Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une histoire incroyable, très visuelle. Doublée d’un message sur notre rapport à la nature et ses dangers. Voilà un film unique et malicieux, d’une beauté et d’une force inouïes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dans Fire of love , Katia et Maurice Krafft sont les héros d’un grand récit d’aventure, explorateurs vaillants dansant sur des volcans qu’on dirait venus d’une autre planète. Fire of love a la dimension épique d’une science-fiction dont ils seraient les personnages extraterrestres. Les diables des volcans étaient des héros.
A partir d'archives stupéfiantes, la documentariste Sara Dosa retrace le destin de Katia et Maurice Krafft, couple de volcanologues star des années 1980. « Fire of love » est un film tendre mais brutal qui nous renvoie aux origines de la terre et nous invite à réinterpréter le mythe d'Icare.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Bien que s’attardant plus sur la relation entre les deux chercheurs que sur la composition exacte d’une coulée pyroclastique, ce sublime docu réussit l’exploit de contourner les analogies volcan/passion et autres images faciles. L’exploit aussi de trouver le point d’équilibre entre images monumentales et microdétails humains, de transmettre à l’image ce que ces deux passionnés voyaient dans les volcans [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Des images souvent impressionnantes, au plus près des monstres en ébullition, qui traduisent à la fois leur tempérament audacieux – Maurice Krafft explorant un lac d’acide sur un bateau pneumatique – et leur passion brûlante.
La documentariste américaine Sara Dosa est partie des centaines d’heures de leurs films - ils se filmaient tout le temps, c’était leur gagne-pain - pour composer un opéra à la gloire de la « terre vivante », comme ils disent, et d’un couple alsacien atypique, drolatique, dont la première expédition en Islande a été réalisée en 4L.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les images, d’une beauté foudroyante, sont accompagnées par la voix veloutée de la cinéaste indé Miranda July (Moi, toi et tous les autres, Kajillionaire ), qui murmure un texte à la poésie feutrée, alternant entre précisions biographiques et méditations philosophiques sur l’amour, le temps, et les mystères insondables qui bouillonnent sous l’écorce du monde.
Depuis notre fauteuil, nous pouvons contempler trente ou quarante ans après les vagues de lave qui éclaboussent, les montagnes qui explosent comme des bombes H et nous dévalent dessus, en trouvant ça d’une beauté sublime.
La critique complète est disponible sur le site Première
[...] ce n’est pas tant la passion commune de ce couple strombolique ni l’auto-mise en scène de sa relation ‘‘volcanique’’ qui fait mouche, mais plutôt le matériau brut qu’elle (avec son appareil photo) et lui (avec sa caméra) ont emmagasiné dans les années 70-80.
"Fire of Love" frappe par son pouvoir immersif (...) mais également par son propos véritable, le but premier de Sara Dosa n’étant pas de réaliser un plaidoyer écologiste ou un film sur les volcans mais avant tout une prodigieuse histoire d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Lave incandescente, fumées grises, les images tournées au mépris du danger constituent tout l’intérêt de Fire of Love, lequel fait écho à des films de Werner Herzog – La Soufrière (1977) et Au fin fond de la fournaise (2016). Mais la fâcheuse tendance de la réalisatrice à ramener sans cesse sur le terrain leur idylle agace et rétrécit le propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
Une histoire incroyable, très visuelle. Doublée d’un message sur notre rapport à la nature et ses dangers. Voilà un film unique et malicieux, d’une beauté et d’une force inouïes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans Fire of love , Katia et Maurice Krafft sont les héros d’un grand récit d’aventure, explorateurs vaillants dansant sur des volcans qu’on dirait venus d’une autre planète. Fire of love a la dimension épique d’une science-fiction dont ils seraient les personnages extraterrestres. Les diables des volcans étaient des héros.
Le Dauphiné Libéré
Un grand récit d’aventure.
Les Echos
A partir d'archives stupéfiantes, la documentariste Sara Dosa retrace le destin de Katia et Maurice Krafft, couple de volcanologues star des années 1980. « Fire of love » est un film tendre mais brutal qui nous renvoie aux origines de la terre et nous invite à réinterpréter le mythe d'Icare.
Libération
Bien que s’attardant plus sur la relation entre les deux chercheurs que sur la composition exacte d’une coulée pyroclastique, ce sublime docu réussit l’exploit de contourner les analogies volcan/passion et autres images faciles. L’exploit aussi de trouver le point d’équilibre entre images monumentales et microdétails humains, de transmettre à l’image ce que ces deux passionnés voyaient dans les volcans [...].
Ouest France
Une histoire touchante.
CinemaTeaser
Du point de vue, de la pédagogie, et de la poésie : splendide de bout en bout.
Le Journal du Dimanche
Des images souvent impressionnantes, au plus près des monstres en ébullition, qui traduisent à la fois leur tempérament audacieux – Maurice Krafft explorant un lac d’acide sur un bateau pneumatique – et leur passion brûlante.
Le Parisien
La documentariste américaine Sara Dosa est partie des centaines d’heures de leurs films - ils se filmaient tout le temps, c’était leur gagne-pain - pour composer un opéra à la gloire de la « terre vivante », comme ils disent, et d’un couple alsacien atypique, drolatique, dont la première expédition en Islande a été réalisée en 4L.
Les Inrockuptibles
Les images, d’une beauté foudroyante, sont accompagnées par la voix veloutée de la cinéaste indé Miranda July (Moi, toi et tous les autres, Kajillionaire ), qui murmure un texte à la poésie feutrée, alternant entre précisions biographiques et méditations philosophiques sur l’amour, le temps, et les mystères insondables qui bouillonnent sous l’écorce du monde.
Première
Depuis notre fauteuil, nous pouvons contempler trente ou quarante ans après les vagues de lave qui éclaboussent, les montagnes qui explosent comme des bombes H et nous dévalent dessus, en trouvant ça d’une beauté sublime.
Télérama
Quelle flamme animait Katia et Maurice Krafft, intrépides vulcanologues ? Réponse dans une enquête captivante, menée à partir de leurs archives.
Cahiers du Cinéma
[...] ce n’est pas tant la passion commune de ce couple strombolique ni l’auto-mise en scène de sa relation ‘‘volcanique’’ qui fait mouche, mais plutôt le matériau brut qu’elle (avec son appareil photo) et lui (avec sa caméra) ont emmagasiné dans les années 70-80.
Critikat.com
Ludique, le montage travaille des associations parfois un peu évidentes, mais qui n’en déclinent pas moins un ensemble d'émotions plurielles.
Culturopoing.com
"Fire of Love" frappe par son pouvoir immersif (...) mais également par son propos véritable, le but premier de Sara Dosa n’étant pas de réaliser un plaidoyer écologiste ou un film sur les volcans mais avant tout une prodigieuse histoire d’amour.
Le Monde
Lave incandescente, fumées grises, les images tournées au mépris du danger constituent tout l’intérêt de Fire of Love, lequel fait écho à des films de Werner Herzog – La Soufrière (1977) et Au fin fond de la fournaise (2016). Mais la fâcheuse tendance de la réalisatrice à ramener sans cesse sur le terrain leur idylle agace et rétrécit le propos.