Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un portrait de femme bouleversant, immersif et brillamment mis en scène, au delà de toute polémique
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un film fort servi par un casting épatant [...].
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CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Brut et traversé de fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par La Rédaction
Une énergie à couper le souffle.
Franceinfo Culture
par Camille Bigot
Caméra à l’épaule, Lola Quivoron suit chaque figure pour un rendu sous adrénaline, ultra dynamique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Rodeo prouve qu’on peut être flamboyant, social et nerveux, sans que l’un n’empiète sur l’autre.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Les petits larcins cèdent le pas au projet d’un casse ambitieux, voilà pour la partie polar. Mais le plus intéressant est la plongée d’une jeune fille dans un monde masculin, où elle se fera amis et ennemis.
Le Figaro
par O.D.
Alors que ces dernières semaines, le sujet des rodéos urbains a beaucoup occupé l'actualité, le film mérite qu'on s'y intéresse. (...) C'est heurté, enfiévré, dangereux. Mais tellement vivant ! L'adrénaline remplace l'essence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, tourné à l’estomac, fait feu de tout bois et de tous genres (western, polar, fantastique…) et révèle en Lola Quivoron, qui signe son premier long métrage, un sacré tempérament de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Le Parisien
L’ensemble dégage une énergie folle qui fait de ce premier film une œuvre puissante, dont on se souvient longtemps après.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sur un scénario minimal, Lola Quivoron propose une plongée dans le monde clandestin du « cross bitume ». Un premier film baigné de vapeurs d'essence, revêche et séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Ce premier film audacieux révèle un personnage flamboyant, brûlant chaque instant, dans un geste de cinéma prometteur, où l’on ne regrette qu’un final décevant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Tout ce chahut ressemble à la vie telle qu’on la rêve avec fièvre au cinéma. Naturalisme vorace, coupé à l’onirisme par moments parce que c’est comme ça que le jeune cinéma français se plaît à le faire en ce moment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Une plongée saisissante dans l’univers de la moto dont [Lola Quivoron] saisit la puissance et la grâce.
Ouest France
par Thierry Cheze
Révélant la fascinante Julie Kedru, ce film vaut mille fois mieux que la polémique qui l'a entouré à Cannes.
Positif
par William Le Personnic
Par son caractère insaisissable et irascible, le premier long métrage de Lola Quivoron passionne et intrigue.
Sud Ouest
par Céline Musseau
Une oeuvre puissante.
Transfuge
par Serge Kaganski
C’est un film-comète, libre, rugueux, imparfait (c’est filmé parfois tellement près des corps qu’on manque d’air, on ne comprend pas tous les détails scénaristiques, mais cela a peu d’importance), un film physique qui brûle tous ses vaisseaux pour saisir une morale peu consensuelle : celle de tous ceux et celles qui depuis le guerrier grec Achille préfèrent vivre vite, dans les sensations extrêmes, et mourir jeune.
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec ce premier film Lola Quivoron démarre à fond les manettes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un premier film rageux et sensuel.
Bande à part
par Isabelle Danel
Un premier long-métrage au féminin, plein de bruit et de fureur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper Hadjian
La démarche de Lola Quivoron (...) force surtout le respect par le choix d’un traitement qui dépasse le naturalisme en combinant la présence rugueuse, parfois agressive, des textures, des couleurs et des sons avec des accents mystiques, frôlant le fantastique (...).
Ecran Large
par La rédaction
Si on sent la cinéaste moins assurée dans son découpage, oscillant entre séquences motorisées hypnotiques et dialogues trop balisés, son premier long-métrage de fiction demeure une très belle proposition, portée par l'énergique Julie Ledru.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Dans Rodeo, Julie Ledru est insaisissable, animale, agressive, charmeuse, déroutante. D’autant que l’intrigue prend des chemins de traverse qui surprennent, et nous laisse dans l’inconfort. C’est la force et la faiblesse du film, selon qu’on accepte ou pas de se laisser porter par la fascination de la cinéaste pour une pratique décriée où le flirt avec la mort est permanent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par N. S.
Porté par des (non) acteurs plus vrais que nature, et malgré quelques maladresses (notamment scénaristiques), « Rodeo » révèle un instinct, une vraie niaque de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si le scénario ménage des zones d’ombre, la caméra impressionniste restitue les sensations de la jeune femme indomptable, grisée par la vitesse, qui finit par trouver la famille qui lui faisait défaut.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Dans Rodeo, tout est en place. On y sent une maîtrise et un talent de mise en scène assez spectaculaires. Ce qu’on regrette cependant, c’est que l’ensemble soit un peu trop sage, appliqué et manque parfois de folie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Dès lors, quand la cinéaste approche de trop près les rives du réalisme social, le film perd immédiatement en intensité. Rodeo reste un film d’équilibriste autour d’une flibustière du bitume, une amazone aux yeux clairs… La (super-) héroïne avance de sas en sas, non pas pour revendiquer le droit de vivre, mais celui de renaître, enfin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Marin Gérard
L’ambition de Rodeo, on le comprend assez vite, sera de vrombir. S'il y parvient non sans panache lors des cascades impressionnantes auxquelles la caméra embarquée paraît presque prendre part, le scénario maintient toutefois quelque peu le film dans une dynamique de surplace.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Précédé d’une réputation à la fois élogieuse et sulfureuse, ce premier film ambitieux, porté par le charisme de son actrice principale, Julie Ledru, a du mal à tenir ses promesses jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Marianne
par Olivier De Bruyn
(...) si la puissance de la mise en scène, dans le genre naturaliste évidemment pétaradant, est indéniable, la vacuité du scénario et la profondeur toute relative des personnages interrogent, voire désolent.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
20 Minutes
Un portrait de femme bouleversant, immersif et brillamment mis en scène, au delà de toute polémique
CNews
Un film fort servi par un casting épatant [...].
CinemaTeaser
Brut et traversé de fulgurances.
Elle
Une énergie à couper le souffle.
Franceinfo Culture
Caméra à l’épaule, Lola Quivoron suit chaque figure pour un rendu sous adrénaline, ultra dynamique.
GQ
Rodeo prouve qu’on peut être flamboyant, social et nerveux, sans que l’un n’empiète sur l’autre.
Le Dauphiné Libéré
Les petits larcins cèdent le pas au projet d’un casse ambitieux, voilà pour la partie polar. Mais le plus intéressant est la plongée d’une jeune fille dans un monde masculin, où elle se fera amis et ennemis.
Le Figaro
Alors que ces dernières semaines, le sujet des rodéos urbains a beaucoup occupé l'actualité, le film mérite qu'on s'y intéresse. (...) C'est heurté, enfiévré, dangereux. Mais tellement vivant ! L'adrénaline remplace l'essence.
Le Monde
Le film, tourné à l’estomac, fait feu de tout bois et de tous genres (western, polar, fantastique…) et révèle en Lola Quivoron, qui signe son premier long métrage, un sacré tempérament de cinéma.
Le Parisien
L’ensemble dégage une énergie folle qui fait de ce premier film une œuvre puissante, dont on se souvient longtemps après.
Les Echos
Sur un scénario minimal, Lola Quivoron propose une plongée dans le monde clandestin du « cross bitume ». Un premier film baigné de vapeurs d'essence, revêche et séduisant.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film audacieux révèle un personnage flamboyant, brûlant chaque instant, dans un geste de cinéma prometteur, où l’on ne regrette qu’un final décevant.
Libération
Tout ce chahut ressemble à la vie telle qu’on la rêve avec fièvre au cinéma. Naturalisme vorace, coupé à l’onirisme par moments parce que c’est comme ça que le jeune cinéma français se plaît à le faire en ce moment.
Marie Claire
Une plongée saisissante dans l’univers de la moto dont [Lola Quivoron] saisit la puissance et la grâce.
Ouest France
Révélant la fascinante Julie Kedru, ce film vaut mille fois mieux que la polémique qui l'a entouré à Cannes.
Positif
Par son caractère insaisissable et irascible, le premier long métrage de Lola Quivoron passionne et intrigue.
Sud Ouest
Une oeuvre puissante.
Transfuge
C’est un film-comète, libre, rugueux, imparfait (c’est filmé parfois tellement près des corps qu’on manque d’air, on ne comprend pas tous les détails scénaristiques, mais cela a peu d’importance), un film physique qui brûle tous ses vaisseaux pour saisir une morale peu consensuelle : celle de tous ceux et celles qui depuis le guerrier grec Achille préfèrent vivre vite, dans les sensations extrêmes, et mourir jeune.
Télérama
Avec ce premier film Lola Quivoron démarre à fond les manettes.
Voici
Un premier film rageux et sensuel.
Bande à part
Un premier long-métrage au féminin, plein de bruit et de fureur.
Cahiers du Cinéma
La démarche de Lola Quivoron (...) force surtout le respect par le choix d’un traitement qui dépasse le naturalisme en combinant la présence rugueuse, parfois agressive, des textures, des couleurs et des sons avec des accents mystiques, frôlant le fantastique (...).
Ecran Large
Si on sent la cinéaste moins assurée dans son découpage, oscillant entre séquences motorisées hypnotiques et dialogues trop balisés, son premier long-métrage de fiction demeure une très belle proposition, portée par l'énergique Julie Ledru.
L'Humanité
Dans Rodeo, Julie Ledru est insaisissable, animale, agressive, charmeuse, déroutante. D’autant que l’intrigue prend des chemins de traverse qui surprennent, et nous laisse dans l’inconfort. C’est la force et la faiblesse du film, selon qu’on accepte ou pas de se laisser porter par la fascination de la cinéaste pour une pratique décriée où le flirt avec la mort est permanent.
L'Obs
Porté par des (non) acteurs plus vrais que nature, et malgré quelques maladresses (notamment scénaristiques), « Rodeo » révèle un instinct, une vraie niaque de mise en scène.
Le Journal du Dimanche
Si le scénario ménage des zones d’ombre, la caméra impressionniste restitue les sensations de la jeune femme indomptable, grisée par la vitesse, qui finit par trouver la famille qui lui faisait défaut.
Les Inrockuptibles
Dans Rodeo, tout est en place. On y sent une maîtrise et un talent de mise en scène assez spectaculaires. Ce qu’on regrette cependant, c’est que l’ensemble soit un peu trop sage, appliqué et manque parfois de folie.
Première
Dès lors, quand la cinéaste approche de trop près les rives du réalisme social, le film perd immédiatement en intensité. Rodeo reste un film d’équilibriste autour d’une flibustière du bitume, une amazone aux yeux clairs… La (super-) héroïne avance de sas en sas, non pas pour revendiquer le droit de vivre, mais celui de renaître, enfin.
Critikat.com
L’ambition de Rodeo, on le comprend assez vite, sera de vrombir. S'il y parvient non sans panache lors des cascades impressionnantes auxquelles la caméra embarquée paraît presque prendre part, le scénario maintient toutefois quelque peu le film dans une dynamique de surplace.
La Croix
Précédé d’une réputation à la fois élogieuse et sulfureuse, ce premier film ambitieux, porté par le charisme de son actrice principale, Julie Ledru, a du mal à tenir ses promesses jusqu’au bout.
Marianne
(...) si la puissance de la mise en scène, dans le genre naturaliste évidemment pétaradant, est indéniable, la vacuité du scénario et la profondeur toute relative des personnages interrogent, voire désolent.