Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Malgré le décorum (les lumières, la musique très club), il n’est pas question d’esthétiser les passes - mais au contraire de revendiquer la beauté des femmes. Avec une bonne idée de mise en scène notamment, qu’on regrettera d’être utilisée une seule fois : une scène en « POV », c’est-à-dire « du point de vue de ».
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cru, hardi mais inégal dans sa mise en scène comme dans son interprétation, le film, plaidoyer pour les maisons closes, échoue à épouser le parcours intime, la vie intérieure de l’écrivaine, campée par une Ana Girardot qui n’a pas froid aux yeux ni ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Parfois racoleur et de mauvais goût (l'enchaînement des passes et des positions façon clip), le film trouve sa raison d'être dans la description des clients, du timide au pervers. Et montre la limite d'une telle démarche qui confond libertinage et prostitution.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Le film souffre de maladresses mais Ana Girardot force l'admiration.
Le Parisien
par La Rédaction
Adapté de l’étonnant roman d’Emma Becker, publié en 2019, « La Maison » s’avère d’un niveau bien inférieur à l’ouvrage. C’est avant tout un problème d’images : tous les clichés sur la prostitution s’enchaînent à l’écran, parfois jusqu’au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Il y a dans La Maison une dimension littéraire indissociable que le cinéma ne peut représenter. Et nul miracle, elle manque à ce film où Anissa Bonnefont réussit cependant un autre défi pas moins complexe : montrer, explorer crûment les corps sans verser dans le glauque ou la provoc’ facile.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Si les relations entre les filles, souvent drôles ou tendres, insufflent un peu d’air frais dans La Maison, on en retient surtout des échanges pesants de didactisme (avec l’ami, la sœur) et un sempiternel catalogue de clients.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par V. Cau.
Clients quasi tous sympas, mariés et paumés défilent dans les bras de travailleuses du sexe qui s’offrent généreusement et trouvent au bordel une famille bienveillante. D’un ennui mortel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
Malgré le décorum (les lumières, la musique très club), il n’est pas question d’esthétiser les passes - mais au contraire de revendiquer la beauté des femmes. Avec une bonne idée de mise en scène notamment, qu’on regrettera d’être utilisée une seule fois : une scène en « POV », c’est-à-dire « du point de vue de ».
L'Obs
Cru, hardi mais inégal dans sa mise en scène comme dans son interprétation, le film, plaidoyer pour les maisons closes, échoue à épouser le parcours intime, la vie intérieure de l’écrivaine, campée par une Ana Girardot qui n’a pas froid aux yeux ni ailleurs.
Le Figaro
Parfois racoleur et de mauvais goût (l'enchaînement des passes et des positions façon clip), le film trouve sa raison d'être dans la description des clients, du timide au pervers. Et montre la limite d'une telle démarche qui confond libertinage et prostitution.
Ouest France
Le film souffre de maladresses mais Ana Girardot force l'admiration.
Le Parisien
Adapté de l’étonnant roman d’Emma Becker, publié en 2019, « La Maison » s’avère d’un niveau bien inférieur à l’ouvrage. C’est avant tout un problème d’images : tous les clichés sur la prostitution s’enchaînent à l’écran, parfois jusqu’au ridicule.
Première
Il y a dans La Maison une dimension littéraire indissociable que le cinéma ne peut représenter. Et nul miracle, elle manque à ce film où Anissa Bonnefont réussit cependant un autre défi pas moins complexe : montrer, explorer crûment les corps sans verser dans le glauque ou la provoc’ facile.
Télérama
Si les relations entre les filles, souvent drôles ou tendres, insufflent un peu d’air frais dans La Maison, on en retient surtout des échanges pesants de didactisme (avec l’ami, la sœur) et un sempiternel catalogue de clients.
Le Monde
Clients quasi tous sympas, mariés et paumés défilent dans les bras de travailleuses du sexe qui s’offrent généreusement et trouvent au bordel une famille bienveillante. D’un ennui mortel.