Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un époustouflant survival urbain qui fait d'un vrai gentil le martyr de ce monde.
Ecran Large
par Antoine Desrues
La Nuit se traîne est l’exemple parfait du thriller ramassé et efficace, qui profite de sa course-poursuite ininterrompue pour y projeter ses inquiétudes politiques. Un coup d’essai encourageant pour Michiel Blanchart.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Un thriller coup de poing qui ne vous laisse pas une seconde de répit jusqu'à son générique final.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un thriller prometteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’action.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par La rédaction
(...) un Bruxelles nocturne d'une effrayante nervosité, alliant discours politique et pur film de genre, rappelant par moment les frères Safdie ou le Drive de Nicolas Winding Refn.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film qui aurait pu être plus politique ? Sans doute. Mais nous avons adhéré à l’option série B pure et dure, divertissante et haletante, qui ose même un clin d’œil final à l’épilogue romanesque de L’Impasse, le chef-d’œuvre de Brian de Palma.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Michel Valentin
Récompensé du prix du public au dernier Biarritz Film Festival, La Nuit se traîne, référence à une chanson de Petula Clark, semble augurer du meilleur avenir de Michiel Blanchart.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Michiel Blanchart épate avec son film à la mise en scène fiévreuse sur les galères d’un serrurier dans un Bruxelles secoué par les manifestations.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par V.M.
Outre sa maîtrise technique parfois décapante, La Nuit se traîne repose sur un enchaînement frénétique de situations témoignant d'une grande fluidité d'écriture.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Entre pénombres et lumières de la nuit, violence assumée et contexte social brûlant, c’est un premier long-métrage qui tient en haleine de la première à la dernière seconde que signe ici son réalisateur belge, où les courses-poursuites s’enchaînent à foison et où on aura tout loisir de deviner une référence cinématographique ou l’autre dans telle ou telle scène, à l’instar de ce final dans la gare du Nord de Bruxelles.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Un thriller dont le récit, palpitant, arpente la capitale belge, filmée avec une énergie et une noirceur digne du meilleur du cinéma américain. À voir absolument.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Unité de temps, de lieu et courses-poursuites haletantes : un polar poisseux où Romain Duris est glaçant en chef de gang.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Un thriller dont le récit, palpitant, arpente la capitale belge, filmée avec une énergie et une noirceur dignes du meilleur du cinéma américain. À voir absolument.
Voici
par V.C.
Un roller coaster immersif qui, à travers son ancrage sociétal, fait résonner sa forme nerveuse avec une époque à bout de nerfs.
Le Figaro
par E.S.
À pied ou à vélo, la course-poursuite mise en scène par Michiel Blanchart ne manque pas de rythme. La fin est convenue, trop prévisible, mais ne gâche pas le plaisir pris à la vision de ce polar nocturne saupoudré de Black Live Matters.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur connaît ses classiques et témoigne d’une indéniable maîtrise. Il livre un thriller haletant où la ville elle-même est un personnage. Un film d’action nocturne qui n’a pas d’autre prétention que de divertir, ce qu’il fait très bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Premier film intéressant, au rythme tenu, La Nuit se traîne se sert de son unité de temps pour tenir le spectateur en haleine avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Le point de départ d'un thriller efficace au fil d'une course-poursuite haletante dans Bruxelles, mais qui se perd dès lors qu'il s'aventure sur le terrain sociétal, dans sa manière d'intégrer les manifs du mouvement Black Lives Matter dans son récit.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un thriller mené tambour battant avec un comédien dans le rôle du jeune serrurier piégé, Jonathan Feltre, à suivre assurément.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Symptôme classique : le contexte sociologique est dessiné par le scénario comme s’il devait compenser le fait de n’engendrer « que » du suspense (pourquoi s’en excuser ?), et les portes trompeuses ouvrent sur des enfers un peu trop polis, où les problèmes contemporains sont noyés dans une nuit de cauchemars joliment photographiés – mais déconnectés des angoisses du jour.
Le Monde
par M. Jo.
Malgré un savoir-faire indéniable dans la scène d’action, on ressort perplexe de cet exercice de style très appliqué qui s’épuise à imiter et enferme ses acteurs dans un jeu de rôles "à l’américaine" qui assèche leur présence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
À trop courir sans se retourner, La nuit se traîne perd en substance. Le recours à l’utilisation d’éléments ultra violents ne s’affranchit jamais d’une fonction purement décorative.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Si la mise en scène se révèle d’une redoutable efficacité et offre des poursuites de qualité dans les rues bruxelloises, la faible caractérisation des personnages et de l’arrière-plan politique laisse au spectacle un vrai goût d’inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film déçoit pourtant : trop écrit, avec son scénario fignolé comme une belle mécanique, il n’arrive pas à trouver son souffle et reste un exercice souvent artificiel. C’est dommage pour le jeune acteur Jonathan Feltre, qui a du panache, comme pour Romain Duris, étonnant en gangster patibulaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Un époustouflant survival urbain qui fait d'un vrai gentil le martyr de ce monde.
Ecran Large
La Nuit se traîne est l’exemple parfait du thriller ramassé et efficace, qui profite de sa course-poursuite ininterrompue pour y projeter ses inquiétudes politiques. Un coup d’essai encourageant pour Michiel Blanchart.
Filmsactu
Un thriller coup de poing qui ne vous laisse pas une seconde de répit jusqu'à son générique final.
L'Obs
Un thriller prometteur qui maîtrise parfaitement les codes du cinéma d’action.
La Septième Obsession
(...) un Bruxelles nocturne d'une effrayante nervosité, alliant discours politique et pur film de genre, rappelant par moment les frères Safdie ou le Drive de Nicolas Winding Refn.
La Voix du Nord
Un film qui aurait pu être plus politique ? Sans doute. Mais nous avons adhéré à l’option série B pure et dure, divertissante et haletante, qui ose même un clin d’œil final à l’épilogue romanesque de L’Impasse, le chef-d’œuvre de Brian de Palma.
Le Parisien
Récompensé du prix du public au dernier Biarritz Film Festival, La Nuit se traîne, référence à une chanson de Petula Clark, semble augurer du meilleur avenir de Michiel Blanchart.
Libération
Michiel Blanchart épate avec son film à la mise en scène fiévreuse sur les galères d’un serrurier dans un Bruxelles secoué par les manifestations.
Mad Movies
Outre sa maîtrise technique parfois décapante, La Nuit se traîne repose sur un enchaînement frénétique de situations témoignant d'une grande fluidité d'écriture.
Rolling Stone
Entre pénombres et lumières de la nuit, violence assumée et contexte social brûlant, c’est un premier long-métrage qui tient en haleine de la première à la dernière seconde que signe ici son réalisateur belge, où les courses-poursuites s’enchaînent à foison et où on aura tout loisir de deviner une référence cinématographique ou l’autre dans telle ou telle scène, à l’instar de ce final dans la gare du Nord de Bruxelles.
Télé 2 semaines
Un thriller dont le récit, palpitant, arpente la capitale belge, filmée avec une énergie et une noirceur digne du meilleur du cinéma américain. À voir absolument.
Télé 7 Jours
Unité de temps, de lieu et courses-poursuites haletantes : un polar poisseux où Romain Duris est glaçant en chef de gang.
Télé Loisirs
Un thriller dont le récit, palpitant, arpente la capitale belge, filmée avec une énergie et une noirceur dignes du meilleur du cinéma américain. À voir absolument.
Voici
Un roller coaster immersif qui, à travers son ancrage sociétal, fait résonner sa forme nerveuse avec une époque à bout de nerfs.
Le Figaro
À pied ou à vélo, la course-poursuite mise en scène par Michiel Blanchart ne manque pas de rythme. La fin est convenue, trop prévisible, mais ne gâche pas le plaisir pris à la vision de ce polar nocturne saupoudré de Black Live Matters.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur connaît ses classiques et témoigne d’une indéniable maîtrise. Il livre un thriller haletant où la ville elle-même est un personnage. Un film d’action nocturne qui n’a pas d’autre prétention que de divertir, ce qu’il fait très bien.
Les Fiches du Cinéma
Premier film intéressant, au rythme tenu, La Nuit se traîne se sert de son unité de temps pour tenir le spectateur en haleine avec brio.
Ouest France
Le point de départ d'un thriller efficace au fil d'une course-poursuite haletante dans Bruxelles, mais qui se perd dès lors qu'il s'aventure sur le terrain sociétal, dans sa manière d'intégrer les manifs du mouvement Black Lives Matter dans son récit.
aVoir-aLire.com
Un thriller mené tambour battant avec un comédien dans le rôle du jeune serrurier piégé, Jonathan Feltre, à suivre assurément.
Cahiers du Cinéma
Symptôme classique : le contexte sociologique est dessiné par le scénario comme s’il devait compenser le fait de n’engendrer « que » du suspense (pourquoi s’en excuser ?), et les portes trompeuses ouvrent sur des enfers un peu trop polis, où les problèmes contemporains sont noyés dans une nuit de cauchemars joliment photographiés – mais déconnectés des angoisses du jour.
Le Monde
Malgré un savoir-faire indéniable dans la scène d’action, on ressort perplexe de cet exercice de style très appliqué qui s’épuise à imiter et enferme ses acteurs dans un jeu de rôles "à l’américaine" qui assèche leur présence.
Les Inrockuptibles
À trop courir sans se retourner, La nuit se traîne perd en substance. Le recours à l’utilisation d’éléments ultra violents ne s’affranchit jamais d’une fonction purement décorative.
Première
Si la mise en scène se révèle d’une redoutable efficacité et offre des poursuites de qualité dans les rues bruxelloises, la faible caractérisation des personnages et de l’arrière-plan politique laisse au spectacle un vrai goût d’inachevé.
Télérama
Le film déçoit pourtant : trop écrit, avec son scénario fignolé comme une belle mécanique, il n’arrive pas à trouver son souffle et reste un exercice souvent artificiel. C’est dommage pour le jeune acteur Jonathan Feltre, qui a du panache, comme pour Romain Duris, étonnant en gangster patibulaire.