Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par N. S.
Approche naturaliste et caméra scotchée à l’héroïne qui rappellent le cinéma roumain ou celui des frères Dardenne, ce film flirterait avec un académisme d’auteur si ses plans-séquences n’étaient aussi révélateurs de la solitude des femmes dans un pays qui nie leur condition.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Sandra Onana
Etonnamment, le film d’Ali Asgari, par-delà sa redoutable mécanique, touche à quelque chose de doux et précieux entre les engrenages : un flou, des sursauts de grâce qui regardent vers les Dardenne de Deux jours, une nuit, des effets de durée qui ont bien plus à voir avec l’attention portée aux visages (celui de la touchante Sadaf Asgari exprime mille conflits intérieurs) qu’à un étirement pervers des épreuves.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une course contre la montre étouffante, qui raconte brillamment la condition des femmes dans ce pays.
Positif
par Stéphane Goudet
[Des] inventions scénaristiques subtiles, [des] petits contrepoints comiques bienvenus, et une fine analyse d’une société patriarcale liberticide qui impose sa loi aux femmes [...].
Transfuge
par Séverine Danflous
Une magnifique odyssée d’une mère dans un Iran dangereux.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une immersion édifiante dans la vie d’une étudiante de Téhéran.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pendant que des femmes et des hommes se font massacrer par les autorités iraniennes, Ali Asgari offre un petit miracle de cinéma, empreint de combativité et de dignité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film modeste et assez bref, Juste une nuit n’en illustre pas moins une situation de véritable danger pour sa protagoniste principale. Un état de fait que l’actualité iranienne ne viendra pas démentir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par O.D.
Dans sa mécanique inexorable, le film rappelle le kafkaïen After Hours de Scorsese. Mais l'ensemble reste trop anecdotique pour convaincre totalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’intrigue s’étire un peu, mais on est néanmoins touché par ce portrait de femme indépendante dans un pays qui bafoue ses droits et où tous les hommes sont soit des lâches soit des prédateurs. Edifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl
Empruntant à l’esthétique du néoréalisme iranien (Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Majid Majidi…), Juste une nuit, du cinéaste Ali Asgari, épluche dans ses détails ordinaires la quête de Fereshteh. L’épopée engendre une sorte de suspense et dessine, de plus en plus précisément, le portrait d’une jeune femme courageuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un captivant drame sociétal et politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Cette course d’obstacles est menée tambour battant. Grâce à un scénario au cordeau qui transcende tout manichéisme, racontant une complexité bien plus grande qu’un pays simplement divisé entre bons et méchants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Ne confiant jamais à cette jeune femme un autre statut que celui de victime, le film est endigué dans un système d’écriture régi par l’épuisement de son personnage, quitte à répéter la même scène de la jeune femme devant faire face aux refus successifs des différentes personnes auxquelles elle rend visite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
Approche naturaliste et caméra scotchée à l’héroïne qui rappellent le cinéma roumain ou celui des frères Dardenne, ce film flirterait avec un académisme d’auteur si ses plans-séquences n’étaient aussi révélateurs de la solitude des femmes dans un pays qui nie leur condition.
Libération
Etonnamment, le film d’Ali Asgari, par-delà sa redoutable mécanique, touche à quelque chose de doux et précieux entre les engrenages : un flou, des sursauts de grâce qui regardent vers les Dardenne de Deux jours, une nuit, des effets de durée qui ont bien plus à voir avec l’attention portée aux visages (celui de la touchante Sadaf Asgari exprime mille conflits intérieurs) qu’à un étirement pervers des épreuves.
Ouest France
Une course contre la montre étouffante, qui raconte brillamment la condition des femmes dans ce pays.
Positif
[Des] inventions scénaristiques subtiles, [des] petits contrepoints comiques bienvenus, et une fine analyse d’une société patriarcale liberticide qui impose sa loi aux femmes [...].
Transfuge
Une magnifique odyssée d’une mère dans un Iran dangereux.
Télérama
Une immersion édifiante dans la vie d’une étudiante de Téhéran.
aVoir-aLire.com
Pendant que des femmes et des hommes se font massacrer par les autorités iraniennes, Ali Asgari offre un petit miracle de cinéma, empreint de combativité et de dignité.
La Voix du Nord
Film modeste et assez bref, Juste une nuit n’en illustre pas moins une situation de véritable danger pour sa protagoniste principale. Un état de fait que l’actualité iranienne ne viendra pas démentir.
Le Figaro
Dans sa mécanique inexorable, le film rappelle le kafkaïen After Hours de Scorsese. Mais l'ensemble reste trop anecdotique pour convaincre totalement.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue s’étire un peu, mais on est néanmoins touché par ce portrait de femme indépendante dans un pays qui bafoue ses droits et où tous les hommes sont soit des lâches soit des prédateurs. Edifiant.
Le Monde
Empruntant à l’esthétique du néoréalisme iranien (Abbas Kiarostami, Jafar Panahi, Majid Majidi…), Juste une nuit, du cinéaste Ali Asgari, épluche dans ses détails ordinaires la quête de Fereshteh. L’épopée engendre une sorte de suspense et dessine, de plus en plus précisément, le portrait d’une jeune femme courageuse.
Les Fiches du Cinéma
Un captivant drame sociétal et politique.
Première
Cette course d’obstacles est menée tambour battant. Grâce à un scénario au cordeau qui transcende tout manichéisme, racontant une complexité bien plus grande qu’un pays simplement divisé entre bons et méchants.
Les Inrockuptibles
Ne confiant jamais à cette jeune femme un autre statut que celui de victime, le film est endigué dans un système d’écriture régi par l’épuisement de son personnage, quitte à répéter la même scène de la jeune femme devant faire face aux refus successifs des différentes personnes auxquelles elle rend visite.