Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Libération
par Nathalie Dray
Essai vibrant entièrement composé d’archives tournées entre 1896 et 1930, c’est-à-dire jusqu’à l’avènement du parlant, "Italia, le feu, la cendre" ressuscite cette Atlantide perdue que fut le cinéma muet italien dont on découvre la splendeur incendiaire, le lyrisme et l’extravagance dans un flux visuel éblouissant, où les images se télescopent et se répondent, créant des collusions de sens, ravivant une mémoire engloutie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
Une vraie découverte, car la plupart des films italiens de cette période ont été perdus, brûlés ou simplement détruits par les nazis. Avec les commentaires de Salvador Dalí, de Fellini ou de Pirandello, c’est un pan du septième art qui revit et nous émerveille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Nicolas Geneix
Les auteurs savent laisser regarder ces oeuvres silencieuses et s'appuyer sur une partition expressive de Lorenzo Esposito Fornasari pour sublimer encore ces images retrouvées.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Comme tout grand film sur un monde englouti, "Italia, Le Feu, La Cendre" procure l’envie de s’y aventurer, de devenir des spéléo-archéologues et autres chasseurs d’images fantômes et participer avec ces auteurs au réveil des bobines que nazis et fascistes avaient voulu réduire en cendre.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Anne Dessuant
L’Italie, le feu, la cendre est un poème hypnotique et exigeant, d’une liberté folle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Spectateurs de la beauté de ces images rescapées, nous touchons à cette essence de l’émotion cinéphile qu’un texte de l’époque décrit déjà parfaitement : le cinéma « satisfait notre nostalgie pour ces lieux que nous n’avons jamais vus ».
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
(...) Céline Gailleurd et Olivier Bohler rendent un vibrant hommage au cinéma muet transalpin. Ils le font re-vivre durant pratiquement une heure et trente-cinq minutes. Et ce, par le montage très réussi d’extraits de films de fiction, de films d’actualité ; d’images d’archives qui sont des rescapées du temps corrupteur, de la volonté et des actes de foi destructeurs des hommes, et dont beaucoup sont peu connues, voire inconnues.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Sans noyer le spectateur dans un tourbillon d’images, le film réussit à nous emmener dans un périple pictural envoûtant, privilégiant l’approche poétique à la pédagogie – même si quelques cartons tentent maladroitement de situer le contexte.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
Essai vibrant entièrement composé d’archives tournées entre 1896 et 1930, c’est-à-dire jusqu’à l’avènement du parlant, "Italia, le feu, la cendre" ressuscite cette Atlantide perdue que fut le cinéma muet italien dont on découvre la splendeur incendiaire, le lyrisme et l’extravagance dans un flux visuel éblouissant, où les images se télescopent et se répondent, créant des collusions de sens, ravivant une mémoire engloutie.
L'Obs
Une vraie découverte, car la plupart des films italiens de cette période ont été perdus, brûlés ou simplement détruits par les nazis. Avec les commentaires de Salvador Dalí, de Fellini ou de Pirandello, c’est un pan du septième art qui revit et nous émerveille.
Positif
Les auteurs savent laisser regarder ces oeuvres silencieuses et s'appuyer sur une partition expressive de Lorenzo Esposito Fornasari pour sublimer encore ces images retrouvées.
Transfuge
Comme tout grand film sur un monde englouti, "Italia, Le Feu, La Cendre" procure l’envie de s’y aventurer, de devenir des spéléo-archéologues et autres chasseurs d’images fantômes et participer avec ces auteurs au réveil des bobines que nazis et fascistes avaient voulu réduire en cendre.
Télérama
L’Italie, le feu, la cendre est un poème hypnotique et exigeant, d’une liberté folle.
Cahiers du Cinéma
Spectateurs de la beauté de ces images rescapées, nous touchons à cette essence de l’émotion cinéphile qu’un texte de l’époque décrit déjà parfaitement : le cinéma « satisfait notre nostalgie pour ces lieux que nous n’avons jamais vus ».
Culturopoing.com
(...) Céline Gailleurd et Olivier Bohler rendent un vibrant hommage au cinéma muet transalpin. Ils le font re-vivre durant pratiquement une heure et trente-cinq minutes. Et ce, par le montage très réussi d’extraits de films de fiction, de films d’actualité ; d’images d’archives qui sont des rescapées du temps corrupteur, de la volonté et des actes de foi destructeurs des hommes, et dont beaucoup sont peu connues, voire inconnues.
Le Monde
Sans noyer le spectateur dans un tourbillon d’images, le film réussit à nous emmener dans un périple pictural envoûtant, privilégiant l’approche poétique à la pédagogie – même si quelques cartons tentent maladroitement de situer le contexte.