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28 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
« Un Silence » de Joachim Lafosse focalise sur la mère de famille. Il décortique, à travers une mise en scène et en images époustouflantes, sa honte, son silence, son revirement. (...) Fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par E.B.
Un thriller glaçant, dévoré par les ombres nocturnes, avec un Daniel Auteuil et une Emmanuelle Devis au sommet de leur jeu.
20 Minutes
par Caroline Vié
Regarder Un silence n’est pas une partie de plaisir. L’intensité des rapports entre les personnages rend l’expérience poignante mais fort satisfaisante pour tout spectateur qui se passionne pour la mécanique du crime et de la justice. Joachim Lafosse est un fin observateur d’une nature humaine qu’il retranscrit brillamment à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Joachim Lafosse jette le trouble et un sentiment d’effroi, dans un drame glaçant inspiré d’une affaire qui a choqué la Belgique : la condamnation pour détention d’images pédopornographiques de Victor Hissel, l’avocat des parties civiles dans l’affaire du tueur et violeur en série Marc Dutroux.
Elle
par Françoise Delbecq
Un thriller psychologique palpitant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'histoire tourne autour de cet angle mort, forcément frustrant puisqu'il refuse toute explication.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Fondé sur un scénario original, non une adaptation, "Un silence" joue d’une approche frontale de son sujet, mais subtile dans son développement, sa mise en scène et son interprétation, avec une comédienne et un comédien au sommet de leur art.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Dans la peau du monstre qu’il endosse courageusement, Daniel Auteuil, que l’on n’avait pas vu aussi bon depuis longtemps, est glaçant, nous faisant regretter qu’il ne soit pas mieux employé par le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Peu de mots, donc, face aux doutes et aux peurs destructrices. Un film comme un choc salutaire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Joachim Lafosse, dans une approche minutieuse et sobre, met sous tension chaque scène de ce récit glaçant, avec une intensité dramatique au scalpel.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Joachim Lafosse décrit, sans pathos et avec beaucoup de sobriété, le poids du déni dans un foyer dominé par un père manipulateur incarné par Daniel Auteuil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Aussi subtile que frontale, l'intrigue rappelle l'urgence de lever l'omerta et d'écouter les victimes.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
À partir de ce sujet sensible, d'actualité, Joachim Lafosse va à son rythme et tisse un drame audacieux dans sa forme et cruel dans son fonds. Pas de jugement moral mais l'autopsie, sobre et troublante, d'un malaise, d'une déviance dévastatrice face à laquelle il s'interroge sur le silence qui nous rend coupable et honteux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Plongeant dans une affaire de pédophilie, Joachim Lafosse ("Élève libre", "Les Intranquilles"...) signe un film qui réussit admirablement à être à la fois trouble et sans ambiguïté, radicalement un geste politique et totalement une œuvre de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par A.L.M.
Un film haletant.
Première
par Bastien Assié
L’intrigue nous perd pour mieux nous troubler, dévoilant peu à peu un comportement ignoble traité avec froideur et sans jugement. Cette expérience pénible dépeint avec élégance les travers d’une femme rongée par la honte de son impuissance et qui peine à garder la tête hors de l’eau dans le tumulte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Entre thriller psychologique et tragédie, un film d’une puissance rare.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Dans un film pesant du début à la fin, la mise en scène de Joachim Lafosse, extrêmement réfléchie, fait des merveilles.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Joachim Lafosse réussit encore un drame familial prenant, sobre, et à la construction audacieuse, s’emparant d’un thème de société sans sombrer dans le didactisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Après la neutralité propre au fait divers d’"À perdre la raison", hésitant entre le réalisme social et une distanciation glacée, Lafosse assume ici parfaitement le caractère mythologique de son récit qu’il conduit vers la théâtralisation et l’écarte ainsi immédiatement de tout naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
« Un silence » bouscule, met à mal nos préjugés en exposant de la manière la plus neutre possible combien il est difficile de faire les bons choix quand l’horreur s’est installée dans le cadre familial et reste parfois tapi dans l’ombre des sous-dossiers de l’ordinateur personnel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le sujet et le questionnement du réalisateur sont courageux [...]. Mais la froideur clinique avec laquelle il observe ses personnages les rend impossibles à comprendre et à aimer, quand l’intrigue, construite comme un puzzle que l’on ne reconstitue jamais vraiment, peut rebuter par sa terrible noirceur.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste belge met en scène un avocat célèbre (Daniel Auteuil) rattrapé par son ténébreux passé. Résultat frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
La transmission du mal, en voilà un thème louche et fascinant, autour duquel rode le récit sans se donner les moyens de l’explorer. Il s’appesantira plutôt sur l’axe le plus stérile, avec lequel le film semble enfoncer une porte ouverte, répercuter un constat de société sans lui conférer de valeur ajoutée : cette fameuse omerta [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Ce souci d’effacer simultanément tout soupçon d’ambiguïté et toute idée de mise en scène, forcément suspecte, plonge "Un Silence" dans une anesthésie générale dans laquelle le fait divers, défait de son potentiel subversif et introspectif, occupe le pire des rôles : celui d’une illustration à utilité sociale.
Télérama
par Marie Sauvion
L’implosion sanglante d’une famille bourgeoise : une réelle atmosphère, mais un récit répétitif et trop dilué malgré la présence vibrante d’Emmanuelle Devos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Joachim Lafosse (...) s’égare dans un cinéma de procureur général qui montre du doigt en prétextant révéler les complexités humaines. Il aurait fallu, pour éviter cela, une écriture irréprochable et non un script à trous que la mise en scène surplombante tente de faire passer pour des ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J. Ma.
Du statu quo plombé par l’ennui au dénouement violent qui en libère la morale, le film, exempt de tout voyeurisme, semble, en revanche, gouverné par une sorte de macération morale que l’on n’est pas davantage certain de vouloir partager.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
« Un Silence » de Joachim Lafosse focalise sur la mère de famille. Il décortique, à travers une mise en scène et en images époustouflantes, sa honte, son silence, son revirement. (...) Fascinant.
Marie Claire
Un thriller glaçant, dévoré par les ombres nocturnes, avec un Daniel Auteuil et une Emmanuelle Devis au sommet de leur jeu.
20 Minutes
Regarder Un silence n’est pas une partie de plaisir. L’intensité des rapports entre les personnages rend l’expérience poignante mais fort satisfaisante pour tout spectateur qui se passionne pour la mécanique du crime et de la justice. Joachim Lafosse est un fin observateur d’une nature humaine qu’il retranscrit brillamment à l’écran.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Joachim Lafosse jette le trouble et un sentiment d’effroi, dans un drame glaçant inspiré d’une affaire qui a choqué la Belgique : la condamnation pour détention d’images pédopornographiques de Victor Hissel, l’avocat des parties civiles dans l’affaire du tueur et violeur en série Marc Dutroux.
Elle
Un thriller psychologique palpitant.
Femme Actuelle
L'histoire tourne autour de cet angle mort, forcément frustrant puisqu'il refuse toute explication.
Franceinfo Culture
Fondé sur un scénario original, non une adaptation, "Un silence" joue d’une approche frontale de son sujet, mais subtile dans son développement, sa mise en scène et son interprétation, avec une comédienne et un comédien au sommet de leur art.
La Croix
Dans la peau du monstre qu’il endosse courageusement, Daniel Auteuil, que l’on n’avait pas vu aussi bon depuis longtemps, est glaçant, nous faisant regretter qu’il ne soit pas mieux employé par le cinéma français.
La Voix du Nord
Peu de mots, donc, face aux doutes et aux peurs destructrices. Un film comme un choc salutaire.
Le Dauphiné Libéré
Joachim Lafosse, dans une approche minutieuse et sobre, met sous tension chaque scène de ce récit glaçant, avec une intensité dramatique au scalpel.
Le Figaro
Joachim Lafosse décrit, sans pathos et avec beaucoup de sobriété, le poids du déni dans un foyer dominé par un père manipulateur incarné par Daniel Auteuil.
Le Journal du Dimanche
Aussi subtile que frontale, l'intrigue rappelle l'urgence de lever l'omerta et d'écouter les victimes.
Le Point
À partir de ce sujet sensible, d'actualité, Joachim Lafosse va à son rythme et tisse un drame audacieux dans sa forme et cruel dans son fonds. Pas de jugement moral mais l'autopsie, sobre et troublante, d'un malaise, d'une déviance dévastatrice face à laquelle il s'interroge sur le silence qui nous rend coupable et honteux.
Les Fiches du Cinéma
Plongeant dans une affaire de pédophilie, Joachim Lafosse ("Élève libre", "Les Intranquilles"...) signe un film qui réussit admirablement à être à la fois trouble et sans ambiguïté, radicalement un geste politique et totalement une œuvre de cinéma.
Ouest France
Un film haletant.
Première
L’intrigue nous perd pour mieux nous troubler, dévoilant peu à peu un comportement ignoble traité avec froideur et sans jugement. Cette expérience pénible dépeint avec élégance les travers d’une femme rongée par la honte de son impuissance et qui peine à garder la tête hors de l’eau dans le tumulte.
Sud Ouest
Entre thriller psychologique et tragédie, un film d’une puissance rare.
Télé Loisirs
Dans un film pesant du début à la fin, la mise en scène de Joachim Lafosse, extrêmement réfléchie, fait des merveilles.
aVoir-aLire.com
Joachim Lafosse réussit encore un drame familial prenant, sobre, et à la construction audacieuse, s’emparant d’un thème de société sans sombrer dans le didactisme.
Les Inrockuptibles
Après la neutralité propre au fait divers d’"À perdre la raison", hésitant entre le réalisme social et une distanciation glacée, Lafosse assume ici parfaitement le caractère mythologique de son récit qu’il conduit vers la théâtralisation et l’écarte ainsi immédiatement de tout naturalisme.
Paris Match
« Un silence » bouscule, met à mal nos préjugés en exposant de la manière la plus neutre possible combien il est difficile de faire les bons choix quand l’horreur s’est installée dans le cadre familial et reste parfois tapi dans l’ombre des sous-dossiers de l’ordinateur personnel.
Télé 7 Jours
Le sujet et le questionnement du réalisateur sont courageux [...]. Mais la froideur clinique avec laquelle il observe ses personnages les rend impossibles à comprendre et à aimer, quand l’intrigue, construite comme un puzzle que l’on ne reconstitue jamais vraiment, peut rebuter par sa terrible noirceur.
Les Echos
Le cinéaste belge met en scène un avocat célèbre (Daniel Auteuil) rattrapé par son ténébreux passé. Résultat frustrant.
Libération
La transmission du mal, en voilà un thème louche et fascinant, autour duquel rode le récit sans se donner les moyens de l’explorer. Il s’appesantira plutôt sur l’axe le plus stérile, avec lequel le film semble enfoncer une porte ouverte, répercuter un constat de société sans lui conférer de valeur ajoutée : cette fameuse omerta [...].
Transfuge
Ce souci d’effacer simultanément tout soupçon d’ambiguïté et toute idée de mise en scène, forcément suspecte, plonge "Un Silence" dans une anesthésie générale dans laquelle le fait divers, défait de son potentiel subversif et introspectif, occupe le pire des rôles : celui d’une illustration à utilité sociale.
Télérama
L’implosion sanglante d’une famille bourgeoise : une réelle atmosphère, mais un récit répétitif et trop dilué malgré la présence vibrante d’Emmanuelle Devos.
L'Obs
Joachim Lafosse (...) s’égare dans un cinéma de procureur général qui montre du doigt en prétextant révéler les complexités humaines. Il aurait fallu, pour éviter cela, une écriture irréprochable et non un script à trous que la mise en scène surplombante tente de faire passer pour des ambiguïtés.
Le Monde
Du statu quo plombé par l’ennui au dénouement violent qui en libère la morale, le film, exempt de tout voyeurisme, semble, en revanche, gouverné par une sorte de macération morale que l’on n’est pas davantage certain de vouloir partager.