Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Efficace et poignant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Béatrice Pollet fait preuve de pédagogie et de bienveillance.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Maud Wyler est très bien dans le rôle d'une femme déjà mère qui accouche sans le savoir.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Ce film, en salles ce mercredi 8 mars, sur une avocate qui n’a pas vu venir son troisième enfant, interroge au plus profond l’incompréhensible, avec un réalisme qui le rend poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Sur un sujet complexe, rarement montré au cinéma, la réalisatrice Béatrice Pollet propose un film rigoureux. La narration est sobre mais jamais froide ou désincarnée, car la cinéaste décrit avec sensibilité les relations entre les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un thriller judiciaire qui, entre pudeur et pédagogie, mêle intimité et justice pour aborder un déni de société bien enfoui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
En s'attachant plutôt qu'en s'attaquant au thème délicat du déni de grossesse, Béatrice Pollet nous livre un salutaire et nouveau témoignage de la place des femmes dans une société s’appropriant trop souvent leur corps, croyant pouvoir le juger voire le condamner comme pouvaient l’être en d’autres temps certaines sorcières.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La rigueur de cadre fait écho au mutisme de l’héroïne et à l’impuissance de son amie. Un film intense dans ses silences.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dans une mise en scène sobre et tendue, se déploie un récit aux accents féministes porté par une interprétation convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Sandra Onana
La fiction semble de fait ramenée au rôle de support didactique sur un phénomène tabou, comme dépouillé de ses contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Maud Wyler brille dans ce rôle de femme sidérée qui ne sait plus lire son corps. Deux seconds rôles étonnants l’accompagnent : Géraldine Nakache, frôlant le morceau de bravoure le temps d’une plaidoirie, et Grégoire Colin, parfait en mari aimant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Catherine Painset
La réalisatrice Béatrice Pollet s’empare d’un tabou mais semble trop intimidée par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Situé pour l’essentiel dans « l’après » – incompréhension de la justice, stupéfaction de l’entourage, impassibilité constante de la mère –, le film joue plutôt la carte de l’enquête et de la pédagogie douce, mais peine à incarner ce grand vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Avec la volonté louable de se plonger dans l’étude d’un sujet de société - la reconnaissance judiciaire du déni de grossesse -, Béatrice Pollet construit un film extrêmement documenté, au point que la fiction s’en trouve parfois délaissée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
La réalisatrice évite le piège du film à sujet par son écriture en profondeur du personnage principal et de l’exploration des racines – multiples et complexes – de ce geste que personne autour d’elle ne comprend. Elle se révèle moins à l’aise dans sa gestion des personnage secondaires comme dans la mise en scène du procès qui pâtit bien malgré elle de la comparaison inévitable avec Saint- Omer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Car derrière une volonté somme toute honorable – s’inspirer d’un fait divers judiciaire pour faire la lumière sur une réalité encore taboue, à savoir le déni de grossesse – le film de Béatrice Pollet, bien trop occupé à instruire son spectateur de ses parénèses, ne nous donne pas grand-chose à voir.
Télé Loisirs
par S.O.
Un film inégal qui peine à dépasser le constat du fait divers par son traitement tendant maladroitement vers le thriller.
BIBA
Efficace et poignant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Béatrice Pollet fait preuve de pédagogie et de bienveillance.
Le Dauphiné Libéré
Maud Wyler est très bien dans le rôle d'une femme déjà mère qui accouche sans le savoir.
Le Parisien
Ce film, en salles ce mercredi 8 mars, sur une avocate qui n’a pas vu venir son troisième enfant, interroge au plus profond l’incompréhensible, avec un réalisme qui le rend poignant.
Sud Ouest
Sur un sujet complexe, rarement montré au cinéma, la réalisatrice Béatrice Pollet propose un film rigoureux. La narration est sobre mais jamais froide ou désincarnée, car la cinéaste décrit avec sensibilité les relations entre les personnages.
aVoir-aLire.com
Un thriller judiciaire qui, entre pudeur et pédagogie, mêle intimité et justice pour aborder un déni de société bien enfoui.
Culturopoing.com
En s'attachant plutôt qu'en s'attaquant au thème délicat du déni de grossesse, Béatrice Pollet nous livre un salutaire et nouveau témoignage de la place des femmes dans une société s’appropriant trop souvent leur corps, croyant pouvoir le juger voire le condamner comme pouvaient l’être en d’autres temps certaines sorcières.
L'Obs
La rigueur de cadre fait écho au mutisme de l’héroïne et à l’impuissance de son amie. Un film intense dans ses silences.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène sobre et tendue, se déploie un récit aux accents féministes porté par une interprétation convaincante.
Libération
La fiction semble de fait ramenée au rôle de support didactique sur un phénomène tabou, comme dépouillé de ses contradictions.
Télérama
Maud Wyler brille dans ce rôle de femme sidérée qui ne sait plus lire son corps. Deux seconds rôles étonnants l’accompagnent : Géraldine Nakache, frôlant le morceau de bravoure le temps d’une plaidoirie, et Grégoire Colin, parfait en mari aimant.
La Voix du Nord
La réalisatrice Béatrice Pollet s’empare d’un tabou mais semble trop intimidée par son sujet.
Le Monde
Situé pour l’essentiel dans « l’après » – incompréhension de la justice, stupéfaction de l’entourage, impassibilité constante de la mère –, le film joue plutôt la carte de l’enquête et de la pédagogie douce, mais peine à incarner ce grand vertige.
Les Fiches du Cinéma
Avec la volonté louable de se plonger dans l’étude d’un sujet de société - la reconnaissance judiciaire du déni de grossesse -, Béatrice Pollet construit un film extrêmement documenté, au point que la fiction s’en trouve parfois délaissée.
Première
La réalisatrice évite le piège du film à sujet par son écriture en profondeur du personnage principal et de l’exploration des racines – multiples et complexes – de ce geste que personne autour d’elle ne comprend. Elle se révèle moins à l’aise dans sa gestion des personnage secondaires comme dans la mise en scène du procès qui pâtit bien malgré elle de la comparaison inévitable avec Saint- Omer.
Transfuge
Car derrière une volonté somme toute honorable – s’inspirer d’un fait divers judiciaire pour faire la lumière sur une réalité encore taboue, à savoir le déni de grossesse – le film de Béatrice Pollet, bien trop occupé à instruire son spectateur de ses parénèses, ne nous donne pas grand-chose à voir.
Télé Loisirs
Un film inégal qui peine à dépasser le constat du fait divers par son traitement tendant maladroitement vers le thriller.