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    La Fille de son père
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    Alexandre PERRIN
    Alexandre PERRIN

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2023
    Film d'amour plein d'humour, poétique et merveilleux ! C'est un regard neuf ! Tout l'art du cinéma au service des sentiments. Impossible de passer à côté de ce grand et beau film !
    jarvi
    jarvi

    23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    J'attendais beaucoup de ce film et j'ai perdu bien vite mes illusions.
    L'auteur a une fâcheuse tendance à "faire le malin", en nous montrant des personnages qui devraient nous amuser et nous toucher, dans des scènes "pleines d'une fantaisie"...bien laborieuse.
    Malgré le jeu de Céleste Brunnquell, on se lasse de toute cette vaine agitation et on attend la fin du film.
    Patrick PIERROT
    Patrick PIERROT

    10 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 février 2024
    Commençons par le positif : j’ai réussi à ne pas m’endormir pendant la projection et ce n’était absolument pas évident pendant la dernière partie du film ! Pour le reste, il me semble que le ou les auteurs du film ont visé un peu trop au-dessus de leurs capacités. La poésie cinématographique est un art particulièrement difficile et n’y réussit pas qui veut. Relater une relation père-fille à la limite de l’inceste dans laquelle l’adulte a un comportement puéril et les adolescents sont des artistes, exige une grande rigueur. Malheureusement, le traitement est incohérent, abracadabrant voire grotesque. Bref, une grosse déception à laquelle, ni la bande annonce, ni les commentaires ou les notes ne m’avaient préparé.
    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Bon film très bien interprété avec des scènes très touchantes, l'absence d'une mère est toujours difficile et perturbante ainsi que la fuite d'un amour
    benjamin_linus
    benjamin_linus

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2023
    Un vrai coup de coeur
    Après Perdrix, le nouveau film de Erwan Le Duc est une vraie réussite.
    Un mélange d'émotion, de sensibilité et de drolerie portée par 2 acteurs formidables (Nahuel Pérez Biscayart et Céleste Brunnquell toujours incroyable).
    Le film oscille entre le burlesque, la comédie, l'émotion et une touche de poésie.
    La mise en scène est parfaite pour cette chronique familale.
    On passe un très beau moment pour ce petit coup de coeur
    Lea Lagesse
    Lea Lagesse

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 décembre 2023
    Poétique, intelligent, et drôle, ce film donne la pêche, porté par des acteurs sublimes. Magnifiquement chorégraphié, on en ressort avec une brûlante envie de vivre !
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Le charme de "La fille de son père" tient de ses dialogues toujours truculents, de ses situations décalées, et d'un casting parfait.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Deux jeunes gens se rencontrent, tombent amoureux, mettent au monde une petite fille… et puis hop !!! La mère se carapate et le père reste avec sa fille chez ses parents « Gros jean comme devant ». Et tous deux vont construire une relation filiale hors du commun, fusionnelle et sans tabou…. Jusqu’à ce qu’autour des 18 ans de la jeune fille, la mère fasse une réapparition totalement imprévue qui conduira le couple père-fille vers de nouveaux chemins et questionnements de leur relation.
    Pour ceux qui n’ont pas vu le premier film d’Erwan Le Duc, « Perdrix » ; vous risquez d’être surpris par le côté foutraque du bonhomme. Même si ici, il pousse le curseur moins loin que sur son précédent film. Dès l’entame muet de son film (à part une seule parole lourde de sens : « Je vais me garer »), il démontre son style original et personnel dans le cinéma hexagonal, sa tendresse et sons sens du burlesque. Dans son univers, on est entre Keaton et Kaurismaki ; de belles références pour un réalisateur affirmant sa singularité dans la comédie française. Il traite de cette relation père-fille comme rarement dans le cinéma évitant le réalisme et le sentimentalisme. Son duo de comédien, Céleste Brunnquell qui prend de plus en plus de place dans le cinéma d’auteur français et Nahuel Perez Biscayart que l’on aimerait voir encore plus, apporte une fraicheur et une vérité dans toutes les scènes qui font aussi le sel du film. Et puis un savoureux second rôle interprété par Mohammed Louridi, le jeune prétendant de la jeune fille pratique l’amour courtois et livre des scènes et des répliques décalées et très drôles.
    Et puis le film se perd dans son dernier tiers. Le retour de la mère aurait pu offrir un ressort scénaristique et relancer le film, mais cette dernière partie est bancale et sans intérêt vu de la relation filiale que l’on nous montre. On aurait aimé qu’il ait le courage soit de faire un film de 75 minutes à la Dupieux en resserrant sa dernière partie ; voire en supprimant cette digression finale qui rompt avec une tonalité pourtant si agréable.
    A voir, car les comédies intelligentes et ciné géniques sont si rares
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    sameplayerparis
    sameplayerparis

    34 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2024
    Le film démarre exceptionnellement bien, l'histoire est prenante, drôle, intelligente et belle mais malheureusement la seconde moitié s'essouffle et ne tient pas le rythme du début. Quel dommage que le scénario n'ait pas su apporter au film une fin digne du début !
    JUJUBE20
    JUJUBE20

    28 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2023
    Bonne nouvelle : le film est plutôt drôle, et la salle rit même franchement à plusieurs répliques. L'humour décalé, poétique à la française, fait mouche ! Autre bonne nouvelle : la leçon de morale écologiste passe avec légèreté, car le cinéaste n'en rajoute pas, n'appuie pas, faisant même preuve d'une douce ironie sur les combats des lycéens ( spoiler: sauf peut-être dans une scène ridicule et peu crédible avec la Maire fofolle
    ). C'est de gauche, mais sans enfoncer le clou (les manifestations du début sont traitées en accéléré). Mauvaise nouvelle : si la première partie est réussie, la seconde est ratée, et le film se dilue, se perd peu à peu, s'évapore. Au début, quand le décor s'installe, il y a tout : la relation père-fille, la nouvelle femme dans la vie, les amours adolescentes, l'art (la jeune héroïne Rosa peint), le sport (Etienne le père est coach), la nature. Les personnages sont bien dessinés, même si tout réalisme est rejeté avec force (Mohammed Laridi, en Youssef le jeune troubadour médiéval amoureux platonique escaladeur, en fait des tonnes et est à mourir de rire en plus d'être craquant avec sa voix chuintante à la fois agaçante et irrésistible). Céleste Brunnquel irradie et tous les gros plans laissent éclater son talent. Nahuel Pérez Biscayart, grand comédien, ne réussit pas tout : si le burlesque lui va comme un gant (il est doué pour la comédie), l'émotion pure ne lui réussit pas toujours - on a parfois l'impression qu'il n'y croit pas et qu'il se force. Ca tire un peu. Le tout n'est pas désagréable, mais la mise en scène, lisse, avec quelques gags, ne laisse pas plus de souvenirs qu'une agréable pommade passée et vite oubliée. Une mollesse dans la forme, la facilité du scénario ( spoiler: le traumatisme qui ressurgit à l'occasion du départ de Rosa du foyer paternel
    ), la désinvolture peut-être apparente, privent l'oeuvre de son urgence, de sa nécessité - le formidable personnage de Rosa mis à part. Pourquoi créer, si cela ne semble pas indispensable ? C'est bien la question que se pose tout plasticien - interrogation que le cinéaste a abandonnée en chemin.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2024
    Une fille qui fait la leçon à son père, il encaisse, ils s’embrassent. Ni pathos, ni stéréotypes dans cet aperçu relationnel d’un récit joliment écrit par Erwan Le Duc, qui réalise de la même manière, sobre et vrai. Délaissés par la maman très tôt, Rosa et Etienne vont vivre et grandir dans cette harmonie d’une famille décomposée. Heureuse dans un quotidien qui se joue des taquineries de l’une, des préoccupations de l’autre. Et jouant sur la confiance réciproque, décidés à se construire autour d'une absence jamais évoquée. La complicité de Nahuel Perez Biscayart et Céleste Brunnquell est belle à voir, confondue dans l’existence même de ce couple informel, aux vérités premières. A la veille de quitter le foyer, je vous laisse deviner l'état d'esprit d' Etienne complètement déphasé quand Rosa assume la situation et lui fait la leçon. C’est très vivant, dynamique à l’image de la mise en scène d’ Erwan Le Duc dont le style et la truculence façonnent une histoire de cinéma, forte, tellement vraie… AVIS BONUS Un entretien avec le réalisateur qui nous offre trois courts métrages réalisés ces dix dernières années. Cà c’est du bonus !
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2024
    Rosa a été élevée dans une famille monoparentale mais par son père, ça change, puisque sa mère peu de temps après sa naissance est partie garer la voiture familiale pour ne plus jamais revenir. Jusqu'au jour où elle réapparaît sur les images d'un tube cathodique lors d'un concours de surf au Portugal. Erwan Le Duc filme une comédie (à la folie) douce, iconoclaste et un brin poétique. On peut y être sensible, moi j'ai trouvé ça un peu vain.
    Fiers R.
    Fiers R.

    98 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2023
    Après « Perdrix » en 2019, Erwan Le Duc revient avec un nouveau film à l’univers tout aussi imprévisible. Avec « La fille de son père », il nous convie à suivre la relation fusionnelle d’un jeune père et de son adolescente de fille qui ont été abandonné par la maman peu après la naissance. Ce second essai confirme que le cinéaste a un univers singulier et bien à lui, entre petites touches d’onirisme et beaucoup de poésie. Problème, c’est le genre de cinéma qui va en toucher certains et en laisser d’autres sur le carreau car ils ne seront pas conquis ni envoûtés par la proposition, ce qui a été notre cas la majeure partie du long-métrage. C’est par moments un peu trop décalé, ce qui fait sortir le film du réel, mais pas assez fou non plus pour le faire entrer dans le domaine de la pure et totale fantaisie. On pense d’ailleurs parfois à certains films et à la tonalité employée par Valérie Donzelli qui s’était cassée les dents sur ce type d’exercice d’équilibriste.

    Pourtant, le film débute bien et de manière vraiment belle et inspirée. Durant une dizaine de minutes, presque sans dialogues, « La fille de son père » nous montre la rencontre entre les parents de Rosa. Entre une manifestation sociale suivie d’une fuite dans les rues de Paris et des ébats dans une barque sur la scène, une succession de moments magiques, comme en apesanteur. On aurait même pu en faire un court-métrage tellement cette petite leçon de cinéma est inspirée. De la même manière, la découverte du quotidien de cette lycéenne vivant avec son père lunaire dans une petite maison de banlieue est amusante et réussie. On s’attache vite à eux, certaines séquences sont vraiment bien trouvées et font preuve d’un humour qui sort des sentiers battus. On adore, par exemple, la séquence avec Noémie Lvovsky en mairesse implacable et butée venu annoncer une mauvaise nouvelle. Puis, arrivé à mi-parcours, la machine se grippe.

    La seconde partie de « La fille de son père » commence à tourner un peu en rond. Les séquences réussies et plaisantes se font plus rares, le rythme devient languissant et le scénario part en vrille. Dès lors, que le duo se décide sans qu’on sache trop pourquoi à se mettre en quête de la mère, on décroche. Les scènes oniriques et/ou poétiques ne fonctionnent plus (celle de la danse dans l’hôpital en est le parfait exemple) et on finit par s’ennuyer et attendre le générique de fin avec impatience. Et le gros point négatif du film se retrouve dans des dialogues trop écrits qui sonnent faux. Il y a un flagrant manque de naturel dans certains échanges entre les personnages qui les déconnectent de la réalité et nous avec. Il y a donc des qualités indéniables dans ce petit film peu commun, mais elles sont trop rares, comme en pointillés. Et plus le film avance et plus il finit par nous lasser.

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    Boby 53
    Boby 53

    16 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2024
    Si le film démarre en fanfare, ellipses, mise en scène virevoltante, il se perd dans un scénario improbable, surtout la dernière partie au Portugal totalement irréaliste. Cela a plu aux critiques, mais soit on fait un film allégorique soit on met de la poésie dans le réel, mais on ne mélange pas, ça ne marche pas. Prometteur mais fin bâclée.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2024
    Le casting composé de Nahuel Perez Biscayart et Céleste Brunnquell a de quoi attirer. Sans surprise, les deux sont convaincants. Leur talent est bien exploité par leurs personnages respectifs. Quand on les prend à part, ce père et sa fille ont une trajectoire intéressante. Lui doit apprendre à vivre autrement qu'en papa poule, alors qu'elle rêve d'être indépendante. Cependant, pas facile de tourner la page. En revanche, la relation entre les deux laisse sceptique. Il n'y a aucun naturel entre les deux. Alors qu'elle aurait dû être le moteur du film, finalement ça va plus être un frein qu'autre chose. Séparer, ils ont une vraie construction, alors qu'ensemble, c'est un enchaînement de stéréotype entre le père cool à tout prix, et la fille faussement révoltée. Dommage, car il y avait de quoi faire mieux surtout qu'il y a quelque beau moment d'émotion.
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