Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Transfuge
par Serge Kaganski
"L'Empire", c'est le collage audacieux et frankensteinien entre le Pas-de-Calais et le lointain intergalactique, entre l'éther du ciel et la glaise de la terre, un film "monstrueux", un projet-freak (et pas franchement fric) qui assemblerait Dreyer, Bresson, Mocky, les frères Dardenne et Lucas pour représenter la rencontre entre "P'tit Quinquin", "Wonderwoman" et "Satan".
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est du délire et ça fait bien fou !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
Un film fou, 100% corrosif mais tellement drôle.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Bruno Dumont nous prend encore là où on ne l’attendait pas, trouve l’esthétique et le ton pour mettre en boîte avec révérence le "space opera" hollywoodien, dans un environnement où il n’aurait, sans lui, rien à y faire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur transpose l’univers de Star Wars dans sa région natale et réunit le naturel et le surnaturel dans une comédie aussi irrésistible que brillante sur la condition humaine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les allergiques passeront vite leur chemin, le rythme n’étant pas celui de la bande-annonce, véritable feu d’artifice. Les autres exulteront devant tant d’images résolument inédites sur un écran de cinéma. Toujours cette dualité. Et si Dumont avait raison ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par M. Jo.
C’est précisément cette union qui donne au film son étrange beauté hybride, mêlant profane et sacré : un sabre laser qui frôle le visage à peine maquillé d’une actrice, un ballet de vaisseaux spatiaux en plein jour, des dialogues sortis tout droit de Star Wars mais récités au milieu de pavillons.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Sidéral… et sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Il n’y a pas d’élévation, au sens divin du terme, chez les personnages de Dumont : la transcendance résulte de la simple et pourtant miraculeuse expérience sensitive du bruissement de l’univers. Parce que le chaos et la grâce cohabitent à chaque image, L’Empire nous fait entendre la mélodie de ce monde en perpétuel mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Grâce à une accumulation de bonnes idées minimalistes, le cinéaste déride le registre épique à la sauce guerre intergalactique en pays chti.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
En accumulant les dissonances [...], Dumont effectue donc un geste d'une grande insolence, à l'heure où le cinéma est menacé par le formatage et le puritanisme.
Paris Match
par Yannick Vely
Mais ce décalage n’est pas ce qu’on apprécie le plus dans « L’Empire ». Elle fait rire les conquis à son humour si particulier et nous éloigne de l’essentiel : l’audace du projet, la beauté de la mise en scène et la manière magnifique dont Bruno Dumont filme la Côte d’Opale, ses paysages, ses hommes et ses chevaux, le tout dans le contexte d’un film de science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Au-delà des motifs qui renvoient aux anciens films de Dumont, ce qu’on retient d’abord de ce portrait de l’humanité au bord du gouffre, c’est le plaisir. Plaisir d’un film qui ne ressemble à aucun autre, où l’on s’amuse beaucoup, et dont certaines visions apocalyptiques ne m’ont pas quitté trois semaines après la projection.
Télérama
par Samuel Douhaire
Toujours aussi décalé, le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un space opera burlesque sur ses terres du Nord. Un pari perché, parfaitement maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Ce burlesque extrême jusqu’au malaise nous rappelle combien le rire n’est pas naturel chez Dumont, mais relève souvent d’un encanaillement où il n’échappe pas à sa nature fondamentalement sérieuse et sceptique. Plus il fait du spectacle, plus il est contre le spectacle ; plus il fait de la métaphysique, plus il est anti-métaphysique, si bien que la croyance enfantine du début se dissout ici dans une farce nihiliste.
Critikat.com
par Josué Morel
Pour le meilleur et pour le pire, "L’Empire" synthétise la trajectoire sinusoïdale des derniers films de Bruno Dumont, émaillée de déceptions, mais aussi de quelques éclats. On ne sait pas si le metteur en scène retrouvera un jour les sommets qu’il a délaissés, mais la flamme de son cinéma brûle en tout cas toujours un peu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Quand Bruno Dumont pastiche la science-fiction populaire, c'est uniquement pour lui opposer sa vision d'une humanité fluctuante, spontanée. Au bénéfice d'une poésie grotesque ? Au prix d'un mépris du genre et de la conscience politique de ses sujets ? Nous-mêmes n'en sommes toujours pas certains.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
À la fois spectaculaire et intime, intellectuel et loufoque, cet Ovni qui respire la patte de son inclassable auteur.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Cette version ch’ti de Stars Wars transpose une guerre intergalactique dans le nord de la France. Hilarant mais trop long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Une fable pleine de liberté et de fantaisie, qui marque le retour des gendarmes bras cassés désormais légendaires de P’tit Quinquin (2014).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La Rédaction
Mélange d'acteurs reconnus et de non-professionnels, comme Dumont en a l'habitude, L'Empire se moque gentiment de ses modèles tout en soignant de stupéfiants effets spéciaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Une proposition de cinéma bien secouée mais qui suinte la misanthropie. Malgré tout, la composition remarquable de Anamaria Vartolomei sauve bien des choses.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Inclassable comme toujours un film de Bruno Dumont, {L'Empire} alterne entre de franches bonnes idées, des incises cinématographiques, de la fantaisie et quand même une véritable paresse dans le scénario.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thomas Baurez
Le geste de Dumont semble détaché des sentiments, ceux-là même qui par une empathie fusse-t-elle malsaine, nous faisaient vibrer dans ces films précédents. Le bordel n’est ici ni joyeux ni généreux. Le naturalisme perverti produit certes un trouble mais qui se referme peu à peu sur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
"L'Empire", c'est le collage audacieux et frankensteinien entre le Pas-de-Calais et le lointain intergalactique, entre l'éther du ciel et la glaise de la terre, un film "monstrueux", un projet-freak (et pas franchement fric) qui assemblerait Dreyer, Bresson, Mocky, les frères Dardenne et Lucas pour représenter la rencontre entre "P'tit Quinquin", "Wonderwoman" et "Satan".
20 Minutes
C’est du délire et ça fait bien fou !
Elle
Un film fou, 100% corrosif mais tellement drôle.
Franceinfo Culture
Bruno Dumont nous prend encore là où on ne l’attendait pas, trouve l’esthétique et le ton pour mettre en boîte avec révérence le "space opera" hollywoodien, dans un environnement où il n’aurait, sans lui, rien à y faire.
La Croix
Le réalisateur transpose l’univers de Star Wars dans sa région natale et réunit le naturel et le surnaturel dans une comédie aussi irrésistible que brillante sur la condition humaine.
La Voix du Nord
Les allergiques passeront vite leur chemin, le rythme n’étant pas celui de la bande-annonce, véritable feu d’artifice. Les autres exulteront devant tant d’images résolument inédites sur un écran de cinéma. Toujours cette dualité. Et si Dumont avait raison ?
Le Monde
C’est précisément cette union qui donne au film son étrange beauté hybride, mêlant profane et sacré : un sabre laser qui frôle le visage à peine maquillé d’une actrice, un ballet de vaisseaux spatiaux en plein jour, des dialogues sortis tout droit de Star Wars mais récités au milieu de pavillons.
Le Parisien
Sidéral… et sidérant.
Les Inrockuptibles
Il n’y a pas d’élévation, au sens divin du terme, chez les personnages de Dumont : la transcendance résulte de la simple et pourtant miraculeuse expérience sensitive du bruissement de l’univers. Parce que le chaos et la grâce cohabitent à chaque image, L’Empire nous fait entendre la mélodie de ce monde en perpétuel mouvement.
Libération
Grâce à une accumulation de bonnes idées minimalistes, le cinéaste déride le registre épique à la sauce guerre intergalactique en pays chti.
Mad Movies
En accumulant les dissonances [...], Dumont effectue donc un geste d'une grande insolence, à l'heure où le cinéma est menacé par le formatage et le puritanisme.
Paris Match
Mais ce décalage n’est pas ce qu’on apprécie le plus dans « L’Empire ». Elle fait rire les conquis à son humour si particulier et nous éloigne de l’essentiel : l’audace du projet, la beauté de la mise en scène et la manière magnifique dont Bruno Dumont filme la Côte d’Opale, ses paysages, ses hommes et ses chevaux, le tout dans le contexte d’un film de science-fiction.
Positif
Au-delà des motifs qui renvoient aux anciens films de Dumont, ce qu’on retient d’abord de ce portrait de l’humanité au bord du gouffre, c’est le plaisir. Plaisir d’un film qui ne ressemble à aucun autre, où l’on s’amuse beaucoup, et dont certaines visions apocalyptiques ne m’ont pas quitté trois semaines après la projection.
Télérama
Toujours aussi décalé, le réalisateur de “P’tit Quinquin” orchestre un space opera burlesque sur ses terres du Nord. Un pari perché, parfaitement maîtrisé.
Cahiers du Cinéma
Ce burlesque extrême jusqu’au malaise nous rappelle combien le rire n’est pas naturel chez Dumont, mais relève souvent d’un encanaillement où il n’échappe pas à sa nature fondamentalement sérieuse et sceptique. Plus il fait du spectacle, plus il est contre le spectacle ; plus il fait de la métaphysique, plus il est anti-métaphysique, si bien que la croyance enfantine du début se dissout ici dans une farce nihiliste.
Critikat.com
Pour le meilleur et pour le pire, "L’Empire" synthétise la trajectoire sinusoïdale des derniers films de Bruno Dumont, émaillée de déceptions, mais aussi de quelques éclats. On ne sait pas si le metteur en scène retrouvera un jour les sommets qu’il a délaissés, mais la flamme de son cinéma brûle en tout cas toujours un peu.
Ecran Large
Quand Bruno Dumont pastiche la science-fiction populaire, c'est uniquement pour lui opposer sa vision d'une humanité fluctuante, spontanée. Au bénéfice d'une poésie grotesque ? Au prix d'un mépris du genre et de la conscience politique de ses sujets ? Nous-mêmes n'en sommes toujours pas certains.
L'Ecran Fantastique
À la fois spectaculaire et intime, intellectuel et loufoque, cet Ovni qui respire la patte de son inclassable auteur.
Le Figaro
Cette version ch’ti de Stars Wars transpose une guerre intergalactique dans le nord de la France. Hilarant mais trop long.
Le Journal du Dimanche
Une fable pleine de liberté et de fantaisie, qui marque le retour des gendarmes bras cassés désormais légendaires de P’tit Quinquin (2014).
Le Point
Mélange d'acteurs reconnus et de non-professionnels, comme Dumont en a l'habitude, L'Empire se moque gentiment de ses modèles tout en soignant de stupéfiants effets spéciaux.
Ouest France
Une proposition de cinéma bien secouée mais qui suinte la misanthropie. Malgré tout, la composition remarquable de Anamaria Vartolomei sauve bien des choses.
aVoir-aLire.com
Inclassable comme toujours un film de Bruno Dumont, {L'Empire} alterne entre de franches bonnes idées, des incises cinématographiques, de la fantaisie et quand même une véritable paresse dans le scénario.
Première
Le geste de Dumont semble détaché des sentiments, ceux-là même qui par une empathie fusse-t-elle malsaine, nous faisaient vibrer dans ces films précédents. Le bordel n’est ici ni joyeux ni généreux. Le naturalisme perverti produit certes un trouble mais qui se referme peu à peu sur lui-même.