Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Entre débats du couple et ébats des ex, le duo de cinéastes belges d’Une Vie démente (2020) signe un deuxième long-métrage épatant, aussi barré que leur premier. Où le désir d’enfant passe par le deuil du passé amoureux.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Étonnant, piquant, terriblement séduisant, Le Syndrome des amours passées renouvelle le genre terriblement usé de la comédie du couple, avec un sens de l’humour parfois étrange, aux confins du fantastique et du fantasmatique.
BIBA
par Samuel Loutaty
Ce conte loufoque - qui en dit beaucoup sur notre époque - est une réussite portée par un duo d'acteurs hors pair (souvent très drôle) et une réalisation inventive.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Posant un regard moderne sur le couple et la sexualité (explorés avec une légèreté qui n'empêche pas la profondeur), [cette comédie] séduit par son humour, sa créativité, son originalité.
Le Parisien
par La Rédaction
Le talent des comédiens Lucie Debay et Lazare Gousseau, et des personnages secondaires épatants, interprétés notamment par Nora Hamzawi et Florence Loiret-Caille, contribuent grandement à la réussite de cet ovni décalé et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Insolite et joyeusement incorrect.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Cette chronique, gentiment folle et très attachante, parvient alternativement à amuser, à surprendre, et même à émouvoir.
Télérama
par Jérémie Couston
Une mystérieuse maladie contraint des amoureux à recoucher avec chacun de leurs ex. Avec sa mise en scène minimaliste et son propos farfelu, les réalisateurs belges parviennent à en dire long sur nos désirs et nos tabous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un joli conte sur la faim du couple.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière ce conte cocasse et moins léger qu’il ne paraît, Ann Sirot et Raphaël Balboni confirment leur talent de conteur dans un style frais et inimitable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Ann Sirot et Raphaël Balboni confirment l'élégance hurluberlu de leur cinéma avec ce second long métrage qui dynamite le couple.
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
Sous ses dehors modestes et un peu inaboutis, c'est cependant un réjouissant feel good movie qui offre, à l'issue d'un exercice de funambulisme érotico-amoureux, une vision de la famille revigorante emprunte d'une grande tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Siphonné ? Un peu, mais le charme des acteurs et la mélancolie des personnages donnent au film quelque chose de gracieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Derrière cet humour décalé, une réflexion aiguisée sur le couple, le désir d’enfant et l’amour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Cette comédie aux accents dramatiques ne réussit pas tout, mais surmonte ses faiblesses par une vision moderne de la famille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Nicolas Moreno
Malgré sa conclusion en légère perte d’intensité, le nouveau long métrage d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (Une vie démente) interroge pertinemment là où en sont les relations amoureuses hétéronormées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Joffrey Liagre
Derrière la décontraction du film se cache une certaine tendance à forcer le trait de l’excentricité, en surjouant une bizarrerie de façade.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Dl.
Mais les réalisateurs confèrent à cette série de retrouvailles une force émancipatrice que le film a du mal à justifier. Emoussée par des dialogues improvisés de qualité inégale, la fantaisie romantique manque d’aspérité et se résume trop souvent à l’anecdotique et au folklore.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Malgré la belle énergie de Lucie Debay, “Le Syndrome des amours passées” manque de grâce. Traillé entre un anticonformisme de façade et des réflexes normatifs un peu poussiéreux, il finit par dérouler un système trop redondant et trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Le parti pris du jump-cut intégral, déjà présent dans "Une vie démente", produit ici la désagréable impression d’un faux rythme permanent et contraint le film à demeurer dans une superficialité de format court, façon vidéo YouTube.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
par É.S.
Il s'ensuit des situations plus ou moins loufoques, des incompréhensions, de la jalousie et des scènes de sexe très prudes. Après leur premier long-métrage sur la maladie d'Alzheimer (Une vie démente), le tandem bel Sirot-Balboni pose un regard sur le couple et le désir d'enfant assez inoffensif.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Dernières Nouvelles d'Alsace
Entre débats du couple et ébats des ex, le duo de cinéastes belges d’Une Vie démente (2020) signe un deuxième long-métrage épatant, aussi barré que leur premier. Où le désir d’enfant passe par le deuil du passé amoureux.
Le Dauphiné Libéré
Étonnant, piquant, terriblement séduisant, Le Syndrome des amours passées renouvelle le genre terriblement usé de la comédie du couple, avec un sens de l’humour parfois étrange, aux confins du fantastique et du fantasmatique.
BIBA
Ce conte loufoque - qui en dit beaucoup sur notre époque - est une réussite portée par un duo d'acteurs hors pair (souvent très drôle) et une réalisation inventive.
Le Journal du Dimanche
Posant un regard moderne sur le couple et la sexualité (explorés avec une légèreté qui n'empêche pas la profondeur), [cette comédie] séduit par son humour, sa créativité, son originalité.
Le Parisien
Le talent des comédiens Lucie Debay et Lazare Gousseau, et des personnages secondaires épatants, interprétés notamment par Nora Hamzawi et Florence Loiret-Caille, contribuent grandement à la réussite de cet ovni décalé et réjouissant.
Les Echos
Insolite et joyeusement incorrect.
Télé 2 semaines
Cette chronique, gentiment folle et très attachante, parvient alternativement à amuser, à surprendre, et même à émouvoir.
Télérama
Une mystérieuse maladie contraint des amoureux à recoucher avec chacun de leurs ex. Avec sa mise en scène minimaliste et son propos farfelu, les réalisateurs belges parviennent à en dire long sur nos désirs et nos tabous.
Voici
Un joli conte sur la faim du couple.
aVoir-aLire.com
Derrière ce conte cocasse et moins léger qu’il ne paraît, Ann Sirot et Raphaël Balboni confirment leur talent de conteur dans un style frais et inimitable.
CinemaTeaser
Ann Sirot et Raphaël Balboni confirment l'élégance hurluberlu de leur cinéma avec ce second long métrage qui dynamite le couple.
Culturopoing.com
Sous ses dehors modestes et un peu inaboutis, c'est cependant un réjouissant feel good movie qui offre, à l'issue d'un exercice de funambulisme érotico-amoureux, une vision de la famille revigorante emprunte d'une grande tendresse.
L'Obs
Siphonné ? Un peu, mais le charme des acteurs et la mélancolie des personnages donnent au film quelque chose de gracieux.
La Croix
Derrière cet humour décalé, une réflexion aiguisée sur le couple, le désir d’enfant et l’amour.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie aux accents dramatiques ne réussit pas tout, mais surmonte ses faiblesses par une vision moderne de la famille.
Première
Malgré sa conclusion en légère perte d’intensité, le nouveau long métrage d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (Une vie démente) interroge pertinemment là où en sont les relations amoureuses hétéronormées.
Critikat.com
Derrière la décontraction du film se cache une certaine tendance à forcer le trait de l’excentricité, en surjouant une bizarrerie de façade.
Le Monde
Mais les réalisateurs confèrent à cette série de retrouvailles une force émancipatrice que le film a du mal à justifier. Emoussée par des dialogues improvisés de qualité inégale, la fantaisie romantique manque d’aspérité et se résume trop souvent à l’anecdotique et au folklore.
Les Inrockuptibles
Malgré la belle énergie de Lucie Debay, “Le Syndrome des amours passées” manque de grâce. Traillé entre un anticonformisme de façade et des réflexes normatifs un peu poussiéreux, il finit par dérouler un système trop redondant et trop sage.
Libération
Le parti pris du jump-cut intégral, déjà présent dans "Une vie démente", produit ici la désagréable impression d’un faux rythme permanent et contraint le film à demeurer dans une superficialité de format court, façon vidéo YouTube.
Le Figaro
Il s'ensuit des situations plus ou moins loufoques, des incompréhensions, de la jalousie et des scènes de sexe très prudes. Après leur premier long-métrage sur la maladie d'Alzheimer (Une vie démente), le tandem bel Sirot-Balboni pose un regard sur le couple et le désir d'enfant assez inoffensif.