Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
The Quiet Girl a la force d’une toile de Vilhelm Hammershøi ou d’un poème de Keats. C’est une œuvre dotée d’une hypersensibilité rare. Un très beau film sur l’enfance et l’amour qu’elle requiert.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Colm Bairead impose dès son premier essai un ton et une sensibilité qui marquent durablement les esprits. La plus belle révélation du printemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Eithne O’Neill
Chronique d’un été que passe, chez de lointains parents, une petite fille mutique privée d’affection, l’œuvre bouleverse par l’attention prodiguée à une vie affective renaissante et à une poésie de l’ordinaire trop souvent négligée [...].
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Nommé aux Oscars 2023, "The Quiet Girl" augure le meilleur du réalisateur Colm Bairéad, par la beauté et la délicatesse de son portrait de jeune fille.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un drame délicat en langue gaélique qui revendique en filigrane sa singularité irlandaise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Ce film, tout en douceur et délicatesse, est de ceux qui impriment la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un premier film sobre, modeste, sans triche.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans les interstices de cette histoire a priori tout sauf extraordinaire, dialoguée en gaélique irlandais, Colm Bairéad injecte un suspense délicat mais finalement assez prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Premier long métrage de Colm Bairéad, le film émeut par la cruauté de son récit et l’excellence de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « The Quiet Girl » et « Brighton 4th », le metteur en scène irlandais Colm Bairead et son collègue géorgien Levan Koguashvili mettent en scène des films qui ont le bon goût de ne ressembler à rien de connu dans la production contemporaine. Empruntez en leur aimable compagnie les itinéraires bis du cinéma, vous ne le regretterez pas.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
La délicatesse de la mise en scène épouse la beauté simple de la photographie (signée par la chef op’ de Normal people), l’interprétation fascinante de la débutante Catherine Clinch et un scénario porteur d’un secret dont le dévoilement restera fidèle à la tonalité d’un ensemble ne confondant jamais sensibilité et sensiblerie. Une merveille.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Une évocation de l’enfance délicate et bouleversante, un personnage inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Très simple, très épuré et d’une douceur inouïe, The Quiet Girl est un hymne délicat à l’amour filial.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
De trouée lumineuse en volte‐face, Cáit, surtout filmée de dos ou de profil au début, passe de l’apathie, et même de l’enfouissement [...] à une énergie physique apte à défier tout déterminisme social, et à changer une trajectoire pré‐dessinée.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
The Quiet Girl brille par la justesse de son point de vue.
Le Parisien
par La rédaction
Le film porte bien son nom : comme son héroïne, il est calme (« quiet ») et même très lent. [...] et ce n’est que vers la fin de l’intrigue, lorsque la fillette s’attache à ses parents « adoptifs » et provisoires, que l’émotion, jusque-là retenue, nous envahit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Malgré quelques effets de lumière et de cadrage appuyés, « The quiet girl » est, dans son attention aux détails, aux regards, dans son respect des silences, pudique et touchant.
Le Monde
par V. Cau.
Cette maigre et prévisible intrigue oblige à la contemplation mais réduit hélas rapidement le film à sa simple beauté formelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Le film, trop sage, tombe dans tous les pièges du drame social.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
The Quiet Girl a la force d’une toile de Vilhelm Hammershøi ou d’un poème de Keats. C’est une œuvre dotée d’une hypersensibilité rare. Un très beau film sur l’enfance et l’amour qu’elle requiert.
Les Echos
Colm Bairead impose dès son premier essai un ton et une sensibilité qui marquent durablement les esprits. La plus belle révélation du printemps.
Positif
Chronique d’un été que passe, chez de lointains parents, une petite fille mutique privée d’affection, l’œuvre bouleverse par l’attention prodiguée à une vie affective renaissante et à une poésie de l’ordinaire trop souvent négligée [...].
Franceinfo Culture
Nommé aux Oscars 2023, "The Quiet Girl" augure le meilleur du réalisateur Colm Bairéad, par la beauté et la délicatesse de son portrait de jeune fille.
L'Humanité
Un drame délicat en langue gaélique qui revendique en filigrane sa singularité irlandaise.
L'Obs
Ce film, tout en douceur et délicatesse, est de ceux qui impriment la mémoire.
Le Figaro
Un premier film sobre, modeste, sans triche.
Le Journal du Dimanche
Dans les interstices de cette histoire a priori tout sauf extraordinaire, dialoguée en gaélique irlandais, Colm Bairéad injecte un suspense délicat mais finalement assez prenant.
Les Fiches du Cinéma
Premier long métrage de Colm Bairéad, le film émeut par la cruauté de son récit et l’excellence de ses acteurs.
Marianne
Dans « The Quiet Girl » et « Brighton 4th », le metteur en scène irlandais Colm Bairead et son collègue géorgien Levan Koguashvili mettent en scène des films qui ont le bon goût de ne ressembler à rien de connu dans la production contemporaine. Empruntez en leur aimable compagnie les itinéraires bis du cinéma, vous ne le regretterez pas.
Première
La délicatesse de la mise en scène épouse la beauté simple de la photographie (signée par la chef op’ de Normal people), l’interprétation fascinante de la débutante Catherine Clinch et un scénario porteur d’un secret dont le dévoilement restera fidèle à la tonalité d’un ensemble ne confondant jamais sensibilité et sensiblerie. Une merveille.
Télérama
Une évocation de l’enfance délicate et bouleversante, un personnage inoubliable.
aVoir-aLire.com
Très simple, très épuré et d’une douceur inouïe, The Quiet Girl est un hymne délicat à l’amour filial.
Cahiers du Cinéma
De trouée lumineuse en volte‐face, Cáit, surtout filmée de dos ou de profil au début, passe de l’apathie, et même de l’enfouissement [...] à une énergie physique apte à défier tout déterminisme social, et à changer une trajectoire pré‐dessinée.
CinemaTeaser
The Quiet Girl brille par la justesse de son point de vue.
Le Parisien
Le film porte bien son nom : comme son héroïne, il est calme (« quiet ») et même très lent. [...] et ce n’est que vers la fin de l’intrigue, lorsque la fillette s’attache à ses parents « adoptifs » et provisoires, que l’émotion, jusque-là retenue, nous envahit.
Sud Ouest
Malgré quelques effets de lumière et de cadrage appuyés, « The quiet girl » est, dans son attention aux détails, aux regards, dans son respect des silences, pudique et touchant.
Le Monde
Cette maigre et prévisible intrigue oblige à la contemplation mais réduit hélas rapidement le film à sa simple beauté formelle.
Libération
Le film, trop sage, tombe dans tous les pièges du drame social.