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Votre avis sur Un métier sérieux ?
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Décevant, tout est effleuré : les personnages, leurs histoires... On reste sur notre faim et le film se termine soudainement. Il y avait tellement mieux à faire ! Je m'attendais à quelque chose du type de la série "Hypocrate", on en est loin.
Les acteurs sont particulièrement convaincants dans ce nouveau film de Thomas Lilti. Si tout fonctionne, que le récit se déroule sans accroc, il y a peu d’enjeux et de tension. Le film perd donc beaucoup en intérêt au fil de la première demi-heure. On retrouve le style et la forme habituelle des films de Lilti, mais la sauce a du mal à prendre ou du moins à avoir du goût. Sans être une déception, ce nouveau film est en dessous de l’excellent PREMIERE ANNEE réalisé trois ans plus tôt.
Ce film nous présente certes un panel d'acteurs exceptionnels ... mais est-ce suffisant pour en faire un bon film ?
Il n'y avait aucun fil directeur ... juste une succession d'événements anecdotiques ... quelquefois assez dramatiques d'ailleurs. Le film est une parfaite illustration de son titre et démontre bien que c'est "un métier sérieux" !
J'ai été professeure et il m'est arrivé de rencontrer des enseignants qui font preuve d'originalité... ou des personnalités atypiques, mais on n'en voit aucun dans ce film et les courtes scènes illustrant les cours de ces professeurs sont d'une banalité affligeante.
En prime nous avons la scène avec l'inspectrice de l'Education Nationale qui frise la caricature.
Pour résumer j'ai été très déçue par ce film qui n'explore pas suffisamment la diversité et la richesse d'un métier, certes difficile, mais passionnant !
Il n'y avait aucun fil directeur ... juste une succession d'événements anecdotiques ... quelquefois assez dramatiques d'ailleurs. Le film est une parfaite illustration de son titre et démontre bien que c'est "un métier sérieux" !
J'ai été professeure et il m'est arrivé de rencontrer des enseignants qui font preuve d'originalité... ou des personnalités atypiques, mais on n'en voit aucun dans ce film et les courtes scènes illustrant les cours de ces professeurs sont d'une banalité affligeante.
En prime nous avons la scène avec l'inspectrice de l'Education Nationale qui frise la caricature.
Pour résumer j'ai été très déçue par ce film qui n'explore pas suffisamment la diversité et la richesse d'un métier, certes difficile, mais passionnant !
Belle analyse du monde des professeurs dans le milieu scolaire et les moyens donné afin d'aider nos jeunes. Juste un manque d'explication sur l'expérience d'une des professeur face à son rapport conflictuel avec son fils. Clavier est génial ainsi que Lacoste
le film "UN METIER SERIEUX" excellent film qui retrace toutes les difficultés rencontrés dans un lycée entre les professeurs et les élèves très bien exposées dans le cadre d'une année scolaire exploités en profondeurs avec finesses et naturel les deux heures de ce film passent trop vite, une réussite totale très réaliste qui explique clairement les problématiques lycéennes et nous fait comprendre clairement ce qui s'y passe de nos jours film tres humain et traité avec rigueur dans un souci de clarté
UN FILM NOTOIRE D'EXCEPTION !
MACK.
UN FILM NOTOIRE D'EXCEPTION !
MACK.
Thomas Lilti dépeint, au travers d'une œuvre sociétale le métier de professeur. Pour cela il retrace le cours d'une année scolaire d'un groupe de profs dans un collège de la banlieue parisienne.
Le réalisateur réussit à peindre une toile cinématographique sensible qui dépeint avec une grande sensibilité un métier mal aimé mal payé mais gratifiant d'un point de vue moral.
On ressent bien que le réalisateur dénonce aussi par ce biais la détresse psychique des membres du corps professoral qui tiennent à bout de bras un système éducatif en perdition.
Une réussite.
Le réalisateur réussit à peindre une toile cinématographique sensible qui dépeint avec une grande sensibilité un métier mal aimé mal payé mais gratifiant d'un point de vue moral.
On ressent bien que le réalisateur dénonce aussi par ce biais la détresse psychique des membres du corps professoral qui tiennent à bout de bras un système éducatif en perdition.
Une réussite.
Après HYPOCRATE un très beau film sur les urgences.
Voici un film sur le profs de lycée.
Personnages peu attachant et ambiance vraiment morose.
Un film entrecoupé de scénette inachevées sans intérêts et qui ne mène à rien.
Une belle déception pour un film qui promettait ....
Dommage.
Voici un film sur le profs de lycée.
Personnages peu attachant et ambiance vraiment morose.
Un film entrecoupé de scénette inachevées sans intérêts et qui ne mène à rien.
Une belle déception pour un film qui promettait ....
Dommage.
Un bon moment. Certes ce n'est pas franchement original, ni sur son propos si sur sa forme, mais le film est finement écrit et interprêté. Sans doute un peu "gentillet" diront les intéressés... mais ça fait du bien aussi d'éviter de basculer dans une plongée sombre et désespérée. On a grand besoin de positiver, c'est ce que tente de faire le réalisateur.
Plus une succession de scènes inégales qu un vrai scénario. On y croit par moments mais certains profs sont trop caricaturaux et pourquoi esquisser le background familial des personnes si succinctement. Pas très utile. Un film qui se voit comme il s oublie.
Un métier sérieux est une plongée réaliste, forte, intimiste dans le métier d'enseignant où on découvre les joies, les partages, mais aussi les problématiques et les complications. Le point fort reste tout de même l'équipe d'acteurs qui nous montre une unité du corps enseignant.
(...) En limitant au maximum les effets dramatiques, Lilti semble faire sienne l’approche bazinienne du réalisme. Même s’il n’occulte pas les nombreux disfonctionnements qui frappent l’institution scolaire, il ne cherche pas à poser un regard politique et engagé. En revanche, il adopte un ton résolument optimiste, notamment en montrant la solidarité qui peut régner entre profs.
Le film aussi est très juste dans sa représentation des altercations entre professeur et élève : cette manière dont les choses dégénèrent de façon imprévisible et brutale ; l’exaspération qui peut mener au mot de trop puis à l’explosion. (...)
La construction du film en forme de mosaïque est la force et la limite du film. S’il atteint une justesse rare, il ne dépasse pas vraiment le stade de la chronique. Mais on préfère allègrement une chronique de cette qualité qu’un drame aux effets appuyés.
La critique complète du Huzar sur le toit : https://lehuzarsurletoit.substack.com/p/un-metier-serieux-une-approche-realiste
Le film aussi est très juste dans sa représentation des altercations entre professeur et élève : cette manière dont les choses dégénèrent de façon imprévisible et brutale ; l’exaspération qui peut mener au mot de trop puis à l’explosion. (...)
La construction du film en forme de mosaïque est la force et la limite du film. S’il atteint une justesse rare, il ne dépasse pas vraiment le stade de la chronique. Mais on préfère allègrement une chronique de cette qualité qu’un drame aux effets appuyés.
La critique complète du Huzar sur le toit : https://lehuzarsurletoit.substack.com/p/un-metier-serieux-une-approche-realiste
Film juste concernant les profs aux vies privées touchées par un métier exigeant.
Nous avons une idée de leur histoire personnelle et suivons leur chaleureuse existence en groupe dans un collège qui n’est pas réduit en machine à reproduction sociale devenu le B.A. BA du discours obligé contre l’Education Nationale.
Il s’agit d’un hommage à des consciences professionnelles ordinaires et non à d’exceptionnelles personnalités, pas plus qu’à de caricaturaux spécimens souvent sujets à railleries cinématographiques.
Vincent Lacoste, François Cluzet, Louise Bourgoin, Adèle Exarchopoulos et quelques ados sont excellents sous les ordres d’un réalisateur humaniste qui a déjà ausculté le monde médical
https://blog-de-guy.blogspot.com/2014/09/hippocrate-thomas-lilti.html .
Les fenêtres qui ferment mal, les alertes, le conseil de discipline, tant de notations fines évoquent sans s’appesantir le « pas de vague » ou comment placer les limites, mais aussi comment intéresser les élèves. Un film sérieux non dépourvu d’humour.
qui peut accueillir au bout d’une heure quarante, la chanson de Francis Lemarque :
« Le Temps du muguet ne dure jamais
Plus longtemps que le mois de mai
Quand tous ses bouquets déjà seront fanés
Pour nous deux, rien n'aura changé
Aussi belle qu'avant
Notre chanson d'amour
Chantera comme au premier jour »
Nous avons une idée de leur histoire personnelle et suivons leur chaleureuse existence en groupe dans un collège qui n’est pas réduit en machine à reproduction sociale devenu le B.A. BA du discours obligé contre l’Education Nationale.
Il s’agit d’un hommage à des consciences professionnelles ordinaires et non à d’exceptionnelles personnalités, pas plus qu’à de caricaturaux spécimens souvent sujets à railleries cinématographiques.
Vincent Lacoste, François Cluzet, Louise Bourgoin, Adèle Exarchopoulos et quelques ados sont excellents sous les ordres d’un réalisateur humaniste qui a déjà ausculté le monde médical
https://blog-de-guy.blogspot.com/2014/09/hippocrate-thomas-lilti.html .
Les fenêtres qui ferment mal, les alertes, le conseil de discipline, tant de notations fines évoquent sans s’appesantir le « pas de vague » ou comment placer les limites, mais aussi comment intéresser les élèves. Un film sérieux non dépourvu d’humour.
qui peut accueillir au bout d’une heure quarante, la chanson de Francis Lemarque :
« Le Temps du muguet ne dure jamais
Plus longtemps que le mois de mai
Quand tous ses bouquets déjà seront fanés
Pour nous deux, rien n'aura changé
Aussi belle qu'avant
Notre chanson d'amour
Chantera comme au premier jour »
Parfait. la bonne vision de l'éducation via des acteurs et actrices parfaits ! Louise Bourgoin est magistrale ! tout le monde joue juste et on se laisse embarquer dans un moment de vie scolaire qui ressemble à celui.. d'il y a 30 ans ! et qui n'a finalement pas si changé que cela ! Mon conseil : foncez !
Des personnages attachant interprété par un casting de qualité et quelques scènes chocs, c’est surtout ce qu’on retiendra de ce film un peu trop lisse, qui survole des thèmes d’actualité pertinents mais sans y plonger réellement comme par crainte. Un peu plus d’audace eut été salutaire.
Thomas Lilti réussit mieux ses plongées dans le monde médical que dans l'enseignement. Je suis très partagée car on assiste ici à une succession de saynètes sans réels moments forts (à part peut-être le conseil de discipline et la chanson du générique de fin). Les acteurs sont très bien, Louise Bourgoin et François Cluzet en tête, mais cela ne sauve pas ce film décousu, qui est plus une chronique, un journal, qu'un véritable film.
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