Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Avec "Silence", Martin Scorsese atteint à un certain état de grâce, inspiré comme jamais, versant à sa filmographie cet ouvrage à part en même temps qu’inscrit dans la trajectoire de son cinéma, sa propre histoire et sa foi personnelle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Écrasant par sa beauté, sa gravité et sa violence, "Silence" est l'un des grands chefs-d'oeuvre de Martin Scorsese.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
L'ampleur âpre et austère de la mise en scène, très inspirée par les grands cinéastes japonais, orchestre le silence et le secret qui sont les ressorts de cette épopée existentielle, aux registres multiples : drame historique, le film parle de la clôture d'un État, de l'oppression, de la clandestinité, de la persécution.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Gaël Golhen
Un chef-d'oeuvre qui pose plus de questions qu'il n'impose une vision.
Télérama
par Pierre Murat
"Silence" est l'apothéose d'un Scorsese hanté par la grâce, donnée à certains presque naturellement, mais que d'autres poursuivent à jamais et en vain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
Comment mettre en images le doute intérieur ? Comment représenter la crise du prêtre Rodrigues, qui en appelle à Dieu mais n'obtient par définition aucune réponse ? Impossible à filmer et pourtant Scorsese s'y attelle, plan par plan, superposant le déchirement spirituel des hommes à des paysages de nature majestueuse, impartiale...
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) une magistrale leçon de cinéma, qui apaise dans sa ferveur et épate dans son intelligence, au-delà de tout prosélytisme déplacé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
L’air de rien, il y a quelque chose de très fort à voir Scorsese, cinéaste si prompt à l’extériorisation bruyante des affects, escorter jusqu’au tombeau le silence de cette soumission — et ainsi mieux lui ménager, en une dernière expiration clandestine, le murmure déchirant de sa révolte.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Alors, anti-western, aveu de faiblesse, apostat de style, bide annoncé ? Tout à la fois, mais surtout : film de Scorsese le plus personnel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
"Silence" ne serait pas cette réussite cinématographique sans le jeu de Andrew Garefield, Adam Driver, Liam Neeson, Isey Ogata et Yosuke Kubozuka et sans la magnifique bande-son, composée par Kathryn et Kim Allen Kluge.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Réflexion vertigineuse sur la Foi et sur la transcendance, "Silence" est un Scorsese inattendu, un testament esthétique miraculeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Grand sujet que celui de "Silence", dans le prosélytisme, au cœur du film. Scorsese ne fait pas appel à la virtuosité spectaculaire que l’on trouve d’habitude dans ses films. Ici les plans sont posés, frontaux, composés et montés selon une ascèse toute japonaise qui renvoie à une approche toute méditative.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Dans un paysage cinématographique envahi par les super-héros et les clafoutis à dollars, Scorsese s’élève. On aime ou on n’aime pas, mais ce "Silence" s’envole comme une prière d’encens vers la voûte d’une cathédrale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Dans "Silence", adaptation du roman du même nom écrit par le Japonais Shusaku Endo, le réalisateur américain filme le périple de deux jésuites dans le Japon du XVIIe siècle et livre un long film riche de questions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans une ample et longue évocation, aux images somptueuses, un itinéraire de foi confronté au doute et au martyre : toute la dimension spirituelle de l’univers de Scorsese.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Silence finit par faire sens. Aucun homme ne peut imposer sa foi à un homme. Aucun homme, non plus, ne peut faire renoncer un homme à sa foi. Le prosélytisme et l’apostasie sont les deux faces d’une même pièce. Une dialectique que le théologien Scorsese montre avec une grande intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si la religion inspire à Scorsese un film beaucoup trop long, sa mise en scène offre de belles images et le cinéaste explore comme personne les noirceurs de l’âme humaine. "Silence" trouve finalement une résonance pertinente dans notre monde en pleine crise.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec le bruissement d’une bande sonore complexe (...) ces images dessinent un monde dans lequel les angoisses des hommes, leur agitation, apparaissent éphémères, dignes d’attention et de compassion, mais presque imperceptibles au regard de ce cosmos que Martin Scorsese a su faire tenir dans les limites d’un écran.
Le Point
par Phalène de La Valette
Résonnant forcément avec l'actualité, ces trois heures de méditation intime forment un pèlerinage artistique exigeant (mais sublime) qui éclaire d'un jour nouveau toute la dualité du cinéaste, ses démons (addictions, violence, dépression...) et sa piété d'ancien séminariste.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
D’abord pesant et laborieux, ce film très théorique s’impose petit à petit en construisant une réflexion métaphysique complexe et vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Philippe Richard
La passion d'Andrew Garfield est convaincante et l'acteur japonais Issey Ogata campe un étonnant inquisiteur... Mais le film aurait gagné à passer en dessous de la barre des deux heures.
Paris Match
par Yannick Vely
POUR : Si le rythme de «Silence» risque de désorienter les fans du Martin Scorsese des «Affranchis», surtout dans un deuxième acte très répétitif, le «décrochage» narratif du dernier tiers, sa puissance d'évocation vous mettra à genou, prêt à attendre la confession du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
En quelques plans de toute beauté, le baptême et la mort se trouvent réunis dans la transcendance. La cohabitation des extrêmes fait partie du cinéma de Scorsese qui filme dans le même temps la cruauté des hommes et leur sainteté, l’aspiration au sacré et la profanation, la terreur et le courage.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Claire Picard
C’est intelligent, magnifiquement photographié et dialogué, le spectacle contient de très belles séquences de cinéma, mais il peut laisser de marbre ceux que le rapport à la foi n’intéresse guère.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Si l'on accepte ses exigences un rien arides et son rythme zen, cette fresque captive par ses interrogations mystiques et philosophiques passionnantes.
CNews
par La Rédaction
Tourné en décors naturels à Taïwan, le film est sublime visuellement, avec des séquences sur la mer déchaînée ou des montagnes dans la brume. Trop répétitif malgré une maîtrise incontestable de la mise en scène, il pourra laisser perplexe face à l’ambiguïté de son ambition.
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans les deux premiers tiers du film, on est happé par les paysages sublimes et le souffle d'une intrigue métaphysique. (...) La lenteur du long-métrage pèse malheureusement dans le dernier tiers, moins convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
D'abord laborieux, puis fin et complexe, ce film se termine en ode poignante et puissante à la liberté de l'esprit.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Scorsese traite ici un bel et grand sujet, historique mais aussi, hélas, d'actualité (...). D'où vient que l'adhésion à ce projet si personnel, tant de fois entrepris, remis et repris, n'est pas entière ?
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
(...) "Silence" est un film magnifiquement mis en scène (...). À la fois film somme et essai mystique, ce voyage à travers la foi est lourd à digérer.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Quelques scènes assez fortes et quelques bons acteurs japonais. Mais les atermoiements d’un Andrew Garfield pas très inspiré au fond de son cachot (…) sont si barbantes qu’à son cinquantième Eli, Eli, lama sabachthani le spectateur mécréant serait prêt à adorer n’importe quelle idole pour que cesse ce prêchi-prêcha.
L'Express
par Eric Libiot
Cher Martin, pourquoi raconter cette histoire en 2h 41 ? C'est long. Très long. Et, franchement, si peu justifié.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Après avoir beaucoup péché, Scorsese semble vouloir se donner bonne conscience avec cette languissante fable hollywoodienne cousue de fil blanc et faussement modeste. La séquence récurrente des chrétiens contraints à piétiner une icône sacrée est une métaphore de sa conception de la croyance, qui se réduit aux images (voir le plan final très naïf).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Marcos Uzal
Par sa vision trop fanatique, Scorsese bâcle sa fresque historique sur le martyre de chrétiens au Japon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
CONTRE : Hélas, le grand Scorsese passe à côté et nous impose un film interminable, servi par des stars incapables de rendre crédibles leurs personnages...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
Avec "Silence", Martin Scorsese atteint à un certain état de grâce, inspiré comme jamais, versant à sa filmographie cet ouvrage à part en même temps qu’inscrit dans la trajectoire de son cinéma, sa propre histoire et sa foi personnelle.
CinemaTeaser
Écrasant par sa beauté, sa gravité et sa violence, "Silence" est l'un des grands chefs-d'oeuvre de Martin Scorsese.
Le Figaro
L'ampleur âpre et austère de la mise en scène, très inspirée par les grands cinéastes japonais, orchestre le silence et le secret qui sont les ressorts de cette épopée existentielle, aux registres multiples : drame historique, le film parle de la clôture d'un État, de l'oppression, de la clandestinité, de la persécution.
Première
Un chef-d'oeuvre qui pose plus de questions qu'il n'impose une vision.
Télérama
"Silence" est l'apothéose d'un Scorsese hanté par la grâce, donnée à certains presque naturellement, mais que d'autres poursuivent à jamais et en vain.
Voici
Comment mettre en images le doute intérieur ? Comment représenter la crise du prêtre Rodrigues, qui en appelle à Dieu mais n'obtient par définition aucune réponse ? Impossible à filmer et pourtant Scorsese s'y attelle, plan par plan, superposant le déchirement spirituel des hommes à des paysages de nature majestueuse, impartiale...
aVoir-aLire.com
(...) une magistrale leçon de cinéma, qui apaise dans sa ferveur et épate dans son intelligence, au-delà de tout prosélytisme déplacé.
Chronic'art.com
L’air de rien, il y a quelque chose de très fort à voir Scorsese, cinéaste si prompt à l’extériorisation bruyante des affects, escorter jusqu’au tombeau le silence de cette soumission — et ainsi mieux lui ménager, en une dernière expiration clandestine, le murmure déchirant de sa révolte.
Critikat.com
Alors, anti-western, aveu de faiblesse, apostat de style, bide annoncé ? Tout à la fois, mais surtout : film de Scorsese le plus personnel.
Culturopoing.com
"Silence" ne serait pas cette réussite cinématographique sans le jeu de Andrew Garefield, Adam Driver, Liam Neeson, Isey Ogata et Yosuke Kubozuka et sans la magnifique bande-son, composée par Kathryn et Kim Allen Kluge.
Ecran Large
Réflexion vertigineuse sur la Foi et sur la transcendance, "Silence" est un Scorsese inattendu, un testament esthétique miraculeux.
Franceinfo Culture
Grand sujet que celui de "Silence", dans le prosélytisme, au cœur du film. Scorsese ne fait pas appel à la virtuosité spectaculaire que l’on trouve d’habitude dans ses films. Ici les plans sont posés, frontaux, composés et montés selon une ascèse toute japonaise qui renvoie à une approche toute méditative.
L'Obs
Dans un paysage cinématographique envahi par les super-héros et les clafoutis à dollars, Scorsese s’élève. On aime ou on n’aime pas, mais ce "Silence" s’envole comme une prière d’encens vers la voûte d’une cathédrale.
La Croix
Dans "Silence", adaptation du roman du même nom écrit par le Japonais Shusaku Endo, le réalisateur américain filme le périple de deux jésuites dans le Japon du XVIIe siècle et livre un long film riche de questions.
Le Dauphiné Libéré
Dans une ample et longue évocation, aux images somptueuses, un itinéraire de foi confronté au doute et au martyre : toute la dimension spirituelle de l’univers de Scorsese.
Le Figaroscope
Silence finit par faire sens. Aucun homme ne peut imposer sa foi à un homme. Aucun homme, non plus, ne peut faire renoncer un homme à sa foi. Le prosélytisme et l’apostasie sont les deux faces d’une même pièce. Une dialectique que le théologien Scorsese montre avec une grande intelligence.
Le Journal du Dimanche
Si la religion inspire à Scorsese un film beaucoup trop long, sa mise en scène offre de belles images et le cinéaste explore comme personne les noirceurs de l’âme humaine. "Silence" trouve finalement une résonance pertinente dans notre monde en pleine crise.
Le Monde
Avec le bruissement d’une bande sonore complexe (...) ces images dessinent un monde dans lequel les angoisses des hommes, leur agitation, apparaissent éphémères, dignes d’attention et de compassion, mais presque imperceptibles au regard de ce cosmos que Martin Scorsese a su faire tenir dans les limites d’un écran.
Le Point
Résonnant forcément avec l'actualité, ces trois heures de méditation intime forment un pèlerinage artistique exigeant (mais sublime) qui éclaire d'un jour nouveau toute la dualité du cinéaste, ses démons (addictions, violence, dépression...) et sa piété d'ancien séminariste.
Les Fiches du Cinéma
D’abord pesant et laborieux, ce film très théorique s’impose petit à petit en construisant une réflexion métaphysique complexe et vertigineuse.
Ouest France
La passion d'Andrew Garfield est convaincante et l'acteur japonais Issey Ogata campe un étonnant inquisiteur... Mais le film aurait gagné à passer en dessous de la barre des deux heures.
Paris Match
POUR : Si le rythme de «Silence» risque de désorienter les fans du Martin Scorsese des «Affranchis», surtout dans un deuxième acte très répétitif, le «décrochage» narratif du dernier tiers, sa puissance d'évocation vous mettra à genou, prêt à attendre la confession du cinéaste.
Sud Ouest
En quelques plans de toute beauté, le baptême et la mort se trouvent réunis dans la transcendance. La cohabitation des extrêmes fait partie du cinéma de Scorsese qui filme dans le même temps la cruauté des hommes et leur sainteté, l’aspiration au sacré et la profanation, la terreur et le courage.
Télé 2 semaines
C’est intelligent, magnifiquement photographié et dialogué, le spectacle contient de très belles séquences de cinéma, mais il peut laisser de marbre ceux que le rapport à la foi n’intéresse guère.
Télé 7 Jours
Si l'on accepte ses exigences un rien arides et son rythme zen, cette fresque captive par ses interrogations mystiques et philosophiques passionnantes.
CNews
Tourné en décors naturels à Taïwan, le film est sublime visuellement, avec des séquences sur la mer déchaînée ou des montagnes dans la brume. Trop répétitif malgré une maîtrise incontestable de la mise en scène, il pourra laisser perplexe face à l’ambiguïté de son ambition.
Le Parisien
Dans les deux premiers tiers du film, on est happé par les paysages sublimes et le souffle d'une intrigue métaphysique. (...) La lenteur du long-métrage pèse malheureusement dans le dernier tiers, moins convaincant.
Les Inrockuptibles
D'abord laborieux, puis fin et complexe, ce film se termine en ode poignante et puissante à la liberté de l'esprit.
Positif
Scorsese traite ici un bel et grand sujet, historique mais aussi, hélas, d'actualité (...). D'où vient que l'adhésion à ce projet si personnel, tant de fois entrepris, remis et repris, n'est pas entière ?
Studio Ciné Live
(...) "Silence" est un film magnifiquement mis en scène (...). À la fois film somme et essai mystique, ce voyage à travers la foi est lourd à digérer.
Cahiers du Cinéma
Quelques scènes assez fortes et quelques bons acteurs japonais. Mais les atermoiements d’un Andrew Garfield pas très inspiré au fond de son cachot (…) sont si barbantes qu’à son cinquantième Eli, Eli, lama sabachthani le spectateur mécréant serait prêt à adorer n’importe quelle idole pour que cesse ce prêchi-prêcha.
L'Express
Cher Martin, pourquoi raconter cette histoire en 2h 41 ? C'est long. Très long. Et, franchement, si peu justifié.
L'Humanité
Après avoir beaucoup péché, Scorsese semble vouloir se donner bonne conscience avec cette languissante fable hollywoodienne cousue de fil blanc et faussement modeste. La séquence récurrente des chrétiens contraints à piétiner une icône sacrée est une métaphore de sa conception de la croyance, qui se réduit aux images (voir le plan final très naïf).
Libération
Par sa vision trop fanatique, Scorsese bâcle sa fresque historique sur le martyre de chrétiens au Japon.
Paris Match
CONTRE : Hélas, le grand Scorsese passe à côté et nous impose un film interminable, servi par des stars incapables de rendre crédibles leurs personnages...