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Votre avis sur Suzume ?
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"Suzume" est le nouveau long-métrage d’animation de Makoto Shinkai. Lui qui avait ébloui le monde en 2016 avec "Your Name" et en 2020 avec "Les Enfants du temps", revient donc une nouvelle fois pour nous mettre d’accord. Je ne vais clairement pas faire durer le suspense, j’ai adoré ce film ! J’attendais impatiemment de voir ce que ce metteur en scène allait nous proposer, et je n’ai pas du tout été déçu. J’apprécie plutôt bien son travail en général et j’ai retrouvé tous les éléments qui sont vraiment intéressants à noter dans son cinéma au sein de ce film. Pour commencer, il est évidemment de noter que le film est visuellement magnifique. Sur ce point, on retrouve toute la qualité du travail des animateurs japonais, lui qui est toujours d’excellente facture. L’animation est extrêmement propre, colorée et elle retranscrit bien le style du réalisateur. Au niveau de la fluidité des mouvements de nos personnages ou dans la beauté des décors (notamment ces immenses ciels colorés), on est très souvent bluffé face au film. C’est vraiment beau. Cependant, ce genre de détails est vite convenu, tout le monde sera facilement d’accord avec cela. Mais pour moi, cette beauté visuelle n’est là que pour servir tout ce que le cinéaste veut nous raconter. Le scénario est assez différent de ces précédentes œuvres, en principe du moins. On est loin de la double narration de "Your Name" par exemple. L’entièreté du long-métrage n’est qu’un immense road-trip à travers le Japon. Mais à mon sens, cela n’entache pas vraiment le rythme du long-métrage. Tout s’enchaîne de manière assez naturelle malgré les deux heures, et avec un certain sens. Tout l’objectif de cette histoire est de reprendre ce concept du personnage qui parcourt un long voyage pour en apprendre sur lui-même et en ressortir meilleur. Notre héroïne, Suzume, sera rapidement assez attachante par la proximité immédiate que nous aurons avec elle. Dès l’introduction, nous serons confrontés à son passé de manière assez brusque. Et durant tout le film, nous allons développer beaucoup d’attachement envers elle. Globalement, son principal combat et la thématique globale du projet seront le deuil. Elle qui semble avoir tout perdu, devra apprendre à prendre soin de ces proches et à profiter de la vie. Un sujet un peu bateau certes, mais qui fonctionne finalement très bien. Déjà, car il ne semble pas délivrer de manière trop brutale. Il sera distillé de manière assez homogène durant tout le film, l’héroïne apprenant chaque fois un peu plus de cette morale à chaque nouvelle rencontre qu’elle fera. Et ensuite, car la thématique est suggérée de manière beaucoup plus globale.
spoiler:
J’aime la prise de risque d’expliquer les événements du film et de les mettre en parallèle avec des événements réels. Le parti-pris de parler de cette catastrophe naturelle qui a retourné le Japon en 2011 est assez osé, mais fonctionne bien. Makoto Shinkai invite clairement son pays à faire le deuil, 11/12 ans après, et de tourner la page. Le sujet est donc émouvant et particulièrement impactant.
Par ailleurs, je dois dire que j’aime beaucoup les explications aux éléments un surnaturels du film, et à la cohérence de l’univers en général. spoiler: On sent clairement une grosse inspiration religieuse dans ces dieux qui viennent affronter ces démons cachés sous terre. Je sais que c’est souvent reproché à certains projets parfois, mais le concept est particulièrement subtil et bien utilisé ici. Cela renforce d’ailleurs davantage la thématique de la vie et de la mort au sein du projet.
En bref, le film a vraiment bien plus de choses intéressantes à raconter au niveau de son histoire que l’on voudrait bien croire. Il est intéressant, sans être trop complexe, et il réussit parfaitement à captiver pendant ces 2 heures. À noter également, avant de conclure, la superbe bande-son du projet. J’ai adoré toutes les musiques du long-métrage, notamment celle de Tokyo ! Ces voix très aiguës jouaient comme des instruments, extrêmement synthétiques, superposés à des voix bien plus graves, m’ont donné des frissons ! Par conséquent, j’ai adoré le film ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas vécu une telle expérience au cinéma, et cela fait du bien ! Je vous conseille vivement de foncer le voir en salles, il le mérite ! Pour conclure, un chef-d’œuvre de l’animation.
Par ailleurs, je dois dire que j’aime beaucoup les explications aux éléments un surnaturels du film, et à la cohérence de l’univers en général. spoiler: On sent clairement une grosse inspiration religieuse dans ces dieux qui viennent affronter ces démons cachés sous terre. Je sais que c’est souvent reproché à certains projets parfois, mais le concept est particulièrement subtil et bien utilisé ici. Cela renforce d’ailleurs davantage la thématique de la vie et de la mort au sein du projet.
En bref, le film a vraiment bien plus de choses intéressantes à raconter au niveau de son histoire que l’on voudrait bien croire. Il est intéressant, sans être trop complexe, et il réussit parfaitement à captiver pendant ces 2 heures. À noter également, avant de conclure, la superbe bande-son du projet. J’ai adoré toutes les musiques du long-métrage, notamment celle de Tokyo ! Ces voix très aiguës jouaient comme des instruments, extrêmement synthétiques, superposés à des voix bien plus graves, m’ont donné des frissons ! Par conséquent, j’ai adoré le film ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas vécu une telle expérience au cinéma, et cela fait du bien ! Je vous conseille vivement de foncer le voir en salles, il le mérite ! Pour conclure, un chef-d’œuvre de l’animation.
Le film d'animation est magnifique et d'une beauté, que ce soit dans sa forme que sur le fond de son scénario onirique. Shinkai nous délivre une nouvelle perle. Dommage que ce soit un poil trop long.
Cinememories
"Les films d’animation japonais reviennent en force, en passant par les plus grands festivals, afin que l’on continue de célébrer un art entre tradition et modernité. C’est en tout cas ce que Makoto Shinkai soutient dans sa dernière œuvre, Suzume, qu’il arrose généreusement d’humour, d’élans épiques et d’une tendresse qui ne cessent de nourrir son imaginaire."
"Mamoru Hosoda et Makoto Shinkai se relaient en permanence, permettant ainsi au monde de se familiariser avec l’animation japonaise, qui connaît un nouvel essor, depuis le déluge incessant des mangas dans les libraires ou des animes sur les petits écrans de streaming. La culture nippone progresse encore et toujours dans ce sens, mettant en avant de nombreux héros, pour la plupart adolescents, un âge de crises et d’émerveillements sur les amitiés du quotidien, autant que sur le deuil qui les poursuit. Et Makoto Shinkai ne déroge donc pas à ses principes, en faisant de la mélancolie le principal moteur de tous ses récits."
"Suzume cherche moins à soutirer les larmes de son public, contrairement aux précédents films, qu’à lui offrir un road-trip épique, jonglant habilement d’un registre à l’autre. Il ne reste que cette ambition sans doute trop grande pour qu’on y garde le souvenir d’avoir assisté à un Firework, tout en subtilité. L’auteur prend cependant soin de laisser une clé sous la porte pour que jamais nous ne soyons privés du voyage de retour. Espérons toutefois que celui-ci sera le pivot pour Makoto Shinkai, qui risque de tourner en rond s’il s’obstine à faire de sa thématique du deuil une priorité. De même les clins d’œil trop explicites peuvent freiner les sentiments qu’il choisit de défendre. Tourner la page, c’est ce qu’on attend à présent d’un cinéaste prometteur et convaincu par la force de la jeunesse."
Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
"Mamoru Hosoda et Makoto Shinkai se relaient en permanence, permettant ainsi au monde de se familiariser avec l’animation japonaise, qui connaît un nouvel essor, depuis le déluge incessant des mangas dans les libraires ou des animes sur les petits écrans de streaming. La culture nippone progresse encore et toujours dans ce sens, mettant en avant de nombreux héros, pour la plupart adolescents, un âge de crises et d’émerveillements sur les amitiés du quotidien, autant que sur le deuil qui les poursuit. Et Makoto Shinkai ne déroge donc pas à ses principes, en faisant de la mélancolie le principal moteur de tous ses récits."
"Suzume cherche moins à soutirer les larmes de son public, contrairement aux précédents films, qu’à lui offrir un road-trip épique, jonglant habilement d’un registre à l’autre. Il ne reste que cette ambition sans doute trop grande pour qu’on y garde le souvenir d’avoir assisté à un Firework, tout en subtilité. L’auteur prend cependant soin de laisser une clé sous la porte pour que jamais nous ne soyons privés du voyage de retour. Espérons toutefois que celui-ci sera le pivot pour Makoto Shinkai, qui risque de tourner en rond s’il s’obstine à faire de sa thématique du deuil une priorité. De même les clins d’œil trop explicites peuvent freiner les sentiments qu’il choisit de défendre. Tourner la page, c’est ce qu’on attend à présent d’un cinéaste prometteur et convaincu par la force de la jeunesse."
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Les scènes sont très belles mais l'histoire est un peu nulle à mon goût par rapport au film "Your Name".
Je m attendais à mieux c est longuet et larmoyant... la chaise et le chat sont penibles, de nombreuses repetitions, ceci dit quelques scenes spectaculaires sauvent l anime mais bon... bof bof.... trop long vraiment et pas de BO pour rythmer l ensemble, déception :-/
Crtitiques surfaites ou incompréhension de ma part ? Je n’ai ni été touché, ni surpris, ni subjugué esthétiquement ou narrativement. Il reste un film d’animation correct, un peu long et pas indispensable.
Oh là, calmons nous. Je peux comprendre votre incompréhension.
Ceci dit, prenez un studio Ghibli et cherchez où est la différence.
Un autre genre me direz vous peut-être ?
Un animé, le Japon, et une histoire fantastique.
J'y vois plusieurs points d'attache.
Oui c'est beau, oui il y a de l'émotion et oui tout ce joue au plus important : où est la poésie ?
Certainement pas dans l'émotion "facile" et grand public qui nous est livré.
Ceci dit, prenez un studio Ghibli et cherchez où est la différence.
Un autre genre me direz vous peut-être ?
Un animé, le Japon, et une histoire fantastique.
J'y vois plusieurs points d'attache.
Oui c'est beau, oui il y a de l'émotion et oui tout ce joue au plus important : où est la poésie ?
Certainement pas dans l'émotion "facile" et grand public qui nous est livré.
Je viens de le voir en avant première. Époustouflé par la splendeur des graphismes, en plus d'une histoire écrite méticuleusement, sans laisser d'éléments au hasard. Je recommande
Arriver à se renouveler à chaque film, c'est incroyable. Quelle claque visuellement ! Olalala, juste merci. Film pour toute la famille mais une lecture pour les parents complètement incroyable.
Makoto Shinkai mêle habilement humour, drame et fantastique dans ce joli conte aux trouvailles amusantes. L'animation est absolument somptueuse, en revanche la narration est un peu répétitive.
Makoto Shinkai est retour, une nouvelle fois avec une histoire traitant de surnaturel, de mythe folklorique japonais, de Dieux/esprits, et de catastrophes naturelles.
Des « portes » se créent dans les endroits abandonnés par les humains, les énergies négatives liés à leur nostalgie, qui peut provoquer des désastres si ces portes sont ouvertes. Suzume ouvre une de ces portes par curiosité et manque de provoquer un tremblement de terre.
Nos héros vont allez de ville en ville à travers le Japon, pour fermer toutes ces portes et empêcher une catastrophe nationale.
Cette histoire selon laquelle chaque mauvaise chose qui arrive est liée à la malice des esprits/Dieux, est un croyance très ancienne au Japon. Même si dans chaque conte, l’homme n’est pas étranger à l’apparition de ces malheurs.
L’héroïne Suzume va trouver la force de continuer à trouver ces portes et prévenir les catastrophes, mais également pour aider son compagne d’infortune Sota pour lequel a des sentiments, et également découvrir pourquoi ses portes semblent lui être familières.
Le film est une aventure sympathique, mélange de moments plus posés où Suzume découvre d’autres villes, se fait accueillir par des habitants locaux, et les moments plus tendus où elle doit faire face au surnaturel.
Le schéma du film est ultra-classique, mais a une connotation particulière au Japon, sachant que l’Archipel est soumis à de nombreuses catastrophes naturelles multiples.
La révélation de fin de film devient pour le coup émouvant, lors que spoiler: Suzume revient dans sa ville natale dans la région Sendai (Tōhoku), et retrouve son cahier d’enfant, et la date fatidique de la disparition de sa mère, le 11 mars (Grand séisme de l’Est du Japon de 2011).
Sur la forme Makoto Shinkai reprends des codes classiques de films d’aventure, de comédie, de drame familial, d’adolescents en quête d’identité, du héros ordinaire qui se révèle lors de situations extraordinaires, le sous-texte sur les catastrophes naturelles, lui donne un fond que la plupart de ses films n’avaient pas, ou se contentaient de survoler de manière très superficielle.
Ici, l’écriture des personnages est beaucoup plus adulte, il est question de responsabilités, de deuil de son parent, de retrouver la paix intérieure en ayant fait face à ses traumas personnels.
En ça, le film est une réussite. Mention à la seiyuu Nanoka Hara qui donne vie à notre héroïne Suzume, avec beaucoup d’humanité, de caractère et d’humanité.
Des « portes » se créent dans les endroits abandonnés par les humains, les énergies négatives liés à leur nostalgie, qui peut provoquer des désastres si ces portes sont ouvertes. Suzume ouvre une de ces portes par curiosité et manque de provoquer un tremblement de terre.
Nos héros vont allez de ville en ville à travers le Japon, pour fermer toutes ces portes et empêcher une catastrophe nationale.
Cette histoire selon laquelle chaque mauvaise chose qui arrive est liée à la malice des esprits/Dieux, est un croyance très ancienne au Japon. Même si dans chaque conte, l’homme n’est pas étranger à l’apparition de ces malheurs.
L’héroïne Suzume va trouver la force de continuer à trouver ces portes et prévenir les catastrophes, mais également pour aider son compagne d’infortune Sota pour lequel a des sentiments, et également découvrir pourquoi ses portes semblent lui être familières.
Le film est une aventure sympathique, mélange de moments plus posés où Suzume découvre d’autres villes, se fait accueillir par des habitants locaux, et les moments plus tendus où elle doit faire face au surnaturel.
Le schéma du film est ultra-classique, mais a une connotation particulière au Japon, sachant que l’Archipel est soumis à de nombreuses catastrophes naturelles multiples.
La révélation de fin de film devient pour le coup émouvant, lors que spoiler: Suzume revient dans sa ville natale dans la région Sendai (Tōhoku), et retrouve son cahier d’enfant, et la date fatidique de la disparition de sa mère, le 11 mars (Grand séisme de l’Est du Japon de 2011).
Sur la forme Makoto Shinkai reprends des codes classiques de films d’aventure, de comédie, de drame familial, d’adolescents en quête d’identité, du héros ordinaire qui se révèle lors de situations extraordinaires, le sous-texte sur les catastrophes naturelles, lui donne un fond que la plupart de ses films n’avaient pas, ou se contentaient de survoler de manière très superficielle.
Ici, l’écriture des personnages est beaucoup plus adulte, il est question de responsabilités, de deuil de son parent, de retrouver la paix intérieure en ayant fait face à ses traumas personnels.
En ça, le film est une réussite. Mention à la seiyuu Nanoka Hara qui donne vie à notre héroïne Suzume, avec beaucoup d’humanité, de caractère et d’humanité.
maxime ...
Après bien des occasions manquée, à l'instar d'un autre film de Makoto Shinkai ( Your Name ), j'ai enfin pu voir Suzume, certainement l'un de ceux que j'attendais le plus pour 2023 ! Il n'y a pas d'ailleurs à attendre son générique pour comprendre, le spectacle sera immense.
Du reste, ce qui est le plus inattendu en est sans aucun doute sa cadence. Si le démarrage carbure à plein régime, il prend à mesure le temps de se raconter, d'initier un voyage auquel on adhère, dans sa simplicité la plus sincère. Car oui franchement, cette dernière n'a au fond rien de bien incroyable, enfin si, mais plutôt de par sa manière de faire qui suscite une émotion sublime. Suzume, capte des maux de son époque, de son pays, et en livre une métaphore ou l'optimisme est seul maitre à bord. Qu'importe les deux ou trois embranchements de déjà vu ...
Je passe très vite la moulinette des références, Miyazaki et Disney entres autres pour vraiment souligné l'audace et le brio de l'animé, de son rendu, à son idée. Le message qui se boutique tire vers Mononoké, voir Le Chateau Ambulant tout comme vers La Belle et la Bête et bien d'autres, mais il se distingue toutefois une autre verve plus raccord avec un mélange des genres proche de la culture actuelle, dont bons nombres combine les forces pour de nouveaux archétypes. Voilà aussi une des raisons qui explicite l'engouement autour de Suzume.
Pour ce qu'il en est de ses personnages, ont les suit envers et contre tout. Son mic-mac autour de ce petit chat est en touts points remarquables, frustrant aussi, juste ce qu'il faut. Suzume et les autres sont quand à eux géniaux, si touchant dans le périple qui les relient, à des stades différents, que je manque vraiment de mots ...
J'ai un peu de mal à écrire d'avantage, j'y ai pensé toute la journée pourtant ( vu le film ce matin ) mais l'émotion bien trop enivrante de l'instant semble me rattrapé malgré le laps qui m'en sépare ! J'ai déjà envie de le revoir !
J'aime parfois trouvé sur mon chemin des longs-métrages qui m'éveillent, me réveillent, me bouscule. J'aime aussi comme ce dernier trouvé un réconfort, une bonhomie, un état enjôleur dans un sujet pour autant fort et magnifique. A touts points de vue, je suis enchanté par le conte moderne, comme pas toujours, de sa combine à englobé le temps pour en redéfinir une carte inédite et pluriels savamment époustouflante.
Suzume est un des plus beaux films que j'ai vu, voilà !
Du reste, ce qui est le plus inattendu en est sans aucun doute sa cadence. Si le démarrage carbure à plein régime, il prend à mesure le temps de se raconter, d'initier un voyage auquel on adhère, dans sa simplicité la plus sincère. Car oui franchement, cette dernière n'a au fond rien de bien incroyable, enfin si, mais plutôt de par sa manière de faire qui suscite une émotion sublime. Suzume, capte des maux de son époque, de son pays, et en livre une métaphore ou l'optimisme est seul maitre à bord. Qu'importe les deux ou trois embranchements de déjà vu ...
Je passe très vite la moulinette des références, Miyazaki et Disney entres autres pour vraiment souligné l'audace et le brio de l'animé, de son rendu, à son idée. Le message qui se boutique tire vers Mononoké, voir Le Chateau Ambulant tout comme vers La Belle et la Bête et bien d'autres, mais il se distingue toutefois une autre verve plus raccord avec un mélange des genres proche de la culture actuelle, dont bons nombres combine les forces pour de nouveaux archétypes. Voilà aussi une des raisons qui explicite l'engouement autour de Suzume.
Pour ce qu'il en est de ses personnages, ont les suit envers et contre tout. Son mic-mac autour de ce petit chat est en touts points remarquables, frustrant aussi, juste ce qu'il faut. Suzume et les autres sont quand à eux géniaux, si touchant dans le périple qui les relient, à des stades différents, que je manque vraiment de mots ...
J'ai un peu de mal à écrire d'avantage, j'y ai pensé toute la journée pourtant ( vu le film ce matin ) mais l'émotion bien trop enivrante de l'instant semble me rattrapé malgré le laps qui m'en sépare ! J'ai déjà envie de le revoir !
J'aime parfois trouvé sur mon chemin des longs-métrages qui m'éveillent, me réveillent, me bouscule. J'aime aussi comme ce dernier trouvé un réconfort, une bonhomie, un état enjôleur dans un sujet pour autant fort et magnifique. A touts points de vue, je suis enchanté par le conte moderne, comme pas toujours, de sa combine à englobé le temps pour en redéfinir une carte inédite et pluriels savamment époustouflante.
Suzume est un des plus beaux films que j'ai vu, voilà !
J'avoue qu'il était très bien , on s'attache à l'héroïne pendant tout le film , la beauté des paysages , les détails et l'histoire très bien écrite . Un très beau film d'animation japonaise qui me fait penser étrangement aux films des studios gibli que j'adore .
Makoto Shinkai continue sur la formule qui avait fait le succès de Your Name avec Suzume, mêlant une fois encore catastrophe nationale et romance adolescente. Si le récit cahote parfois (
spoiler:
le film a un peu de mal à repartir après une séquence cataclysmique à la moitié du métrage
), Suzume reste très émouvant et esthétiquement sublime.
), Suzume reste très émouvant et esthétiquement sublime.
Dès les premières minutes on est directement transportés... Véritable bijou de l'animation, c'est magnifique , coloré , poétique et émouvant. Des personnages aussi attachants que farfelus, on ne peut bouder son plaisir devant une telle œuvre.
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