Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
À travers des personnages très attachants, Thomas Lilti livre un magnifique hommage au métier de professeur de collège et un très beau film, très rythmé, drôle et plein d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Fuyant toute binarité, "Un métier sérieux" jouit une nouvelle fois du talent de Thomas Lilti pour la nuance. Sa peinture de l’Éducation nationale n’est pas sans espoir, mais elle adapte sa mise en scène à un système au bout du rouleau, et à un engagement social des professeurs bien trop pris pour acquis. Un film essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
En croquant les petits moments du quotidien, les incongruités du système mais aussi les grands enjeux de ce lieu d'apprentissage, Thomas Lilti réussit dans un savant mélange de drôlerie et de gravité, avec un casting de rêve, un portrait juste de ce "métier sérieux", souvent méprisé ou montré au cinéma de manière caricaturale.
Ce sont notamment Pierre (François Cluzet), Meriem (Adèle Exarchopoulos), Fouad (William Lebghil) et Sandrine (Louise Bourgoin). Parfois, ils éprouvent des doutes, font des erreurs, sont sujets à la lassitude, mais c’est toujours la passion de transmettre qui l’emporte. « Un métier sérieux », où les enseignants paraissent les cousins des soignants, aurait dû s’intituler « Un beau sacerdoce ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Avec une douceur, un humour et une tendresse qui ne rime jamais avec mièvrerie, Thomas Lilti donne avant tout à voir des professeurs qui, malgré les entraves et des conditions d'exercice parfois déplorables, aiment passionnément leur métier.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Pleine d’humanité et d’une tendresse inattendue, cette comédie chorale nous fait vivre, entre légèreté et gravité, le quotidien d’une équipe d’enseignants soudés par l’amitié [...].
Les hauts, les bas, mais surtout beaucoup de hauts pour une bande de professeurs dans un collège de la région parisienne. Une nouvelle fois, Thomas Lilti confirme son grand talent de metteur en scène des métiers de l’humain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Thomas Lilti signe un portrait de groupe juste, où il aborde les difficultés du métier sur fond de dégradation budgétaire. Sage, sa chronique douce-amère d’une année scolaire balaie les coups de blues, les grands bonheurs et les dérapages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dans ce film grand public juste et sensible, on retrouve Vincent Lacoste en contractuel projeté pour la première fois sur l’estrade d’une classe de mathématiques, François Cluzet en vieux briscard de l’histoire-géo, William Lebghil en prof d’anglais décontracté, Louise Bourgoin en prof de physique-chimie inflexible…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le réalisateur signe un film choral, avec Vincent Lacoste, François Cluzet et Adèle Exarchopoulos, sur le corps enseignant d’un collège, qui ne décolle vraiment que grâce aux élèves.
La critique complète est disponible sur le site Libération
D’abord médecin puis cinéaste qui a quand même réalisé trois films autour du milieu médical (dont « Hippocrate »), Thomas Lilti change de crèmerie. Nanti d’un casting solide, il nous raconte les états d’âme d’un groupe d’enseignants en collège. Épreuve correctement réalisée, mais sans surprises.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
On retrouve la volonté [de Thomas Lilti] de saisir le réel avec une humanité louable, toujours au plus proche de personnages attachants incarnés par une troupe d’acteurs talentueux et à succès, ainsi qu’un mélange de légèreté et de gravité. Mais "Un métier sérieux" peine à dissiper l’impression de déjà-vu.
Hippocrate à l’école, ou la façon, très sympathique au demeurant, mais mécanique et déconnectée du réel, qu’a Thomas Lilti d’envisager la fonction publique.
Carré, très efficace, Un métier sérieux mêle la légèreté et la gravité de façon très programmatique. La copie est tellement propre et prévisible qu'elle finit par donner une impression de superficialité.
La critique complète est disponible sur le site Première
[...] les petits soucis domestiques de chaque enseignant gomment peu à peu le trajet initiatique de Benjamin. La solidarité entre collègues, clef de voûte de cette chronique globalement optimiste, supplante finalement toute tentative de capter ce qui est censé, après tout, faire le sérieux du “métier” : la transmission.
Une forme de domestication de la société par le trope, presque par le mignon, qui prétend s’intéresser à ses problèmes, mais évoque surtout un certain type de publicités pour œuvres sociales reconverties dans le capitalisme : assurément humain, banque et populaire à la fois.
Le Parisien
À travers des personnages très attachants, Thomas Lilti livre un magnifique hommage au métier de professeur de collège et un très beau film, très rythmé, drôle et plein d’humanité.
20 Minutes
Le film est marqué par le mélange d’humour et de tendresse qui font le charme du travail de Thomas Lilti.
CNews
Une comédie dramatique pleine d’humanité sur les défis d’une profession fragilisée, que le cinéaste affectionne depuis longtemps.
CinemaTeaser
Elliptique, politique et émouvant. On avait jamais filmé les profs comme ça.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Bienveillant et compatissant.
Ecran Large
Fuyant toute binarité, "Un métier sérieux" jouit une nouvelle fois du talent de Thomas Lilti pour la nuance. Sa peinture de l’Éducation nationale n’est pas sans espoir, mais elle adapte sa mise en scène à un système au bout du rouleau, et à un engagement social des professeurs bien trop pris pour acquis. Un film essentiel.
Elle
Une galerie de portraits touchants et souvent drôles.
Femme Actuelle
Tantôt drôle ou inquiétant... Mais toujours juste.
Franceinfo Culture
En croquant les petits moments du quotidien, les incongruités du système mais aussi les grands enjeux de ce lieu d'apprentissage, Thomas Lilti réussit dans un savant mélange de drôlerie et de gravité, avec un casting de rêve, un portrait juste de ce "métier sérieux", souvent méprisé ou montré au cinéma de manière caricaturale.
GQ
Le film trouve un équilibre entre moments de touchante camaraderie et crises étrangement banales dans la vie d'un professeur.
L'Humanité
Un film qui fait du bien.
L'Obs
Ce sont notamment Pierre (François Cluzet), Meriem (Adèle Exarchopoulos), Fouad (William Lebghil) et Sandrine (Louise Bourgoin). Parfois, ils éprouvent des doutes, font des erreurs, sont sujets à la lassitude, mais c’est toujours la passion de transmettre qui l’emporte. « Un métier sérieux », où les enseignants paraissent les cousins des soignants, aurait dû s’intituler « Un beau sacerdoce ».
Le Dauphiné Libéré
Même lisse, sage, cette manière de renvoyer sans leçon le mépris ordinaire à l’égard des profs, a une certaine classe.
Le Figaro
Dans son nouveau film plein de notes faussement anodines, le cinéaste évite les clichés et touche juste.
Le Point
Le réalisateur a l’art de saisir aussi le tourbillon d’une année scolaire, de la rentrée de septembre aux vacances d’été. Un beau film.
Les Echos
Avec une douceur, un humour et une tendresse qui ne rime jamais avec mièvrerie, Thomas Lilti donne avant tout à voir des professeurs qui, malgré les entraves et des conditions d'exercice parfois déplorables, aiment passionnément leur métier.
Marianne
Résultat : un film qui dit non à la sinistrose ambiante et honore, avec une grande délicatesse, les petits soldats de la transmission du savoir.
Ouest France
Après les soignants, cette incursion dans le monde des enseignants est tout aussi profondément humaine.
Paris Match
Un savant mélange de réalisme et de romanesque. Un art précis et populaire, qui offre à ses acteurs des personnages sans clichés.
Positif
Un film attachant par ses situations et l’implication de ses acteurs.
Télé 2 semaines
Thomas Lilti signe un film superbe et dévoile un Vincent Lacoste touchant en enseignant d'abord timoré, auquel il est difficile de ne pas s'attacher.
Télé 7 Jours
Pleine d’humanité et d’une tendresse inattendue, cette comédie chorale nous fait vivre, entre légèreté et gravité, le quotidien d’une équipe d’enseignants soudés par l’amitié [...].
Télé Loisirs
Après notamment "Hippocrate" et "Première année", le réalisateur Thomas Lilti signe cette fois encore un film superbe.
Voici
Si l'histoire manque un peu d’enjeux, son écriture des personnages est toujours aussi affûtée et réaliste.
aVoir-aLire.com
Les hauts, les bas, mais surtout beaucoup de hauts pour une bande de professeurs dans un collège de la région parisienne. Une nouvelle fois, Thomas Lilti confirme son grand talent de metteur en scène des métiers de l’humain.
La Croix
Thomas Lilti signe un portrait de groupe juste, où il aborde les difficultés du métier sur fond de dégradation budgétaire. Sage, sa chronique douce-amère d’une année scolaire balaie les coups de blues, les grands bonheurs et les dérapages.
Le Monde
Dans ce film grand public juste et sensible, on retrouve Vincent Lacoste en contractuel projeté pour la première fois sur l’estrade d’une classe de mathématiques, François Cluzet en vieux briscard de l’histoire-géo, William Lebghil en prof d’anglais décontracté, Louise Bourgoin en prof de physique-chimie inflexible…
Libération
Le réalisateur signe un film choral, avec Vincent Lacoste, François Cluzet et Adèle Exarchopoulos, sur le corps enseignant d’un collège, qui ne décolle vraiment que grâce aux élèves.
Critikat.com
Le film prend rapidement la forme d'une succession d’anecdotes et d'un amas de témoignages assez proches de l’idée que se fait quiconque du métier.
La Voix du Nord
D’abord médecin puis cinéaste qui a quand même réalisé trois films autour du milieu médical (dont « Hippocrate »), Thomas Lilti change de crèmerie. Nanti d’un casting solide, il nous raconte les états d’âme d’un groupe d’enseignants en collège. Épreuve correctement réalisée, mais sans surprises.
Le Journal du Dimanche
On retrouve la volonté [de Thomas Lilti] de saisir le réel avec une humanité louable, toujours au plus proche de personnages attachants incarnés par une troupe d’acteurs talentueux et à succès, ainsi qu’un mélange de légèreté et de gravité. Mais "Un métier sérieux" peine à dissiper l’impression de déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
Hippocrate à l’école, ou la façon, très sympathique au demeurant, mais mécanique et déconnectée du réel, qu’a Thomas Lilti d’envisager la fonction publique.
Première
Carré, très efficace, Un métier sérieux mêle la légèreté et la gravité de façon très programmatique. La copie est tellement propre et prévisible qu'elle finit par donner une impression de superficialité.
Cahiers du Cinéma
[...] les petits soucis domestiques de chaque enseignant gomment peu à peu le trajet initiatique de Benjamin. La solidarité entre collègues, clef de voûte de cette chronique globalement optimiste, supplante finalement toute tentative de capter ce qui est censé, après tout, faire le sérieux du “métier” : la transmission.
Les Inrockuptibles
Une forme de domestication de la société par le trope, presque par le mignon, qui prétend s’intéresser à ses problèmes, mais évoque surtout un certain type de publicités pour œuvres sociales reconverties dans le capitalisme : assurément humain, banque et populaire à la fois.