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Votre avis sur Hokusai ?
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Très mauvais film. Le thème et le personnage évoqué sont interessants et auraient pu être traité de meilleur façon . Le film est très impersonnel, pas d'attachement au personnages, écrit avec les pieds, de la lenteur gratuite et donc un ennuie absolu. Des sauts dans le temps sans aucune explication, un contexte politique jamais exploité, le thème de l'art et de pourquoi il change les choses en tant qu'artiste jamais exploité, en gros on voit une espèce de personne autiste qui n'a rien a faire de personne, on ne comprend jamais qu'est ce qui le motive vraiment à dessiner, les dialogues sont plats à mourir et les personnages secondaires , completement inexistant.
Une étoile parce que esthétiquement c'est pas mal, il y a des belles tentatives de temps en temps meme si la plupart du film se fait à l'intérieur et donc limite beaucoup les possibilités
Une étoile parce que esthétiquement c'est pas mal, il y a des belles tentatives de temps en temps meme si la plupart du film se fait à l'intérieur et donc limite beaucoup les possibilités
Des scènes poétiques du Japon pendant l'ère Edo sous un shogunat stricte où la censure fait rage. La beauté des paysages nous rappelle que la nature domine l'Humain. Le peintre Hokusai trouve enfin sa voie grâce à cette nature et se démarque des autres en produisant des ukiyo-e en rapport avec la mer et le Mont Fuji. Merveilleux biopic sur ce grand personnage Japonais avec des plans poétiques qui nous laissent admirer le pays du soleil levant sous une autre forme.
À la fin du 18e siècle dans la ville d'Edo au Japon, un libraire controversé cherche sans cesse de nouveaux artistes à mettre sur le devant de la scène culturelle afin que le monde le reconnaisse comme chasseur de talents. Il rencontre celui qui deviendra Hokusai et participe à lui apporter de la maturité dans son œuvre, malgré le danger. En salle le 26 avril.
spoiler: Hokusai est une histoire très esthétique sur le plan visuel et musical : on prend beaucoup de plaisir à contempler les décors et costumes de l'ère Edo et certaines scènes sont superbes. Malheureusement, j'ai trouvé l'intrigue assez pauvre et asséchée. Il ne se passe pas grand-chose et même si elle fait partie du contexte, la répression des artistes par les samurais ne concerne pas directement Hokusai. On sent que les scénaristes sont obligés de gratter assez loin autour de la vie de l'homme pour avoir du contenu.
spoiler: Hokusai est une histoire très esthétique sur le plan visuel et musical : on prend beaucoup de plaisir à contempler les décors et costumes de l'ère Edo et certaines scènes sont superbes. Malheureusement, j'ai trouvé l'intrigue assez pauvre et asséchée. Il ne se passe pas grand-chose et même si elle fait partie du contexte, la répression des artistes par les samurais ne concerne pas directement Hokusai. On sent que les scénaristes sont obligés de gratter assez loin autour de la vie de l'homme pour avoir du contenu.
J ai ete decue. On ne comprend pas vraiment pourquoi on passe tres rapidement du Hokusai jeune a celui d un age avancé. Le film est assez incompréhensible. Il semblerait que le film a ete coupé par rapport a la version initiale. Dommage
Yves G.
Katsushika Hokusai est un peintre japonais dont la vie enjambe les dix-huitième et dix-neuvième siècles. Il est devenu universellement célèbre avec "La Grande vague de Kanagawa", la première estampe de la série Trente-six vues du mont Fuji, réalisée en 1830 ou 1831.
Sorti fin 2020 au Japon, "Hokusai" s’annonce comme un biopic très classique. D’ailleurs son classicisme est sa principale qualité autant que son premier défaut. On y suit de sa jeunesse jusqu’à sa mort le parcours du dessinateur japonais, son apprentissage auprès du grand éditeur Tsutaya qui se battit contre la censure, l’affirmation de son propre style, à rebours de celui qui était à l’époque de mode, la façon dont il peignit la "Grande Vague" et dont il la coloria avec du bleu de Prusse qui venait d’être introduit dans l’archipel et enfin sa vieillesse auprès de sa fille O-Ei. On y découvre un génie consacrant chaque instant de sa vie à son art (il réalisa plus de trois mille estampes) au point de se laisser dévorer par lui.
"Hokusai" présente une autre particularité qui s’apparenterait presque à un vice de fabrication. Il laisse beaucoup de place aux personnages secondaires. À Tsutaya, l’éditeur de Hokusai, dans la première partie du film. À Tanehiko, un samouraï qui, au mépris des règles qui régissent sa caste, se consacre à l’écriture et dont Hokusai illustre les publications, dans sa seconde partie.
Ces personnages trop développés ont le défaut de nous détourner du personnage principal, de sa vie et de son oeuvre. Ce serait tout à fait loisible, voire utile, dans une série longue de plusieurs heures – dont "Hokusai" donne l’impression d’être une version abrégée. Mais, dans une film de quatre-vingt-dix minutes à peine, ce défaut de construction déséquilibre l’ensemble au risque de lui faire perdre ses bases.
On ne s’ennuie pas devant ce spectacle riche en rebondissements ; mais on en sort avec le besoin pressant d’aller chercher sur Wikipedia les informations que ce film trop confus ne nous a pas fournies.
Sorti fin 2020 au Japon, "Hokusai" s’annonce comme un biopic très classique. D’ailleurs son classicisme est sa principale qualité autant que son premier défaut. On y suit de sa jeunesse jusqu’à sa mort le parcours du dessinateur japonais, son apprentissage auprès du grand éditeur Tsutaya qui se battit contre la censure, l’affirmation de son propre style, à rebours de celui qui était à l’époque de mode, la façon dont il peignit la "Grande Vague" et dont il la coloria avec du bleu de Prusse qui venait d’être introduit dans l’archipel et enfin sa vieillesse auprès de sa fille O-Ei. On y découvre un génie consacrant chaque instant de sa vie à son art (il réalisa plus de trois mille estampes) au point de se laisser dévorer par lui.
"Hokusai" présente une autre particularité qui s’apparenterait presque à un vice de fabrication. Il laisse beaucoup de place aux personnages secondaires. À Tsutaya, l’éditeur de Hokusai, dans la première partie du film. À Tanehiko, un samouraï qui, au mépris des règles qui régissent sa caste, se consacre à l’écriture et dont Hokusai illustre les publications, dans sa seconde partie.
Ces personnages trop développés ont le défaut de nous détourner du personnage principal, de sa vie et de son oeuvre. Ce serait tout à fait loisible, voire utile, dans une série longue de plusieurs heures – dont "Hokusai" donne l’impression d’être une version abrégée. Mais, dans une film de quatre-vingt-dix minutes à peine, ce défaut de construction déséquilibre l’ensemble au risque de lui faire perdre ses bases.
On ne s’ennuie pas devant ce spectacle riche en rebondissements ; mais on en sort avec le besoin pressant d’aller chercher sur Wikipedia les informations que ce film trop confus ne nous a pas fournies.
Le récit d'un peintre qui deviendra "Hokusai", sa difficulté à faire accepter son style, sa lutte contre la censure des samouraïs, sa vie en homme âgée qui luttera jusqu'à à la fin.
Un film quand même intello prise de tête par instant avec les états d'âmes de l'artiste et tout ses excès. Un film tragi dramatique un peu long et lent et qui laisse un peu sur sa faim.
Pour les amateurs d'un certain cinéma
Un film quand même intello prise de tête par instant avec les états d'âmes de l'artiste et tout ses excès. Un film tragi dramatique un peu long et lent et qui laisse un peu sur sa faim.
Pour les amateurs d'un certain cinéma
« Hokusai » de Hajime Hashimoto (2023). J’attendais beaucoup de ce film car en dehors de sa fameuse grande vague de Kanagawa, je ne connaissais pas son œuvre et encore moins sa vie ! Grosse déception car le réalisateur se focalise sur 2 phases de sa vie : ses débuts où très sûr de son talent il refuse fougueusement l’aide d’un galiériste d’Edo de renom qui trouve un certain charme dans ses estampes. Ce passage nous plonge dans le Japon féodal avec un autodafé des images « malsaines », notre galiériste étant satisfait de la destruction de sa boutique… comme étant un gage de qualité ! A la même époque Hokusai illustre un livre mais sans s’entendre avec l’écrivain. Et puis on saute plus de 50 ans pour retrouver Hokusai vieillissant, toujours solitaire avec sa fille mais devenu célèbre avec pas moins de 30 000 œuvres et accompagné de quelques élèves. Il se lie alors– crime de lèse-majesté – avec le fils d’un Samouraï qui se pourvoit dans l’écriture et sera assassiné pour cela par sa famille.
Un film appréciable sur le plan de la photo mais une grosse déception pour ma part car trop « fermé » aux « ignares » comme moi de l’art japonais de ce peintre, dessinateur et graveur né en 1760 à Edo et mort en 1849, et de la société japonaise de cette époque.
Un film appréciable sur le plan de la photo mais une grosse déception pour ma part car trop « fermé » aux « ignares » comme moi de l’art japonais de ce peintre, dessinateur et graveur né en 1760 à Edo et mort en 1849, et de la société japonaise de cette époque.
La Grande Vague de Kanagawa est l'œuvre la plus connue et emblématique de l'art nippon, Hokusai son créateur, et ce film son histoire. Tous les passionnés du Japon seront ravis d'être projeté de manière ultra-réaliste avec une photographie, des décors et des costumes sublimes, dans l'ère Edo, celle où le pays s'est coupé du monde, ce qui a donné sans doute sa "différence" perpétuelle qui est si impressionnante. Mais malheureusement ce biopic est très académique, ni inspiré, ni passionnant et au final plutôt ennuyeux (et encore il a été raboté de 40 minutes!). Un coup de sabre dans l'eau.
Hokusai peintre prolifique extraordinaire et précurseur vu par un tout petit bout de la lorgnette : une de ses œuvres majeures; mais il y avait tellement plus à montrer, que je suis resté vraiment déçu du résultat final.
Très esthétique mais le film souffre d'un scénario trop disparatre entre la période de jeunesse du peintre et sa vieillesse. On passe avec une vitesse fulgurante du jeune au vieux dans une temporalité impossible à "digérer". L'ellipse temporelle n'est pas maîtrisée si bien que l'on se perd et c'est bien dommage car la photo est somptueuse. Une photo sublime ne suffit pas à tenir éveillé le spectateur. Dans la salle nous étions quatre et j'étais la seule à ne pas ronfler.
Ne mérite pas le détour. La seule chose que l’on peut en tirer c’est qu’il existait une censure violente à cette époque. C’est bien mince et pas du tout surprenant . Si vous souhaitez voir le film pour le côté peinture, passez votre chemin. Seulement quelques gribouillis en direct. Contenu vraiment « vague » ce qui est un comble.
Plat, ennuyeux et peu élogieux. Le film manque de dynamisme, dans le fond comme dans la forme. Hokusai est réduit à la grande vague... L'univers iconographique et architectural japonais reste le plu intéressant du film.
weihnachtsmann
J'ai regardé ce film avec l'espoir de retrouver le coréen "ivre de femmes et de peinture". Force est de constater que son aîné est de beaucoup supérieur à lui.
J'y vois déjà beaucoup moins de poésie et de peinture. Trop peu d'introspection aussi et une narration peu claire.
Une déception donc même s'il restera quelques fulgurances visuelles sur la peinture.
J'y vois déjà beaucoup moins de poésie et de peinture. Trop peu d'introspection aussi et une narration peu claire.
Une déception donc même s'il restera quelques fulgurances visuelles sur la peinture.
Un biopic très classique, bien interprété, d'une grande beauté formelle, mais qui reste trop conventionnel.
Sublime sur sa forme, Hokusai pèche par une écriture chaotique. Il est difficile de suivre le fil du récit, et de ses différents personnages. Quelques scènes, notamment lors des phases de création de l'artiste sont à couper le souffle... Mais dans l'ensemble, ce Hokusai est une énorme déception
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