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Erwan Le Duc raconte tout cela avec un mélange de burlesque, de poésie et de mélo qui évite au récit de verser dans le sentimentalisme. II confirme sa singularité dans le paysage de la comédie française [...].
La folie douce de Nahuel Pérez Biscayart se communique au film tout entier porté par une partition galvanisante signée Julie Roué. Il y a beaucoup de jeunes talents dans La Fille de son père, écrin dont Nahuel Pérez Biscayart est le joyau toujours aussi brillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
S’emparant de dialogues formidablement écrits, Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute, Au revoir là-haut) et Céleste Brunnquell (Les Éblouis, En Thérapie) composent avec naturel ce duo père-fille fantasque, audacieux, d’une folle liberté, qui parle de tout, sans tabou.
Sans livrer de piste psychanalytique toute tracée, le film nous plonge, avec une grande sûreté du trait, dans un marathon de tendresse qui n’empêche pas les mots cruels et sincères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Erwan Le Duc a le chic pour inventer des histoires farfelues. Quatre ans après « Perdrix », son brillant coup d'essai, il signe une nouvelle fiction convaincante sur un duo familial hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Faire l’épreuve du drame sans s’y résoudre, jouer collectif tout en sachant vivre sa vie - les enjeux du nouveau long d’Erwan Le Duc, régulièrement séduisant.
Avec ce très beau film, drôle et déchirant, Erwan Le Duc se fiche bien des coïncidences, il joue des ellipses, des gags visuels, de la joie des personnages, il sait filmer les scènes d’amour avec poésie (Éluard !), les scènes tristes avec intensité, les scènes drôles avec exultation, tout en décrivant la vie de tous les jours dans une banlieue française d’aujourd’hui.
Tantôt semblable à une peinture (décors ultra colorés), tantôt à une pièce de théâtre (dialogues dramatisés à l’excès), La Fille de son père mêle mise en scène audacieuse et écriture minutieuse, avec une poésie toujours exaltée. Un véritable bonbon acidulé qui redonne goût à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Grâce à une mise en scène attachante, décalée et pétillante, Erwan Le Duc dans son deuxième long-métrage au cinéma réinvente le roman familial. "La fille de son père" est un remède efficace contre la morosité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Très jolie chronique d’une famille hors-norme dans sa première partie, « La fille de son père » dérive de façon un peu bancale dans la seconde vers la recherche de cette maman disparue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film a beau se perdre parfois, il retombe finalement toujours sur ses pattes, fort d'une écriture qui refuse obstinément les règles d'un film d'auteur français normé et attendu.
Par petites touches, le réalisateur, aidé par les performances inspirées de Nahuel Biscayart et Céleste Brunnquell, livre une comédie dramatique rafraîchissante, à la fois drôle et émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L’écriture à la fois gaguesque et hyper consciente du réalisateur de Perdrix, jadis apte à mâtiner la romance de burlesque, devient ici une machine à broyer l’émotion et le comique tant le scénario s’adosse à une chimère, celle de la mère qui manque à l’appel.
Culturopoing.com
En se jouant avec grâce des conventions du réalisme cinématographique, "La fille de son père" procure une véritable sentiment de joie et de liberté.
Ouest France
Erwan Le Duc raconte tout cela avec un mélange de burlesque, de poésie et de mélo qui évite au récit de verser dans le sentimentalisme. II confirme sa singularité dans le paysage de la comédie française [...].
20 Minutes
La folie douce de Nahuel Pérez Biscayart se communique au film tout entier porté par une partition galvanisante signée Julie Roué. Il y a beaucoup de jeunes talents dans La Fille de son père, écrin dont Nahuel Pérez Biscayart est le joyau toujours aussi brillant.
Bande à part
La Fille de son père est une évocation subtile et intense de l'amour inconditionnel entre un père et sa fille, comme rarement vu au cinéma.
CinemaTeaser
Derrière chaque seconde de "La Fille de son père", les émotions déferlent, sans en avoir l’air, avec la classe d’en rire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
S’emparant de dialogues formidablement écrits, Nahuel Perez Biscayart (120 battements par minute, Au revoir là-haut) et Céleste Brunnquell (Les Éblouis, En Thérapie) composent avec naturel ce duo père-fille fantasque, audacieux, d’une folle liberté, qui parle de tout, sans tabou.
Femme Actuelle
Ce qui plaît ici, c'est le style d'Erwan Le Duc, la fantaisie décalée dont il imprègne chaque petite scène.
Franceinfo Culture
Céleste Brunnquell et Nahuel Perez Biscayart forment un duo complice et singulier à la fois drôle et émouvant.
L'Humanité
Après Perdrix, Erwan Le Duc signe un deuxième long métrage tendre, nourri de poésie foutraque, sur la relation père-fille et la quête de la mère.
L'Obs
Douleur légère, gaieté un peu fêlée : Buster Keaton et Kaurismäki ont un cousin français.
La Croix
Une pépite d’humour et de fantaisie.
Le Dauphiné Libéré
Comme dans Perdrix, Erwan Le Duc sort encore du cadre la famille et ses désordres, et c’est réjouissant.
Le Journal du Dimanche
Une veine burlesque, des dialogues très écrits et une ambition esthétique qui ringardisent le tout-venant de la comédie française.
Le Monde
Sans livrer de piste psychanalytique toute tracée, le film nous plonge, avec une grande sûreté du trait, dans un marathon de tendresse qui n’empêche pas les mots cruels et sincères.
Le Point
Le réalisateur Erwan Le Duc explore avec tendresse et humour la relation fusionnelle d'un père et de sa fille.
Les Echos
Erwan Le Duc a le chic pour inventer des histoires farfelues. Quatre ans après « Perdrix », son brillant coup d'essai, il signe une nouvelle fiction convaincante sur un duo familial hors du commun.
Les Fiches du Cinéma
Faire l’épreuve du drame sans s’y résoudre, jouer collectif tout en sachant vivre sa vie - les enjeux du nouveau long d’Erwan Le Duc, régulièrement séduisant.
Les Inrockuptibles
Avec ce très beau film, drôle et déchirant, Erwan Le Duc se fiche bien des coïncidences, il joue des ellipses, des gags visuels, de la joie des personnages, il sait filmer les scènes d’amour avec poésie (Éluard !), les scènes tristes avec intensité, les scènes drôles avec exultation, tout en décrivant la vie de tous les jours dans une banlieue française d’aujourd’hui.
Libération
Fantasque et burlesque, le nouveau film d’Erwan Le Duc après « Perdrix » renouvelle habilement le genre de la chronique familiale.
Marie Claire
Un joli film d'apprentissage et de fantôme triste où l'on sourit beaucoup.
Première
Tantôt semblable à une peinture (décors ultra colorés), tantôt à une pièce de théâtre (dialogues dramatisés à l’excès), La Fille de son père mêle mise en scène audacieuse et écriture minutieuse, avec une poésie toujours exaltée. Un véritable bonbon acidulé qui redonne goût à la vie.
Télé 2 semaines
Un film joyeux où l'humour flirte avec le burlesque et où la mise en scène, très inventive, déborde d'énergie.
Télérama
Le charme de cette odyssée familiale et sentimentale repose sur la finesse de l’écriture, tout autant que sur la grâce de ses interprètes.
aVoir-aLire.com
Grâce à une mise en scène attachante, décalée et pétillante, Erwan Le Duc dans son deuxième long-métrage au cinéma réinvente le roman familial. "La fille de son père" est un remède efficace contre la morosité.
La Voix du Nord
Cette dernière partie, comme une digression, ne nous semblait pas nécessaire mais la tonalité générale rend le film vraiment singulier.
Le Parisien
Très jolie chronique d’une famille hors-norme dans sa première partie, « La fille de son père » dérive de façon un peu bancale dans la seconde vers la recherche de cette maman disparue.
Paris Match
Le film a beau se perdre parfois, il retombe finalement toujours sur ses pattes, fort d'une écriture qui refuse obstinément les règles d'un film d'auteur français normé et attendu.
Sud Ouest
Par petites touches, le réalisateur, aidé par les performances inspirées de Nahuel Biscayart et Céleste Brunnquell, livre une comédie dramatique rafraîchissante, à la fois drôle et émouvante.
Cahiers du Cinéma
L’écriture à la fois gaguesque et hyper consciente du réalisateur de Perdrix, jadis apte à mâtiner la romance de burlesque, devient ici une machine à broyer l’émotion et le comique tant le scénario s’adosse à une chimère, celle de la mère qui manque à l’appel.