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29 critiques presse
Culturopoing.com
par Noëlle Gires
En se jouant avec grâce des conventions du réalisme cinématographique, "La fille de son père" procure une véritable sentiment de joie et de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ouest France
par Thierry Chèze
Erwan Le Duc raconte tout cela avec un mélange de burlesque, de poésie et de mélo qui évite au récit de verser dans le sentimentalisme. II confirme sa singularité dans le paysage de la comédie française [...].
20 Minutes
par Caroline Vié
La folie douce de Nahuel Pérez Biscayart se communique au film tout entier porté par une partition galvanisante signée Julie Roué. Il y a beaucoup de jeunes talents dans La Fille de son père, écrin dont Nahuel Pérez Biscayart est le joyau toujours aussi brillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
La Fille de son père est une évocation subtile et intense de l'amour inconditionnel entre un père et sa fille, comme rarement vu au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Derrière chaque seconde de "La Fille de son père", les émotions déferlent, sans en avoir l’air, avec la classe d’en rire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
S’emparant de dialogues formidablement écrits, Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute, Au revoir là-haut) et Céleste Brunnquell (Les Éblouis, En Thérapie) composent avec naturel ce duo père-fille fantasque, audacieux, d’une folle liberté, qui parle de tout, sans tabou.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce qui plaît ici, c'est le style d'Erwan Le Duc, la fantaisie décalée dont il imprègne chaque petite scène.
Franceinfo Culture
par Odile Morain
Céleste Brunnquell et Nahuel Perez Biscayart forment un duo complice et singulier à la fois drôle et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Après Perdrix, Erwan Le Duc signe un deuxième long métrage tendre, nourri de poésie foutraque, sur la relation père-fille et la quête de la mère.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Douleur légère, gaieté un peu fêlée : Buster Keaton et Kaurismäki ont un cousin français.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une pépite d’humour et de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comme dans Perdrix, Erwan Le Duc sort encore du cadre la famille et ses désordres, et c’est réjouissant.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une veine burlesque, des dialogues très écrits et une ambition esthétique qui ringardisent le tout-venant de la comédie française.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Sans livrer de piste psychanalytique toute tracée, le film nous plonge, avec une grande sûreté du trait, dans un marathon de tendresse qui n’empêche pas les mots cruels et sincères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Le réalisateur Erwan Le Duc explore avec tendresse et humour la relation fusionnelle d'un père et de sa fille.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Erwan Le Duc a le chic pour inventer des histoires farfelues. Quatre ans après « Perdrix », son brillant coup d'essai, il signe une nouvelle fiction convaincante sur un duo familial hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Faire l’épreuve du drame sans s’y résoudre, jouer collectif tout en sachant vivre sa vie - les enjeux du nouveau long d’Erwan Le Duc, régulièrement séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Avec ce très beau film, drôle et déchirant, Erwan Le Duc se fiche bien des coïncidences, il joue des ellipses, des gags visuels, de la joie des personnages, il sait filmer les scènes d’amour avec poésie (Éluard !), les scènes tristes avec intensité, les scènes drôles avec exultation, tout en décrivant la vie de tous les jours dans une banlieue française d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Fantasque et burlesque, le nouveau film d’Erwan Le Duc après « Perdrix » renouvelle habilement le genre de la chronique familiale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un joli film d'apprentissage et de fantôme triste où l'on sourit beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Première
par Lucie Chiquer
Tantôt semblable à une peinture (décors ultra colorés), tantôt à une pièce de théâtre (dialogues dramatisés à l’excès), La Fille de son père mêle mise en scène audacieuse et écriture minutieuse, avec une poésie toujours exaltée. Un véritable bonbon acidulé qui redonne goût à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par S.O.
Un film joyeux où l'humour flirte avec le burlesque et où la mise en scène, très inventive, déborde d'énergie.
Télérama
par Hélène Marzolf
Le charme de cette odyssée familiale et sentimentale repose sur la finesse de l’écriture, tout autant que sur la grâce de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Grâce à une mise en scène attachante, décalée et pétillante, Erwan Le Duc dans son deuxième long-métrage au cinéma réinvente le roman familial. "La fille de son père" est un remède efficace contre la morosité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cette dernière partie, comme une digression, ne nous semblait pas nécessaire mais la tonalité générale rend le film vraiment singulier.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très jolie chronique d’une famille hors-norme dans sa première partie, « La fille de son père » dérive de façon un peu bancale dans la seconde vers la recherche de cette maman disparue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le film a beau se perdre parfois, il retombe finalement toujours sur ses pattes, fort d'une écriture qui refuse obstinément les règles d'un film d'auteur français normé et attendu.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Par petites touches, le réalisateur, aidé par les performances inspirées de Nahuel Biscayart et Céleste Brunnquell, livre une comédie dramatique rafraîchissante, à la fois drôle et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Elie Raufaste
L’écriture à la fois gaguesque et hyper consciente du réalisateur de Perdrix, jadis apte à mâtiner la romance de burlesque, devient ici une machine à broyer l’émotion et le comique tant le scénario s’adosse à une chimère, celle de la mère qui manque à l’appel.
Culturopoing.com
En se jouant avec grâce des conventions du réalisme cinématographique, "La fille de son père" procure une véritable sentiment de joie et de liberté.
Ouest France
Erwan Le Duc raconte tout cela avec un mélange de burlesque, de poésie et de mélo qui évite au récit de verser dans le sentimentalisme. II confirme sa singularité dans le paysage de la comédie française [...].
20 Minutes
La folie douce de Nahuel Pérez Biscayart se communique au film tout entier porté par une partition galvanisante signée Julie Roué. Il y a beaucoup de jeunes talents dans La Fille de son père, écrin dont Nahuel Pérez Biscayart est le joyau toujours aussi brillant.
Bande à part
La Fille de son père est une évocation subtile et intense de l'amour inconditionnel entre un père et sa fille, comme rarement vu au cinéma.
CinemaTeaser
Derrière chaque seconde de "La Fille de son père", les émotions déferlent, sans en avoir l’air, avec la classe d’en rire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
S’emparant de dialogues formidablement écrits, Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute, Au revoir là-haut) et Céleste Brunnquell (Les Éblouis, En Thérapie) composent avec naturel ce duo père-fille fantasque, audacieux, d’une folle liberté, qui parle de tout, sans tabou.
Femme Actuelle
Ce qui plaît ici, c'est le style d'Erwan Le Duc, la fantaisie décalée dont il imprègne chaque petite scène.
Franceinfo Culture
Céleste Brunnquell et Nahuel Perez Biscayart forment un duo complice et singulier à la fois drôle et émouvant.
L'Humanité
Après Perdrix, Erwan Le Duc signe un deuxième long métrage tendre, nourri de poésie foutraque, sur la relation père-fille et la quête de la mère.
L'Obs
Douleur légère, gaieté un peu fêlée : Buster Keaton et Kaurismäki ont un cousin français.
La Croix
Une pépite d’humour et de fantaisie.
Le Dauphiné Libéré
Comme dans Perdrix, Erwan Le Duc sort encore du cadre la famille et ses désordres, et c’est réjouissant.
Le Journal du Dimanche
Une veine burlesque, des dialogues très écrits et une ambition esthétique qui ringardisent le tout-venant de la comédie française.
Le Monde
Sans livrer de piste psychanalytique toute tracée, le film nous plonge, avec une grande sûreté du trait, dans un marathon de tendresse qui n’empêche pas les mots cruels et sincères.
Le Point
Le réalisateur Erwan Le Duc explore avec tendresse et humour la relation fusionnelle d'un père et de sa fille.
Les Echos
Erwan Le Duc a le chic pour inventer des histoires farfelues. Quatre ans après « Perdrix », son brillant coup d'essai, il signe une nouvelle fiction convaincante sur un duo familial hors du commun.
Les Fiches du Cinéma
Faire l’épreuve du drame sans s’y résoudre, jouer collectif tout en sachant vivre sa vie - les enjeux du nouveau long d’Erwan Le Duc, régulièrement séduisant.
Les Inrockuptibles
Avec ce très beau film, drôle et déchirant, Erwan Le Duc se fiche bien des coïncidences, il joue des ellipses, des gags visuels, de la joie des personnages, il sait filmer les scènes d’amour avec poésie (Éluard !), les scènes tristes avec intensité, les scènes drôles avec exultation, tout en décrivant la vie de tous les jours dans une banlieue française d’aujourd’hui.
Libération
Fantasque et burlesque, le nouveau film d’Erwan Le Duc après « Perdrix » renouvelle habilement le genre de la chronique familiale.
Marie Claire
Un joli film d'apprentissage et de fantôme triste où l'on sourit beaucoup.
Première
Tantôt semblable à une peinture (décors ultra colorés), tantôt à une pièce de théâtre (dialogues dramatisés à l’excès), La Fille de son père mêle mise en scène audacieuse et écriture minutieuse, avec une poésie toujours exaltée. Un véritable bonbon acidulé qui redonne goût à la vie.
Télé 2 semaines
Un film joyeux où l'humour flirte avec le burlesque et où la mise en scène, très inventive, déborde d'énergie.
Télérama
Le charme de cette odyssée familiale et sentimentale repose sur la finesse de l’écriture, tout autant que sur la grâce de ses interprètes.
aVoir-aLire.com
Grâce à une mise en scène attachante, décalée et pétillante, Erwan Le Duc dans son deuxième long-métrage au cinéma réinvente le roman familial. "La fille de son père" est un remède efficace contre la morosité.
La Voix du Nord
Cette dernière partie, comme une digression, ne nous semblait pas nécessaire mais la tonalité générale rend le film vraiment singulier.
Le Parisien
Très jolie chronique d’une famille hors-norme dans sa première partie, « La fille de son père » dérive de façon un peu bancale dans la seconde vers la recherche de cette maman disparue.
Paris Match
Le film a beau se perdre parfois, il retombe finalement toujours sur ses pattes, fort d'une écriture qui refuse obstinément les règles d'un film d'auteur français normé et attendu.
Sud Ouest
Par petites touches, le réalisateur, aidé par les performances inspirées de Nahuel Biscayart et Céleste Brunnquell, livre une comédie dramatique rafraîchissante, à la fois drôle et émouvante.
Cahiers du Cinéma
L’écriture à la fois gaguesque et hyper consciente du réalisateur de Perdrix, jadis apte à mâtiner la romance de burlesque, devient ici une machine à broyer l’émotion et le comique tant le scénario s’adosse à une chimère, celle de la mère qui manque à l’appel.