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Votre avis sur L'Empire ?
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la bande annonce est bien mieux que le film, elle suffit, inutile de regarder le reste. tellement decevant
Un mix entre Star war et bienvenue a Plouc ville. Quelques bonnes idées mais un scénario poussif qui ne décolle pas. Et (a part Luchini) les acteurs sont terriblement mauvais avec une diction inaudible indignes d'un cours de théâtre amateur de banlieue
Je ne vais pas m'étendre, d'autres l'ont très bien fait avant moi, profond ennui, au bout de 5 minutes on a déjà vu l'essentiel, dialogues ennuyeux et histoire sans intérêt, certes les acteurs sont bien, mais franchement... à éviter !
Le Margat est né !!
Somptueux, stupéfiants, magnétique, je dirais même : tellurique...
Dans une galaxie lointaine, très lointaine, sommeille l'immensité poétique de la psyché de Brunot Dumont. En accouchant de ce mastodonte, Brunot y a insufflé toute sa singularité et son amour du septième art. Véritable supernova visuelle, l'empire marque un tournant dans la perception même de la filmographie francophone. La claque des premières secondes laisse vite la place à l'extase lorsque, d'un coup d'un seul, le personnage de Jane succombe à l'appel du péché originel. Cette mise en scène biblique, portée par le prince Johnny, exalte de toute la splendeur cinématographique du dernier siècle.
CHEF-D'ŒUVRE !
Somptueux, stupéfiants, magnétique, je dirais même : tellurique...
Dans une galaxie lointaine, très lointaine, sommeille l'immensité poétique de la psyché de Brunot Dumont. En accouchant de ce mastodonte, Brunot y a insufflé toute sa singularité et son amour du septième art. Véritable supernova visuelle, l'empire marque un tournant dans la perception même de la filmographie francophone. La claque des premières secondes laisse vite la place à l'extase lorsque, d'un coup d'un seul, le personnage de Jane succombe à l'appel du péché originel. Cette mise en scène biblique, portée par le prince Johnny, exalte de toute la splendeur cinématographique du dernier siècle.
CHEF-D'ŒUVRE !
Dans le paysage cinématographique actuel, où le spectaculaire et l'extravagance règnent souvent en maîtres, "L'Empire" de Bruno Dumont se présente comme un ovni artistique audacieux, mélangeant avec une habileté certaine le genre de la comédie dramatique à celui de la science-fiction. Situé dans le cadre pittoresque de la Côte d'Opale, le film nous plonge au cœur d'un village de pêcheurs apparemment paisible, où la naissance d'un enfant pas comme les autres vient bouleverser l'équilibre précaire entre des forces cosmiques antagonistes.
La force de "L'Empire" réside indéniablement dans sa capacité à tisser une toile de personnages complexes et nuancés, magnifiquement incarnés par une distribution étoilée comprenant Lyna Khoudri, Anamaria Vartolomei, Camille Cottin et Fabrice Luchini. Leur interprétation, tout en finesse, contribue à ancrer le récit dans une réalité émotionnelle palpable, malgré l'abstraction de son postulat de départ.
Sur le plan technique, le film brille par son esthétique soignée. La photographie de David Chambille capture avec brio la beauté sauvage de la Côte d'Opale, créant un contraste saisissant avec les thèmes sombres explorés par le récit. Les décors, conçus par Erwan Legal, Celia Marolleau et Peppie Biller, ainsi que les costumes d'Alexandra Charles et Carole Chollet, confèrent une authenticité et une profondeur supplémentaires à l'univers du film.
Toutefois, "L'Empire" n'est pas exempt de faiblesses. Le scénario, bien que riche en idées, souffre par moments d'un manque de cohérence et d'une certaine lourdeur dans sa tentative de fusionner des éléments disparates. Cette ambition narrative, bien que louable, se traduit parfois par un rythme inégal et une certaine opacité dans le développement des enjeux, laissant le spectateur en quête de repères plus clairs.
De plus, la volonté de Dumont d'insuffler une dimension métaphysique à son œuvre, bien que fascinante sur le papier, se heurte parfois à une réalisation qui peine à équilibrer les aspirations philosophiques avec la nécessité d'une narration fluide et engageante. Cette discordance entre le fond et la forme, loin de nuire totalement à l'expérience, empêche néanmoins "L'Empire" d'atteindre la plénitude de son potentiel.
En définitive, "L'Empire" se distingue par son audace créative et sa volonté de défier les conventions du cinéma contemporain. Si le film réussit à captiver par son esthétique et la profondeur de ses personnages, il laisse également une impression d'inachevé, comme si le grand dessein de Dumont s'était quelque peu égaré dans sa propre complexité. Malgré ces réserves, "L'Empire" demeure une œuvre d'une richesse indéniable, témoignant de la singularité de la vision de son créateur.
La force de "L'Empire" réside indéniablement dans sa capacité à tisser une toile de personnages complexes et nuancés, magnifiquement incarnés par une distribution étoilée comprenant Lyna Khoudri, Anamaria Vartolomei, Camille Cottin et Fabrice Luchini. Leur interprétation, tout en finesse, contribue à ancrer le récit dans une réalité émotionnelle palpable, malgré l'abstraction de son postulat de départ.
Sur le plan technique, le film brille par son esthétique soignée. La photographie de David Chambille capture avec brio la beauté sauvage de la Côte d'Opale, créant un contraste saisissant avec les thèmes sombres explorés par le récit. Les décors, conçus par Erwan Legal, Celia Marolleau et Peppie Biller, ainsi que les costumes d'Alexandra Charles et Carole Chollet, confèrent une authenticité et une profondeur supplémentaires à l'univers du film.
Toutefois, "L'Empire" n'est pas exempt de faiblesses. Le scénario, bien que riche en idées, souffre par moments d'un manque de cohérence et d'une certaine lourdeur dans sa tentative de fusionner des éléments disparates. Cette ambition narrative, bien que louable, se traduit parfois par un rythme inégal et une certaine opacité dans le développement des enjeux, laissant le spectateur en quête de repères plus clairs.
De plus, la volonté de Dumont d'insuffler une dimension métaphysique à son œuvre, bien que fascinante sur le papier, se heurte parfois à une réalisation qui peine à équilibrer les aspirations philosophiques avec la nécessité d'une narration fluide et engageante. Cette discordance entre le fond et la forme, loin de nuire totalement à l'expérience, empêche néanmoins "L'Empire" d'atteindre la plénitude de son potentiel.
En définitive, "L'Empire" se distingue par son audace créative et sa volonté de défier les conventions du cinéma contemporain. Si le film réussit à captiver par son esthétique et la profondeur de ses personnages, il laisse également une impression d'inachevé, comme si le grand dessein de Dumont s'était quelque peu égaré dans sa propre complexité. Malgré ces réserves, "L'Empire" demeure une œuvre d'une richesse indéniable, témoignant de la singularité de la vision de son créateur.
L'Empire, de Bruno Dumont, est un film grandiose qui vous porte et ne vous quitte pas. Le ciel, la mer, le plancher des vaches, des hommes, des vaisseaux et des chevaux et en fond sonore, de la musique savante de bon aloi. Mais attention, les vaches de la Côte d'Opale évoluent sur le bitume, les humains sont des indigènes, les vaisseaux, des vestiges architecturaux et les chevaux de trait, blancs, du Boulonnais. L'Empire c'est l'amplitude du monde, mais son peuplement est binaire, les Uns d’un côté, les Zéros de l'autre. Il semble habité par des personnages sidérants, outrés, tantôt natures, tantôt surnaturels. Leur burlesque extrême flirte parfois avec le malaisant ! Dès lors, les acteurs amateurs qui se marrent en disant leur réplique, la diction approximative, les mots incompréhensibles et les voix synthétiques volontairement inaudibles consolident l'impression de vertige. Il faut bien reconnaître qu'on n'est jamais loin du gouffre ! C’est drôle sans le vouloir, irrésistible même ! "Celui qui touche à mon Fredy, il a 2 claques dans sa gueule." "Elle a poussé la glycine" scandait Luchini dans "Ma Loute". Là c'est "apocalypse, apocalypse !" Grande folie et immense maîtrise à la fois ! Un exemple ? Le vaisseau de Belzébuth, simple pêcheur par ailleurs, c'est le château du roi Soleil et son immense parc qui le prolonge...
L'Empire est un film majeur ; il vient de remporter le prix du jury à la Berlinale 2024, une distinction amplement méritée.
L'Empire est un film majeur ; il vient de remporter le prix du jury à la Berlinale 2024, une distinction amplement méritée.
0/5
Le pire film jamais vu !!
Scénario, jeu des acteurs, effets spéciaux nuls !!!
Affligeant !!
Luchini est difficilement reconnaissable,
Entaché par tant de nullité
A fuir !!!!
Le pire film jamais vu !!
Scénario, jeu des acteurs, effets spéciaux nuls !!!
Affligeant !!
Luchini est difficilement reconnaissable,
Entaché par tant de nullité
A fuir !!!!
Il y a une chose que l’on nome créativité . Depuis Quinquin etc j apprécie le réalisateur . Cette créativité est devenue rare, quasi inexistante, marginal plutôt , dans la plupart des domaines artistiques . Les œuvres dominantes encensées sont convenables plus que originales . Celles que l’on prime un peu trop pour être si bonne dans des messes culturelles appartiennent à la production commerciale culturelle , rarement à l’invention artistique. (Les Césars le démontre )
L empire , est un superbe film, fin intelligent , poétique , qui parle avec pertinence de notre époque,. C est comme la création musicale contemporaine . À la marge , peu de publics , mais dernier lieu ou l on trouve de l’invention musicale
. À lire les nombreuses critiques négatives du film, le public comme les critiques passent à côtés ou aiment l invariabilité de leur confort ou de ne pas être sorti du cadre , même avec finesse . Comment ce film peut être si méprisé et incompris ? Qu est que ça dit de la période ?
Les acteurs .trices décalé.es du film pro ou amateur.trices produisent une extraordinaire vérité humaniste sensible et un humour naturaliste parfait. La vérité de notre existence est dans ce film sans pathos, composé de la juste bouffonnerie, niveau le plus élevé du talent et de l originalité .
Les références culturelles au second degré sont nombreuses . Ce film est également à l’opposer des propos polémiques , d’ Adel Haenel qui s est projetée dans son moi je , plus que dans le contenu réel du film . Peu importe ,d’autres sont la avec grand talent ,sensibilité humanité . C’est un film rare car plus original et artistique que la plupart. Mème ce qui ralenti le temps y est indispensable, ,C’est au spectateur de faire fonctionner son cerveau un peu . Les quelques scènes de sex anecdotiques sont marrantes ridicules intelligentes, filmées de loin dans un super décor naturel , rare . .Ce film mériterai des salles remplies de spectateurs pour reparler et vivre ce qu’est la création artistique, au cinéma en France etc .( On passe totalement à côté d oeuvre de création artistique aujourd’hui, pour des produits culturels normés ).
L empire , est un superbe film, fin intelligent , poétique , qui parle avec pertinence de notre époque,. C est comme la création musicale contemporaine . À la marge , peu de publics , mais dernier lieu ou l on trouve de l’invention musicale
. À lire les nombreuses critiques négatives du film, le public comme les critiques passent à côtés ou aiment l invariabilité de leur confort ou de ne pas être sorti du cadre , même avec finesse . Comment ce film peut être si méprisé et incompris ? Qu est que ça dit de la période ?
Les acteurs .trices décalé.es du film pro ou amateur.trices produisent une extraordinaire vérité humaniste sensible et un humour naturaliste parfait. La vérité de notre existence est dans ce film sans pathos, composé de la juste bouffonnerie, niveau le plus élevé du talent et de l originalité .
Les références culturelles au second degré sont nombreuses . Ce film est également à l’opposer des propos polémiques , d’ Adel Haenel qui s est projetée dans son moi je , plus que dans le contenu réel du film . Peu importe ,d’autres sont la avec grand talent ,sensibilité humanité . C’est un film rare car plus original et artistique que la plupart. Mème ce qui ralenti le temps y est indispensable, ,C’est au spectateur de faire fonctionner son cerveau un peu . Les quelques scènes de sex anecdotiques sont marrantes ridicules intelligentes, filmées de loin dans un super décor naturel , rare . .Ce film mériterai des salles remplies de spectateurs pour reparler et vivre ce qu’est la création artistique, au cinéma en France etc .( On passe totalement à côté d oeuvre de création artistique aujourd’hui, pour des produits culturels normés ).
Il y a des idées de génie dans L'empire, des vaisseaux cathédrales en plein milieu des champs, des entraînements au sabre laser à la campagne ou des dialogues absurdes assez irrésistibles et pourtant il manque un ingrédient pour que la réussite soit franche. On s'attend à un prolongement à Ptit Quinquin et à Coin Coin et les Zinhumains, mais le film n'est pas une série et ne prend pas assez le temps d'installer totalement ses personnages et situations. L'empire aurait mérité un développement en série pour développer ses arcs narratifs et pousser plus loin le degré de l'absurde et de la poésie que Dumont maîtrise parfaitement. Naturaliste et irrealiste à la fois, parfois proche d'un cinéma bis fauché tout en déployant des moyens conséquents, L'empire a au moins le mérite de sortir des sentiers battus. L'abattage des acteurs non professionnels et de Luchini, en roue libre, participe à la réussite de ce long-métrage atypique.
Sylvain P
Star Wars dans le Pas-de-Calais. On rit juste un peu, car on sait qu'on rit pour de mauvaises raisons. En revanche, on se moque complètement de l'enjeu de cette guerre inter-galactique : A qui souhaiter la victoire quand le Mal n'est pas vraiment maléfique, et le Bien est d'un ennui mortel ? Si on aime le décallage, l'idée saugrenue, les effets visuels dans des campagnes de France, on reste imperméable au mauvais jeu des acteurs pro et non-pro et à cette histoire sans rythme.
P'tit Quinquin m'avait ravi mais Ma loute m'avait un peu déçu. L'empire renoue avec le plaisir de voir ce réalisateur atypique, avec notamment sa direction d'acteurs non-professionnels qui est un peu sa marque de fabrique. Toujours beaucoup d'esthétisme dans les images, les paysages de ce secteur de la Manche si particulier et avec ce soleil d'hiver. Une parodie revisitant Star Wars mais qui ne manque pas de gravité et emprunte aux oeuvres intemporelles qui mettent en scène l'âme humaine.
Vraiment une réussite.
Vraiment une réussite.
Avec Bruno Dumont je m'attends à tout. Même à Star War dans les hauts de France, Carpentier de passage et des chevaliers en chevaux de trait. Les effets spéciaux sont reussis, le rythme est celui que l'on trouve chez ce réalisateur, c'est à dire parfois lent, comptemplatif. Tout ce décalage me fait rire, c'est assez éloigné de Georges Lucas.
Bruno Dumont a manifestement oublié de s’adjoindre un ou une scénariste et ça se voit!! Par contre il a découvert de nouveaux jouets avec les effets spéciaux dont il use et abuse. Tout ceci fait un pudding sans queue ni tête… vouloir faire un pastiche normand de Star Wars pourquoi pas. Encore faut il avoir le début de la capacité de travail de George Lucas.. on en est loin! Et c est bizarre qu’il soit suivi par tant de financiers qui n’ont pas demandé à lire le projet!
Bref, quand vous avez vu la bande annonce vous avez tout vu.. et le reste est épuisant à regarder.
C’est désolant de prétention et de paresse! Après il aime bien lui aussi voir les fesses de jolies jeunes femmes.. c’est cool qu’on lui donne les moyens de faire ça en mode XXL avec des vaisseaux spacieux en plus!
Le nouvel enfant gâté et gâteux du cinéma français est né!
Bref, quand vous avez vu la bande annonce vous avez tout vu.. et le reste est épuisant à regarder.
C’est désolant de prétention et de paresse! Après il aime bien lui aussi voir les fesses de jolies jeunes femmes.. c’est cool qu’on lui donne les moyens de faire ça en mode XXL avec des vaisseaux spacieux en plus!
Le nouvel enfant gâté et gâteux du cinéma français est né!
un film complètement barré, peut-être même un peu trop, pour un public non averti de l oeuvre de Bruno Dumont, qui est un réalisateur donc son univers est inclassable dans le cinéma français.
L’Empire c’est la « Guerre des Étoiles » chez les ch’tis, « Dune » dans celles de sable de la Côte d’Opale. Il faut reconnaître une certaine audace au réalisateur qui signe une œuvre sidérale pas sidérante mais sacrément délirante. Après ça reste un film de Bruno Dumont donc il faut être prêt à regarder des gags qui font flop et accepter une direction d’acteurs très particulière. Mais c’est le premier que j’arrive à regarder jusqu’au bout.
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