Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Il y a des films qui tombent à pic. Cette ode à la pleine présence entre terre et ciel est de ceux-là.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les confidences de Jim composent un autoportrait éblouissant : un grand et simple homme.
L'Obs
par Jérôme Garcin
L’écrivain « au physique de cyclope et à la démarche de grizzly » (Busnel) y révèle une tendresse rugueuse et narquoise, qui émeut beaucoup et donne la furieuse envie de le relire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Les années passent, les paysages aussi, grandioses et inspirants. Le rythme de ce très beau film repose sur ses confidences et le tempo impérieux de la nature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Seule La Terre est éternelle , c’est la légende de Jim par lui-même et c’est l’Amérique des grands espaces : les vastes territoires de la littérature et de la nature se confondent. Les confidences de Jim composent un autoportrait éblouissant : un grand et simple homme.
Le Figaro
par D.K.
Un véritable road-trip littéraire qui, tout en parlant à notre intellect, est aussi un régal pour les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un poème qui laisse toute la place aux silences de l’écriture et des images, bien mieux qu’un long discours.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Eithne O’Neill
Fusion du road-movie, de l’autobiographie et de l’histoire de l’Amérique, ce documentaire se voit avec grand plaisir.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Parler ainsi de Harrison au présent pourra surprendre six ans après sa disparition, mais cette présence magnétique qu’il dégage, son sens de la narration, nous font oublier une issue inéluctable, qui a par ailleurs conduit le duo de réalisateurs à repenser partiellement son film.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À la façon d’un podcast lent mais puissamment imagé, une rencontre précieuse pour chacun des lecteurs, passés ou futurs.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Un film parfaitement achevé, intense et apaisé.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Du Montana à l’Arizona, Jim Harrison se livre sur sa vie d’écrivain et narre une autre Histoire de l’Amérique. S’il prend le risque d’exclure certains hermétiques, ce documentaire- hommage-testament offre un écrin filmique de choix à son narrateur vagabond.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jérémie Couston
Un œil fermé, cinq dents en moins, les mains tremblantes, Harrison pêche à la mouche, fume des American Spirit, se sert une vodka, évoque le prof de littérature qui lui fit découvrir Stendhal et Apollinaire... Mais surtout, il est fatigué de vivre et cela se sent. Expurgée de ses plans au drone et ramassée en une heure, la ballade de Jim aurait été plus digeste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Evidemment, Busnel maîtrise son sujet sur le bout des doigts. Mais que raconte t’il ou montre t’il qu’on ne sait déjà ? Et surtout quelle est la plus- value cinématographique par rapport à son travail pour la télévision. On cherche la réponse à ces questions tout au long de ce documentaire. Sans succès.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Il y a des films qui tombent à pic. Cette ode à la pleine présence entre terre et ciel est de ceux-là.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les confidences de Jim composent un autoportrait éblouissant : un grand et simple homme.
L'Obs
L’écrivain « au physique de cyclope et à la démarche de grizzly » (Busnel) y révèle une tendresse rugueuse et narquoise, qui émeut beaucoup et donne la furieuse envie de le relire.
La Croix
Les années passent, les paysages aussi, grandioses et inspirants. Le rythme de ce très beau film repose sur ses confidences et le tempo impérieux de la nature.
Le Dauphiné Libéré
Seule La Terre est éternelle , c’est la légende de Jim par lui-même et c’est l’Amérique des grands espaces : les vastes territoires de la littérature et de la nature se confondent. Les confidences de Jim composent un autoportrait éblouissant : un grand et simple homme.
Le Figaro
Un véritable road-trip littéraire qui, tout en parlant à notre intellect, est aussi un régal pour les yeux.
Le Parisien
Un poème qui laisse toute la place aux silences de l’écriture et des images, bien mieux qu’un long discours.
Positif
Fusion du road-movie, de l’autobiographie et de l’histoire de l’Amérique, ce documentaire se voit avec grand plaisir.
Rolling Stone
Parler ainsi de Harrison au présent pourra surprendre six ans après sa disparition, mais cette présence magnétique qu’il dégage, son sens de la narration, nous font oublier une issue inéluctable, qui a par ailleurs conduit le duo de réalisateurs à repenser partiellement son film.
Le Journal du Dimanche
À la façon d’un podcast lent mais puissamment imagé, une rencontre précieuse pour chacun des lecteurs, passés ou futurs.
Le Monde
Un film parfaitement achevé, intense et apaisé.
Les Fiches du Cinéma
Du Montana à l’Arizona, Jim Harrison se livre sur sa vie d’écrivain et narre une autre Histoire de l’Amérique. S’il prend le risque d’exclure certains hermétiques, ce documentaire- hommage-testament offre un écrin filmique de choix à son narrateur vagabond.
Télérama
Un œil fermé, cinq dents en moins, les mains tremblantes, Harrison pêche à la mouche, fume des American Spirit, se sert une vodka, évoque le prof de littérature qui lui fit découvrir Stendhal et Apollinaire... Mais surtout, il est fatigué de vivre et cela se sent. Expurgée de ses plans au drone et ramassée en une heure, la ballade de Jim aurait été plus digeste.
Première
Evidemment, Busnel maîtrise son sujet sur le bout des doigts. Mais que raconte t’il ou montre t’il qu’on ne sait déjà ? Et surtout quelle est la plus- value cinématographique par rapport à son travail pour la télévision. On cherche la réponse à ces questions tout au long de ce documentaire. Sans succès.