ce dilemme moral, personnel et professionnel, semble monté en épingle : les états d’âme du brave prêtre sont patiemment disséqués, alors que la charité chrétienne pèse d’emblée de tout son poids pour le secours à un pauvre gamin ballotté entre ses géniteurs.