Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Closer
par J.B.
Regard d'une cinéaste sur le calvaire d'un tournage et les affres de la gloire, ce biopic a une valeur quasi-documentaire à l'ère post #MeToo. C'est aussi un magnifique portrait de femme bafouée qui fait songer aux destins brisés de Romy et Marilyn.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Ce qui se joue devant la caméra est plus qu’une scène de film : c’est l’agression d’une actrice abusée au nom d’un cinéma misogyne aux visions avilissantes et destructrices.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Maria Schneider et Le Dernier tango à Paris arrivent trois ans après 1968 et la naissance du MLF (Mouvement de Libération des Femmes), dont l’émancipation a aussi participé à une libération de la représentation du corps à l’écran. Avec Maria, Jessica Palud en expose toute l’ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jalonné d’importantes ellipses temporelles, accompagné par la musique de Benjamin Biolay, le film de Jessica Palud n’élude rien, mais constitue l’antithèse du récit sulfureux. C’est même sa pudeur qui nous touche en révélant un temps passé (?) dans lequel se reconnaîtront maintes comédiennes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Jessica Palud secoue la réalité distordue par la mythologie du film : elle confie à Anamaria Vartolomei le rôle de Maria Schneider, clarté déchirante d’une jeune actrice victime d’une autre époque, d’une culture du viol.
Le Figaro
par Florence Vierron
La force de Maria, c'est de nous embarquer dans une odyssée humaine où le sublime le dispute au dégoût, où les désirs masculins méprisent les corps féminins, où la famille reste impuissante face au pouvoir de la drogue, où la guérison passe par la rencontre amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
De tous les plans, Anamaria Vartolomei livre une performance inoubliable au côté d’un Matt Dillon impeccable en Brando.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
"Maria aura passé sa vie à mener un combat pour raconter ce qui s’est réellement passé sur ce tournage, face à une société qui n’était pas prête à l’écouter", se désole Anamaria Vartolomei. Elle lui rend grâce en l’incarnant de façon si juste dans ce film beau, dur et bouleversant
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La rédaction
Un film fort sur le prix que payent tant d'actrices pour exercer leur métier.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Samuel Douhaire
De tous les plans ou presque, Anamaria Vartolomei impressionne de bout en bout. Aussi crédible, et bouleversante, en adolescente fascinée par sa découverte des coulisses du septième art qu’en femme blessée et méprisée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Grandeur et décadence d’une comédienne importante, révélée par Un Tango à Paris de Bertolucci, tel est le propos de ce Biopic passionné qui vient à point nommé en pleine période de révélations d’agressions sexuelles dans le milieu du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La rédaction
Dans sa prétendue recherche d'une vérité, le réalisateur expose surtout celle de vieux mâles cyniques, qui dévorent en public cette jeune biche — et la laisse seule avec sa honte. Maria ne s'en remettra jamais. Le film s'appuie sur le récit de sa cousine Vanessa Schneider, publié en 2018.
L'Obs
par Isabelle Danel
(...) Porté par l’incandescence d’Anamaria Vartolomei (« l’Evénement », « l’Empire »), ce double portrait d’une enfant radieuse blessée à mort et d’un milieu du cinéma s’autorisant tout au nom de l’art est cru, dérangeant. Et sincère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
De tous les plans, Anamaria Vartolomei convainc en adolescente en quête de père, en actrice débutante devant un "monstre sacré du cinéma" et en jeune femme à la dérive. Elle porte sur ses frêles épaules la force de ce récit pudique et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Jessica Palud évoque la carrière et la vie de Maria Schneider, violentée sur le tournage d'un film culte des années 1970 : Le Dernier Tango à Paris. Convainquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Le film vient justement confirmer ce qu’il entend dénoncer : la haute tenue morale ne fait pas forcément les grands films.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Maria est tenu de bout en bout par son interprète principale, Anamaria Vartolomei.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
En mettant des mots sur des maux, Maria ne raconte pas une victime, mais célèbre une résistante tombée sur le front de l’indifférence. Et Anamaria Vartolomei épouse ce parti pris par une composition où finesse, intensité et lâcher prise ne font qu’un. Une actrice incandescente qui redonne une part de ce mystère qu’on avait volé à Maria Schneider de son vivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Malgré une facture assez classique, parfois didactique, le film de Jessica Palud émeut véritablement. À travers la trajectoire bouleversante de Maria Schneider, la réalisatrice braque une lumière crue sur le cinéma d’avant metoo.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si ce film n'est pas exempt de défauts, il témoigne des violences sexuelles et/ou psychologiques subies par certaines actrices sur les plateaux. En écho avec la prise de parole de Judith Godrèche.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
L’entrée tardive dans le récit de cette étudiante [Céleste Brunnquell] qui rédige un mémoire sur la place des femmes dans le cinéma semble cristalliser l’attitude du film lui-même, empathique, mais scolaire.
Critikat.com
par Robin Vaz
Plus encore que la forme assez anonyme du film, c’est sa portée politique qui interroge. Le scénario verrouillé et schématique conduit à l’essentialisation de son personnage, appréhendé à travers son seul statut de victime.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. J.
Rivée à l’intime, Jessica Palud ne prélève, d’une vie entière, que les moments de malheur, transformant vite le biopic en étrange exercice de martyrologie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
Il s’agit aussi de se questionner sur cette fameuse image d’"actrice déchue" dont Maria se nourrit, et qui colle à la peau de son héroïne. Un concept creux, qui tend à ignorer les cinquante-huit films dans lesquels elle a joué comme, entre autres, Profession : reporter d’Antonioni, dont elle était très fière et que Jessica Palud passe quasiment sous silence.
Ouest France
par Pascale Vergereau
À l'ère #MeToo, revenir sur ce moment a du sens. Le récit porté par Anamaria Vartolomei et Matt Dillon manque pourtant de profondeur, dans une reconstitution des années 1970 décevante pour un long métrage de cinéma.
Télé Loisirs
par T.C.
En pleine vague #MeToo du cinéma français, elle prend une nouvelle dimension dans cette retranscription intéressante lorsqu'on évoque les faits, mais surjouée ensuite.
Closer
Regard d'une cinéaste sur le calvaire d'un tournage et les affres de la gloire, ce biopic a une valeur quasi-documentaire à l'ère post #MeToo. C'est aussi un magnifique portrait de femme bafouée qui fait songer aux destins brisés de Romy et Marilyn.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce qui se joue devant la caméra est plus qu’une scène de film : c’est l’agression d’une actrice abusée au nom d’un cinéma misogyne aux visions avilissantes et destructrices.
Franceinfo Culture
Maria Schneider et Le Dernier tango à Paris arrivent trois ans après 1968 et la naissance du MLF (Mouvement de Libération des Femmes), dont l’émancipation a aussi participé à une libération de la représentation du corps à l’écran. Avec Maria, Jessica Palud en expose toute l’ambiguïté.
La Voix du Nord
Jalonné d’importantes ellipses temporelles, accompagné par la musique de Benjamin Biolay, le film de Jessica Palud n’élude rien, mais constitue l’antithèse du récit sulfureux. C’est même sa pudeur qui nous touche en révélant un temps passé (?) dans lequel se reconnaîtront maintes comédiennes.
Le Dauphiné Libéré
Jessica Palud secoue la réalité distordue par la mythologie du film : elle confie à Anamaria Vartolomei le rôle de Maria Schneider, clarté déchirante d’une jeune actrice victime d’une autre époque, d’une culture du viol.
Le Figaro
La force de Maria, c'est de nous embarquer dans une odyssée humaine où le sublime le dispute au dégoût, où les désirs masculins méprisent les corps féminins, où la famille reste impuissante face au pouvoir de la drogue, où la guérison passe par la rencontre amoureuse.
Le Journal du Dimanche
De tous les plans, Anamaria Vartolomei livre une performance inoubliable au côté d’un Matt Dillon impeccable en Brando.
Le Parisien
"Maria aura passé sa vie à mener un combat pour raconter ce qui s’est réellement passé sur ce tournage, face à une société qui n’était pas prête à l’écouter", se désole Anamaria Vartolomei. Elle lui rend grâce en l’incarnant de façon si juste dans ce film beau, dur et bouleversant
Le Point
Un film fort sur le prix que payent tant d'actrices pour exercer leur métier.
Télérama
De tous les plans ou presque, Anamaria Vartolomei impressionne de bout en bout. Aussi crédible, et bouleversante, en adolescente fascinée par sa découverte des coulisses du septième art qu’en femme blessée et méprisée.
aVoir-aLire.com
Grandeur et décadence d’une comédienne importante, révélée par Un Tango à Paris de Bertolucci, tel est le propos de ce Biopic passionné qui vient à point nommé en pleine période de révélations d’agressions sexuelles dans le milieu du cinéma.
Femme Actuelle
Dans sa prétendue recherche d'une vérité, le réalisateur expose surtout celle de vieux mâles cyniques, qui dévorent en public cette jeune biche — et la laisse seule avec sa honte. Maria ne s'en remettra jamais. Le film s'appuie sur le récit de sa cousine Vanessa Schneider, publié en 2018.
L'Obs
(...) Porté par l’incandescence d’Anamaria Vartolomei (« l’Evénement », « l’Empire »), ce double portrait d’une enfant radieuse blessée à mort et d’un milieu du cinéma s’autorisant tout au nom de l’art est cru, dérangeant. Et sincère.
La Croix
De tous les plans, Anamaria Vartolomei convainc en adolescente en quête de père, en actrice débutante devant un "monstre sacré du cinéma" et en jeune femme à la dérive. Elle porte sur ses frêles épaules la force de ce récit pudique et nécessaire.
Les Echos
Jessica Palud évoque la carrière et la vie de Maria Schneider, violentée sur le tournage d'un film culte des années 1970 : Le Dernier Tango à Paris. Convainquant.
Les Fiches du Cinéma
Le film vient justement confirmer ce qu’il entend dénoncer : la haute tenue morale ne fait pas forcément les grands films.
Libération
Maria est tenu de bout en bout par son interprète principale, Anamaria Vartolomei.
Première
En mettant des mots sur des maux, Maria ne raconte pas une victime, mais célèbre une résistante tombée sur le front de l’indifférence. Et Anamaria Vartolomei épouse ce parti pris par une composition où finesse, intensité et lâcher prise ne font qu’un. Une actrice incandescente qui redonne une part de ce mystère qu’on avait volé à Maria Schneider de son vivant.
Sud Ouest
Malgré une facture assez classique, parfois didactique, le film de Jessica Palud émeut véritablement. À travers la trajectoire bouleversante de Maria Schneider, la réalisatrice braque une lumière crue sur le cinéma d’avant metoo.
Télé 7 Jours
Si ce film n'est pas exempt de défauts, il témoigne des violences sexuelles et/ou psychologiques subies par certaines actrices sur les plateaux. En écho avec la prise de parole de Judith Godrèche.
Cahiers du Cinéma
L’entrée tardive dans le récit de cette étudiante [Céleste Brunnquell] qui rédige un mémoire sur la place des femmes dans le cinéma semble cristalliser l’attitude du film lui-même, empathique, mais scolaire.
Critikat.com
Plus encore que la forme assez anonyme du film, c’est sa portée politique qui interroge. Le scénario verrouillé et schématique conduit à l’essentialisation de son personnage, appréhendé à travers son seul statut de victime.
Le Monde
Rivée à l’intime, Jessica Palud ne prélève, d’une vie entière, que les moments de malheur, transformant vite le biopic en étrange exercice de martyrologie.
Les Inrockuptibles
Il s’agit aussi de se questionner sur cette fameuse image d’"actrice déchue" dont Maria se nourrit, et qui colle à la peau de son héroïne. Un concept creux, qui tend à ignorer les cinquante-huit films dans lesquels elle a joué comme, entre autres, Profession : reporter d’Antonioni, dont elle était très fière et que Jessica Palud passe quasiment sous silence.
Ouest France
À l'ère #MeToo, revenir sur ce moment a du sens. Le récit porté par Anamaria Vartolomei et Matt Dillon manque pourtant de profondeur, dans une reconstitution des années 1970 décevante pour un long métrage de cinéma.
Télé Loisirs
En pleine vague #MeToo du cinéma français, elle prend une nouvelle dimension dans cette retranscription intéressante lorsqu'on évoque les faits, mais surjouée ensuite.