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    La Soif du mal
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    161 critiques spectateurs

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    Val_Cancun
    Val_Cancun

    53 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2015
    Lorsqu'il réalise "The touch of evil" en 1958, Orson Welles a déjà à son actif une dizaine de long-métrages.
    Il s'attaque ici au film noir, au moment ou l'âge d'or de ce genre se termine, et signe tout simplement une référence de cette sous-catégorie mêlant polar, drame et romance.
    Suite à un attentat à la frontière américano-mexicaine, on assiste à l'opposition de deux flics aux styles et méthodes contraires : Charlton Heston incarne Vargas le mexicain intègre (tout juste marié à une américaine, jouée par la pulpeuse Janet Leigh), tandis qu'Orson Welles lui même prête sa silhouette empâtée à Quinlan, l'américain au flair infaillible mais aux valeurs douteuses...
    Si ce scénario est loin d'être inintéressant, ce qui fait la valeur ajoutée de "The touch of evil" est incontestablement la mise en scène brillante de Welles. Dès le plan-séquence d'ouverture, époustouflant modèle du genre, jusqu'à la scène finale autour du pont-frontière, le spectateur en prend plein les yeux.
    Dans ce classique plébiscité par l'ensemble des cinéphiles, mon seul bémol concerne les scènes situées dans le motel abandonné, qui s'éternisent et n'ont pas l'intensité des autres séquences du film.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    85 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2013
    C'est par un plan-séquence d'une perfection inouïe que débute "La Soif du Mal", film prodigieux et passionnant, dans lequel sont enfantés une bonne partie des standards du film noir et qui témoigne d'une grande influence sur ses successeurs. Baigné dans une ambiance glauque et oppressante, il se déroule dans une ville-frontière brechtienne qu'on traverse avec exaltation. La mise en scène est menée d'une main de maître par Orson Welles, qui est ici aussi impressionnant que répugnant dans le rôle de Quinlan, l'un de ses meilleurs personnages. Sans manquer d'humour, le scénario manie aussi la nostalgie, omniprésente grâce à l'ambiance distillée et la très forte identité musicale. Un pur joyau, absolument fondamental.
    leochou
    leochou

    16 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2013
    Avec citizen Kane ce film d'Orson Welles fait parti de mes films préférés. C'est vraiment un monument du cinéma et une référence du film noir américain. En premier on est bluffé par la réalisation sans faille du maître. Ici on peut vraiment parler de langage cinématographique tellement chaque plan exprime une émotion. Cela est du au génie créatif instinctif et viscéral d'Orson Welles. Dès le long plan séquence d'introduction qui met en place l'intrigue avec un magnifique travelling filmé en très courte focale met l'accent sur un film d'exception. On suit avec gourmandise Charlton Heston dans cette enquête policière qui donne ici une de ces meilleurs prestations. L'intrigue policière va laisser place à une lutte de personnalité entre Vargas et le commissaire Quinlan, deux visions de la justice et du monde. Orson Welles est tout simplement impressionnant et méconnaissable dans la peau du commissaire. On a droit également droit à un défilé de personnages secondaires qui ont également profité d'une belle écriture. Là on a l’occasion de voir défiler d'excellents acteurs comme Joseph Cotten, Marlène Dietrich, Janet Leigh, Akim Tamiroff, Dennis Weaver... On a la chance d'avoir depuis peu une nouvelle monture qui respect enfin les indications d'Orson Welles pour le montage et d'un nouveau master HD avec le Blu-Ray qui permet de profiter de la profondeur de champ offerte par la courte focale. Un très beau travail de restauration même si certains plans souffrent encore de grain très présents, chapeau bas pour un film qui a plus de 50 ans. A voir et a revoir! Un chef d'oeuvre!
    Appeal
    Appeal

    156 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2013
    Malheureusement vu en V.F, je n'ai pas eu le choix, mais j'ai eu la chance de tomber sur la version adaptée des écrits de Welles, et non la version éditée. Donc c'est la version 1h55 (et non 1h30). Je continue donc mes visionnages de Welles, dont je suis tombé définitivement amoureux, par La Soif du Mal, pas le moins connu du réalisateur.

    Et bien ma foi, cet homme est vraiment un génie. Il ne suffirait que du long plan séquence d'introduction pour en être convaincu, tout du moins rien que pour l'aspect formel : incroyable jeu des lumières, positionnement de la caméra, animation, détails, clins d'oeil. C'est résolument moderne et inventif. Et ce n'est heureusement pas que la scène d'introduction qui vaut le détour. De nombreux plans très inventifs s'enchaînent tout le long du film, probablement plus encore que Citizen Kane par exemple.

    Les acteurs, essentiels dans le film, sont également à leur avantage. Certes Orson Welles est un peu dégueu, tout bouffi, mais garde sa classe naturel. Les seconds rôles, que je ne vais pas énumérer, sont pratiquement tous convaincants - et essentiels. Bon après, Charlton Heston c'est pas ma tasse, mais il s'en sort pas mal - la surprise venant de Janet Leigh, au jeu assez incroyable, surtout quand elle joue dans des phases angoissantes (pas vraiment les romantiques). Enfin elle est aux antipodes de Psychose, sortit 2 ans après, où elle joue l'angoissé : ici elle est d'une nonchalance et d'un détachement assez divin, plus rayonnant encore avec sa beauté.

    L'ambiance, associée au scénario, est géniale. On a la un pur film noir, probablement le meilleur que j'ai vu, avec les codes classiques : Los angeles (certes, nous n'y sommes pas ici; mais nous sommes pas loin), des mexicains, des policiers pourris et honnêtes, mais qui ont tous une classe à crever, et un flair incomparable, des guerres d'egos mêlés à des repliques cultes. Surtout, ce que j'ai apprécié, c'est une nouvelle fois l'humour, qui parfois touche presque au burlesque, mais qui est toujours bien senti. Le ton décalé rend une nouvelle fois le film très agréable à suivre, si bien que nous n'avons pas de difficultés à se l'avaler. De plus, l'idée de jeu permanent entre les frontières américaines et mexicaines, la confrontation entre deux polices, deux visions de la justice, confère une originalité certaine à l'oeuvre, la où des films noirs classiques dépeignent le plus souvent une histoire de corruption et d'anti-corruption au sein de la police même.

    La soif du mal est un excellent film, un excellent Welles. Est-il le meilleur film noir? Ma méconnaissance du cinéma m'empêche de répondre; c'est en tout cas, par mon expérience, mon ressenti.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    590 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2015
    Une œuvre baroque qui n'est pas dépourvue de qualités mais que je n'apprécie guère tant Welles charge sa barque. En dehors du premier plan très long, particulièrement réfléchi et travaillé puis des dernières 20 minutes qui nous laissent admirer la virtuosité du cinéaste tout en captivant notre attention, je n'arrive pas à m'intéresser au reste plus tourné vers la technique que vers l'humain. L'atmosphère lourde qui règne en permanence est à la limite du réalisme. Il n'en faudrait pas beaucoup plus pour que l'on déborde dans le fantastique. Cette mise en scène trop évidente surtout avec un scénario aussi pauvre est à l'opposé de mes gouts tournés vers la discrétion d'où naissent des émotions qui surgissent de la beauté des mouvements de la caméra ou des rentrées des personnage dans le plan visuel. Si Welles n'avait pas été aussi imbu de lui même et était resté plus discret dans les médias, son œuvre aurait peut-être été différente. Il est pour moi comparable à Marlon Brando mais un acteur trouve toujours un grand réalisateur pour le modérer. Welles n'avait personne au dessus de lui et les coupures faites à ses films sont là pour montrer qu'il n'a pas plut pas à tous les professionnels du cinéma.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    751 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juin 2010
    Ce film policier d'Orson Welles restera comme l'un des plus réussi des années 50. La mise en scène est d'une réelle efficacitée et l'interprétation de l'ensemble du casting ( Orson Welles, Charlton Heston, Janet Leigh, Marlene Dietrich ... ) est remarquable. De plus, son histoire est vraiment très agréable à suivre du début du film jusqu'à un coup de théâtre final qui en surprendzra plus d'un. Il s'agit donc d'un quasi chef-d'oeuvre et qui prouve qu'Orson Welles était un immense metteur en scène.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 064 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 août 2009
    Très grand film, noir, Orson Welles derrière et devant la caméra montre l'étendue de son génie, je dirai plus qu'il a briller plus ici par ses talents d'acteurs tant son personnages est génialement interprété, sombre et torturé. Un grand polar.
    Yetcha
    Yetcha

    877 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2015
    Un polar, noir, avec des personnages écrasants de force et des plans fantastiques qui signe le génie d'Orson Welles. Si l'histoire n'est pas des plus originale, il faut remettre ça dans le contexte de l'époque qui représentait là un scénario fouillé et des switches passionnants. Le casting est lui aussi terrible. Bref, un excellent film à voir en VO car le doublage français est très moyen.
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2020
    Le contresens semble être la spécialité des traducteurs de films en France. Le fait d’affubler « La Soif Du Mal » au titre « Touch Of Evil » montre à quel point l’équipe chargée de la distribution du film en France n’avait pas vraiment compris le film. Plutôt que peindre tout en noir son personnage de policier véreux, Welles voulait faire quelque chose de bien plus complexe : incarner un être, qui tout en ayant l’apparence, la touche du Diable, veut donner des « coups de pouces » à la justice. Faire le bien, en fait. Le jeu d’acteur de Welles et sa réalisation d’un point de vue technique dans certaines scènes (les 1ère et dernières notamment), relèvent du pur génie. Cependant, il est à déplorer deux choses : 1) la présence d’acteurs secondaires archi mauvais faisant perdre toute crédibilité aux rebondissements de l’intrigue, 2) le choix intempestif de Welles de complexifier à l’excès l’intrigue principale (qui au départ concerne la recherche du coupable de l’explosion) par l’intrusion d’autres intrigues mineures (l’enlèvement de Suzie, la drogue, le crime de Grandi etc…). Ces télescopages d’intrigues donnent l’impression d’un imbroglio et alourdissent la cadence du film. Même les génies ne savent pas toujours s’arrêter à temps.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 001 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Un sentiment étrange se dégage de ce film qui oscille entre comédie onirique et film noir symbolique, laissant de côté toute vraisemblance scénaristique, et se focalisant sur le traitement de l'image ou de la mise en scène pour insister sur l'opposition classique entre le bien et le mal au sein d'une distribution impeccable dominée par un monstrueux Orson Welles qui impose dans la version longue son particularisme artistique. Singulier.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2015
    L'éternel débat de la forme et du fond prend tout son sens dans la vision de ce film important. Orson Welles montre en incipit tout son art de la mise en scène. Un travelling géant, planant qui restera inoubliable. Tout le film est maîtrisé sur le plan des mouvements de caméra, du cadrage, de la photographie, de la lumière. La musique est superbe. Ces qualités donnent toute sa force à La soif du mal en accentuant le suspens et l'ambiguïté des personnages. Cette ville mexicaine, filmée en nocturne, a quelque chose de fantomatique telle portée par des morts en sursis. L'interprétation est éblouissante ; une Janet Leigh qui n'a jamais été aussi belle et sexy, un Charlton Heston sobre et bien sûr en monstre stylisé, Orson Welles. Paraissant déjà plus âgé que son âgé, rendu obèse par l'abus de sucres lourds et autres alcools forts, il donne une interprétation pathétique et désespérée. Il y a aussi le problème de la frontière, physique (entre Le Mexique et les USA), morale (entre les bons et les méchants, flics pourris, gangsters...). Ou commence le mal et s'arrête le bien ? Bien plus qu'un film stylisé, brillant et expressionniste, La soif du mal, dont le récit désarçonne parfois à juste titre, est un très bon film.
    Starwealther
    Starwealther

    74 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2023
    "La soif du mal" est considéré comme un des meilleurs de films de Orson Welles, son long travelling de début est remarquable. Seulement, vu en 2023, le film a énormément vieilli et cette enquête de film noir m'a un peu pesé. Cependant, le talent des acteurs est indéniable: Janet Leigh, Charlton Heston et Orson Welles en personne sont très agréables à voir à l'écran. Orson Welles a la palme, il est excellent en inspecteur Quinlan, personne crasseux et corrompu jusqu'à l'os aux méthodes peu exemplaires. Un film culte d'un des plus grands pontes du cinéma Hollywoodien.
    Vincenzo M.
    Vincenzo M.

    42 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2020
    Encore un très bon film d'Orson Wells qui réalise et joue un rôle inattendu au visage méconnaissable, Charlton Heston quand lui est la où on ne l'attends pas bref un classique, un must à voir et revoir pour les qualités technique pour les cinéphiles et les autres aussi ....
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2016
    Ce grand film de Welles met je trouve bien du temps à se lancer, après un plan-séquence d'ouverture qui se veut marquant et imposant. Derrière, tout le film est un peu saboté par la réalisation écrasante d'un Welles réalisateur en constante démonstration de force. Toujours parcourue d'un mouvement jamais anodin, écrasant sous ses angles l'espace-temps du film comme en retravaillant constamment un matériau brut, peaufinée jusque dans les moindres grains de la photo, la mise en scène respire un cinéma total, qui donne une forte emprise au récit mais a aussi le désavantage de cultiver des attentes immenses vis à vis de ce que le film donne à voir. Longtemps, j'ai eu la sensation d'attendre, la faute à un récit tortueux qui parait parfois s'éparpiller et à des scènes dont le potentiel parait retenu, que s'ouvre un écrin dont l'ouvrage semble indiquer un contenu au prix incalculable. C'est que tout le mouvement du film cherche la lenteur d'une progression censée se décharger dans le final, le long d'un récit où tout avance au même rythme patibulaire et inarrêtable que le personnage de Welles, qui explose dans un climax certes fascinant mais un peut trop bâti au détriment du reste. La dernière scène demeure quand même très marquante : ce flic aussi doué que véreux parait avoir atteint la limite possible de l'homme dans la quête du Bien comme dans la soumission au Mal, et Welles, qui incarne lui même cette figure monstrueuse et fascinante, se pose aux côtés de son film pour alimenter durablement le vertige qu'il met en jeu. Un classique du noir, servi par un très bon casting et peut-être juste un petit peu bancal.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 avril 2016
    Orson Welles en 1958 laissa à la main des Studios Universal le montage final de son film. Il le désapprouva toute son existence et rédigea même un mémoire de 58 pages décrivant au plus près son désir initial. Il fallut attendre 1973 pour que son souhait soit exaucé… et c’est cette version que je viens de visionner.
    « La soif du mal » ou plutôt « A touch of evil », plus proche de l’atmosphère du film, est l’histoire d’un flic mexicain en voyage de noce à la frontière américano mexicaine qui va vouloir assister la police américaine dans l’enquête d’une histoire de meurtre dont il a été témoin. Mais le flic américain en charge de l’affaire est véreux et corrompu. Le sujet central du film est donc un choc frontal entre deux flics et deux visions du métier (intuition / enquête fouillée) que tout oppose. Le lieu même de l’action est fortement symbolique ; une frontière… elle-même à l’image du bien et du mal, de la vie et de la mort, de l’intégrité et de la roublardise. Ensuite, Welles, et c’est pour moi la faiblesse du film, nous noie sous un torrent de sous-intrigues satellites qui se multiplient et s’embrouillent : l’affaire de l’explosion de la voiture, le procès sur lequel travaille Vargas, les voyous traquant la femme de Vargas, la mort de la femme de Hank,… Tout cela participe à créer une confusion bien contreproductive. Une médiocrité scénaristique bien regrettable.
    D’autant plus, que Welles démontre une maestria rarement égalée de la mise en scène, pour l’époque. Le plan séquence de la scène d’ouverture est un des plus virtuose jamais vu. Sa caméra perchée en haut d’une grue donne le vertige, et la minutie de son plan donne plus que le ton, il inscrit le film dans sa dimension dramatique et tendue dès les premières minutes. Il nécessita 10 jours de tournage à Orson Welles. Le génie de Welles ne s’arrête pas là : un travail autour du noir et blanc symbole du Bien et du Mal ; traitement des ombres et éclairages malveillants ; un grand angle déformant les perspectives et montrant un monde malade (Fritz Lang aurait validé) ; plongées et contre plongées sur les personnages ;… Il adapte même sa technique à ses personnages : le bon flic mexicain est souvent troublé par des ombres et semble vulnérable comme un pion ; le bad cop US, Welles himself, filmé en contre plongée est énorme, disproportionné, glouton voire gargantuesque semble inamovible ; Grandi, la truand de service, toujours filmé en mouvement incarne un autre type de danger. Pour filmer ce dernier en mouvement, il intégra, ce qui fût une première, une petite caméra mobile. Au titre des expérimentations, car ce film a aussi une dimension expérimentale, il tourna pour la première fois les scènes automobiles avec un comédien qui conduit réellement des véhicules en mouvement.
    Et puis la distribution, car les noms parlent d’eux-mêmes : Orson Welles, Charlton Heston, Joseph Cotten, Janet Leigh (2 ans après dans « Psychose », elle y passera ; dans ce film, elle a l’air de jouer dans un préquel), Marlène Dietrich, Zsa Zsa Gabor,…
    Une perle cinématographique au scénario trop complaisant et invraisemblable.
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