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    Silence
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    Claudine G
    Claudine G

    207 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2017
    Dieu que ce film est long, trop long. Certes Martin Scorsese est un excellent réalisateur mais ces deux mots apostasie ou mort qui reviennent sans relâche pendant plus de 2 h 30, c'est trop. Comment peut-on supporter ces atroces souffrances, ces massacres, ces pendaisons et cette décapitation sans se poser la question mais que fait Dieu ? Est-ce qu'il ne pardonnerait pas un petit mensonge pour conserver sa vie ? Comment ces prêtres n'ont-ils pas mieux aider les chrétiens qu'ils voyaient mourir de manière totalement inhumaine sous leurs yeux et se réfugiaient dans la prière ? N'est-ce pas à ce niveau là un certain égoïsme, voire de la lâcheté ? Je ne sais pas comment les chrétiens sont ressortis de la salle, sont-il restés aussi liés à leur Dieu, les athées se sont-ils renforcés dans l'idée que seul leur avenir est une incertitude, que seule la vie trace pour eux. Autant de questions sans réponses qui font que ce film m'a laissée perplexe quant aux phénomènes religieux.
    clamarch
    clamarch

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2017
    Esthétique, profond. Ces 2h40 de film passent dans un souffle qui dérange les idées reçues et touche aux vraies questions : la foi, le martyr (utile ou non ? Nécessaire à Dieu ou non ?), l'évangélisation, le doute..
    On en sort pas indemne, en tout cas ce film va me poursuivre ou m'accompagner plutôt, un certain temps...
    Santu2b
    Santu2b

    255 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2017
    Enfin sort sur les écrans "Silence" vieux projet de Scorsese annoncé depuis les années 1990 qui n'a cessé d'être repoussé. Preuve de l'importance du sujet, on retrouve le cinéaste ici en tant que scénariste, tâche qu'il n'avait plus occupée depuis "Casino". La première heure centrée sur la pénétrations des deux jésuites au Japon avait cependant de quoi laisser dubitatif. On a même l'impression que Scorsese le fait piéger par un jeu manichéen où les bon chrétiens font face aux cruels japonais. Mais ce n'est que pour mieux préparer le virage à suivre ; car au gré de deux rencontres déterminantes que fait le père Rodrigues, s'enclenche la partie la plus fascinante du film, où l'auteur déconstruit ce qu'il a édifié en une heure. Au final "Silence", magnifiquement photographié et porté par un brillant Garfield, un parfait miroir de l'oeuvre du cinéaste, lui dont le parcours à la fois cinématographique et humain n'aura été qu'une longue relation conflictuelle avec la foi. Un long-métrage qui divisera mais il s'agit incontestablement d'un des meilleurs Scorsese depuis des lustres.
    Fanadri123
    Fanadri123

    28 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2017
    Dans le Japon du XVIIème siècle, deux prêtres jésuites sont chargés de retrouver leur mentor, le père Ferreira, porté disparu alors qu’il tentait de répandre les enseignements du catholicisme. Au cours de leur voyage, ils vont découvrir un pays où le christianisme est décrété illégal et ses fidèles persécutés.

    Martin Scorsese réalise un projet personnel, qu’il a dans son tiroir depuis près de 30 ans. Il a même décidé de ne pas se verser de salaire pour tourner son film. Après La Dernière Tentation du Christ (1988) et Kundun (1997), Silence marque sa 3ème incursion dans le film religieux, genre qui lui tient particulièrement à cœur. Le cinéaste revient également à la pellicule donnant ainsi un caractère plus authentique à son histoire. Le sujet est complexe et l’histoire, basée sur des faits historiques réels, est quasiment inconnue du public occidental.

    Andrew Garfield et Adam Driver jouent respectivement les pères Garupe et Rodrigues. Tous les deux sont vifs et impulsifs, ce sont des hommes bruts et endurcis. Les conditions de vie étaient rudes et impitoyables à cette époque, il fallait survivre. Garfield est celui qui porte le film sur ses épaules tandis que Driver est plus en retrait. Ils se posent des questions fondamentales sur le sens de leur mission et le sens de leur vie. Ils sont souvent dans le doute et dans le questionnement.

    Liam Neeson, qui retrouve Scorsese après Gangs of New-York (2002), incarne le père Ferreira. Il est plaisant de le retrouver dans un film majeur. Lui, qui depuis quelques années, est plus cantonné à des rôles dans des films sans grand intérêt (heureusement pas tous mauvais pour autant). Son personnage est un homme de grand savoir, profondément ancré dans la culture jésuite, qui va, par la force des évènements, renier sa religion. Neeson possède cette gravité, ce sérieux, capable de comprendre le calme et le silence.

    Point de moments d’héroïsme ni d’action de bravoure mais plutôt une fatalité constante des évènements. Le titre du film fait d’ailleurs référence au silence de Dieu face aux souffrances vécues en son nom. La mise en scène est âpre, intelligente et montre un Scorsese habité par la grâce. La bande originale est discrète mais reflète parfaitement la sensation de pesanteur et d’angoisse qui planent tout au long du film.

    Le film est long, 2h41, parfois assez laborieux et difficile à suivre mais il soulève des questions complexes et intemporelles touchant ainsi à des émotions variées et intimes. Scorsese s’éloigne de ses films de gangsters pour s’interroger plus profondément sur la place de la religion et de la Foi.
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2017
    Un film résolument réfléchi par Martin Scorsese. Une oeuvre avec un manque de rythme mais une quête de l'ésotérisme très intéressante.
    Newstrum
    Newstrum

    49 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2017
    De belles images, mais l'usage presque constant de la voix off empêche de rentrer réellement à l'intérieur du film. Un comble pour un film qui s'appelle Silence et raconte la quête d'intériorité d'un missionnaire au Japon. Voir ma critique complète sur mon blog :
    Christian Wacrenier
    Christian Wacrenier

    18 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2017
    Aucune lumière, aucun ciel clair dans ce film, une atmosphère sinistre de roches grises, de boues, de marécages... Le silence commence là, dans cette nature hostile où l'homme tente de survivre dans des cabanes fragiles. Le silence devient assourdissant quand les hommes et les femmes sont torturés pour leur foi. Pour les croyants la grande interrogation est là. Devant le mal et la souffrance, comment peut-on croire en Dieu ? La force du film de Scorcese est de poser toutes les questions essentielles sur les rapports de l'homme et de la religion. Comment peut-on penser que l'on détient la vérité, la seule, au point de vouloir l'imposer à des pays qui possèdent la leur depuis des millénaires. Les Jésuites portugais arrivent pleins de cette certitude, avec le désir aussi de retrouver leur maître, Ferreira, celui qui consolida leur foi et qui aurait apostasié. Ils assistent à ¨la mort de nombreux convertis. Certains les remplissent d'admiration tant est forte leur résistance et leur refus de marcher sur l'image de leur dieu, ce qui les aurait sauvés. C'est un premier thème du film. La foi fait partie de l'identité de celui qui l'a choisie. Vouloir le contraindre à la renier, c'est en quelque sorte nier son identité. C'est ce que fait l'inquisiteur japonais, au nom d'une autre identité, celle du Japon séculaire et de ses valeurs, incompatibles avec le christianisme. Dans ce premier thème, il y a aussi, en creux, son côté crépusculaire: si au nom d'une foi qui nous habite si totalement, on est capable de mourir en martyr, cette même foi peut nous pousser à faire mourir les autres pour la leur imposer, puisqu'elle est la seule vérité. Les Chrétiens japonais sont les victimes comme les Chrétiens de l'inquisition espagnole étaient les bourreaux.
    L'autre thème est celui de la tolérance, de la compréhension de l'autre. Le père Rodrigues admet peu à peu que la vie mérite qu'on renonce à ses certitudes, à sa foi, du moins en apparence, qu'on accepte la loi du plus fort afin de rester vivant. L'apostasie n'est rien d'autre que cela. Je renie en public mon Dieu mais ça ne m'empêche pas de le garder en moi malgré ma trahison. Un personnage du film le dit et redit par ses actes. Kichijiro ne cesse de trahir et de revenir demander pardon. Il fait penser à Judas, d'autant plus qu'il reçoit des pièces pour salaire de sa trahison. Mais la grande différence avec Judas est que ce dernier après avoir trahi va se pendre. Il ne croit pas que le pardon soit possible après un tel acte. Kichijiro le croit et il multiplie trahisons et repentances. Le père Rodrigues malgré ses réticences lui donne l'absolution.
    Son exemple finira par faire réfléchir le père Rodrigues qui pour sauver des villageois, accepte de marcher sur l'image de son Dieu. C'est un des moments les plus intenses du film, celui où le père Rodrigues hésite, avance, se reprend. Le combat intérieur terrible se ressent dans tout son corps. Il finit par apostasier, par ressembler à son maître Ferreira qu'il a retrouvé. Ce dernier est marié, il a des enfants, il parle japonais et il est respecté comme un sage. C'est lui qui a été "converti" et se trouve à l'aise dans une culture et une spiritualité qui n'étaient pas les siennes. Rodrigues suit son exemple. Il a apparemment renoncé à ses certitudes pour continuer à vivre. Il se marie lui aussi et régulièrement il est obligé de renouveler son apostasie devant un Inquisiteur qui reste méfiant.
    Quand il meurt, une cérémonie bouddhiste est organisée avant la crémation. Sa femme selon le rituel lui met entre les mains un parchemin. Le dernier plan du film nous montre entre les mains du mort, une petite croix, celle que sa femme a glissée avec le parchemin. Ainsi, malgré les apparences le père Rodrigues aura gardé la foi, malgré toutes ses trahisons, tous ses compromis.
    Les images du film sont impressionnantes et font penser à certains films de Kurosawa, mais le sens profond, complexe est une réflexion sur la foi et son rapport avec la société.
    Silence résonne en nous longtemps après l'avoir vu. Et revu.
    coralie L.
    coralie L.

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 février 2017
    c'est long, très long, très très long et lent, très lent, très très lent, 3 heures de calvaire, je ne suis sans doute pas assez caler en religion catholique et sans doute pas assez près de dieu pour apprécier ce film
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2017
    Rodrigues et Garupe partent au Japon pour tenter de retrouver Ferreira qui est celui qui leur a tout appris et qui vivrait selon les rumeurs comme les autres Japonais après avoir renié sa foi. Sur place, ils se rendent compte que les chrétiens sont traqués puis torturés s'ils refusent de désavouer publiquement leur foi. Cette quête va mettre leur croyance à rude épreuve surtout que les Japonais comprenant qu'il était inutile de tuer au hasard vont comme ils disent s'attaquer à la racine pour couper le lien et endiguer le flux qui nourrit spirituellement les croyants restant. La première partie est forte, on assiste à de terribles tortures qui ne sont pas visuellement insoutenables, ça serait trop facile, mais on ressent toute la force de ces scènes intenses qui se déroulent pourtant dans une ambiance très paisible... Dans la suite, c'est beaucoup plus axé sur la psychologie du héros avec beaucoup de discussions et une introspection pour savoir si tout cela vaut le coup... "Silence" est un film contemplatif, sans artifice, profond, intéressant et captivant qui est donc très bon malgré quelques longueurs et une certaine redondance au niveau des scènes.
    janus72
    janus72

    48 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2017
    Voilà le grand film de ce début d'année, signé par un Maître touche-à-tout, brillant dans tous les styles, qui ici rend un hommage appuyé à Akira Kurosawa - au Cinéma Japonais.

    Ce qui m'a le plus frappé, à l'instar d'un T.Malick, c'est le panthéisme des images en contrepoint à ce combat Religieux, qui à mes yeux renvoie finalement tout le monde dans son coin.

    Scorsese reste le grand spécialiste de l'âme Humaine [ Taxi Driver - Raging Bull - À tombeau ouvert - Gangs of New York - Aviator - Shutter Island - Le Loup de Wall Street ] et de ce petit moteur très complexe qui nous fait avancer - reculer - s’élever ou encore tomber.

    Il met encore le doigt sur l'importance ou la vacuité des choses, suivant notre culture - religion - savoir & éducation mais surtout la position sociale et le début ou la fin de notre parcours ici-bas.
    Le personnage de Kichijiro est de ce point de vue assez remarquable, révélateur.

    Film visuellement Magnifique qui n'a peut-être qu'un seul défaut : certaines longueurs au détriment d'un récit final qui m'a paru lui trop cours.

    Il faut aller voir ce Film.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    190 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 février 2017
    Spiderman et Kylo Ren aux secours de Qui-Gon Jinn, un crossover original qui fait envie ! Plus sérieusement, ce casting prometteur associé à un grand réalisateur, forcément, ça éveille la curiosité. Pourtant, une fois terminé, Silence, est un film difficile à noter. La réalisation, les images, tout est vraiment très bien fait, certains plans sont magnifiques. La prestation des acteurs est elle vraiment très crédible, rien à dire ! Pourtant, on s'est ennuyé. Deux heures quarante pour raconter une histoire si peu intéressante, c'est trop. Ces personnages sont anecdotiques, comme le christianisme au Japon. Quel est le but du film ? Montrer la suprématie du japon pour la torture psychologique ? Ou l'aberration des croisades d’endoctrinement ? C'est la seule chose qu'on lui reprochera, mais peut-être la plus importante : Pas divertissant, pas très instructif, très lent, il manque d'intérêt pour nous. Vraiment dommage.
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2017
    Dans un film âpre, long et intense, Scorcese interroge sans arrêt la foi à l'épreuve du silence assourdissant que ces nouveaux croyants entendent en écho à leurs prières. Si le film est plein et intense, il ne se repose jamais sur son scénario à la recherche d'un effet de manche, ou d'une émotion factice, Scorcese livre un film comme une idée, vaporeux et labyrinthique, violent et assourdissant. Et il laisse les faits être interprétés. Difficile de juger le film tout de suite après sa diffusion, il faut laisser infuser en soi les questions soulevées, les pistes de réponse apportées, à questionner la foi de ces prêtres portugais du 17ème siècle, de ces nouveaux croyants japonnais qui paieront de leur vie une religion qu'ils réinterprètent. Mais c'est le monde d'aujourd'hui, pas si différent dans l'approche du prosélytisme que Scorcese interroge.
    jeff21
    jeff21

    66 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2017
    Longue réflexion sur la Foi, le respect d'une croyance et son contraire, dans le cadre historique de la persécution des chrétiens au Japon au 17eme siècle. Le film se veut spirituel, religieux et ressemble à une quête. On pourra y voir aussi la perspective difficile de vivre ensemble si différents. Trop pesant malgré tout et parfois insoutenable de cruauté. Perplexe.
    Le Blog Du Cinéma
    Le Blog Du Cinéma

    109 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2017
    Il aura fallu des années à Scorsese pour adapter Silence, le roman de Shusaku Endo. Il en résulte une œuvre riche, autant dans sa symbolique que par la puissance des images.
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    51 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 février 2020
    Un petit voyage dans le temps qui vous aidera à apprécier ce film. Quand le christianisme est arrivé au Japon au milieu du 16e siècle, la guerre civil avait semer le chaos dans le pays. On pouvait renter au Japon sans être contrôlé et prêcher sa propre religion. Les concepts de Dieu et de Jésus ont été traduis en Japonais, cela permis aux paysants de comprendre de quoi parlaient les chrétiens, et nombreux se sont convertis à cette religion. L'Eglise a demandé aux jésuites de se rendre dans le monde entier pour prêcher l'évangile. Leur religion s'est donc répandue rapidement. Pendant 70 ans ils ont pu prêcher la bonne nouvelle au Japon. Puis les Shoguns (personnages qui détiennent l'autorité), ont compris que cela risquait d'altérer leur propre culture. Il fallait effacer ces nouvelles connaissances. Le pouvoir a changer, les chrétiens ont été abandonnés, puis pourchassés. Beaucoup de prêtres ont été capturés et torturés. Le père Ferreira fut l'un d'eux, il a vraiment existé, c'était un jésuite assez réputé dans le monde entier. Dans ce long-métrage, la disparition du père Ferreira devient l'énigme de l'histoire. Ayant reçu une lettre qui dénonce que ce messager de Dieu désapprouve sa propre religion, deux jeunes prêtres idéalismes ne croyant pas à ces blasphèmes, partent à sa recherche au Japon. Au 17e siècle, dans ce pays le christianisme est devenu strictement interdit, puni par la torture et la mort. Ces deux clandestins, Rodrigues et Garupe, seront recherchés par l'inquisiteur Inoue-sama (personnage ayant vraiment vécu), rusé et implacable, très connu pour sa façon cruelle de torturer les gens. Ces deux missionnaires pour survivre, vont alors mettre en avant cette force dictée par la foi, rejetant les demandes persistantes des autorités pour l'apostasie (reniement de leur religion), un acte scandaleux pour eux. Un film traitant le dilemme moral ayant pour toile principale: le bouddhisme opposé au christianisme. Un Japon obscurci par une spiritualité créant une terreur omniprésente. Une réalisation calme sans accuser trop de lenteurs, ni de longueurs, avec des comédiens impeccables. Un long-métrage nous plaçant comme observateur des faits de cette époque. ENCORE UNE FOIS, UN TRES BON SCORSESE.
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