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27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Virginie Efira est absolument bouleversante dans le rôle de cette femme en lutte.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Habituée aux documentaires, la réalisatrice Delphine Deloget [...] réussit avec brio son passage à la fiction avec ce premier long-métrage bouleversant qui évite le misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Il suffit d’un rien que pour tout bascule : pour sa première fiction, la réalisatrice Delphine Deloget le montre avec application dans un film social porté par un excellent casting, notamment une Virginie Efira parfaite en mère de famille imparfaite.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Encore un très beau rôle pour Virginie Efira.
Franceinfo Culture
par Odile Morain
Rythmé et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Dans un premier long métrage de fiction très réussi, Delphine Deloget filme Virginie Efira en mère célibataire confrontée à la machine administrative qui lui retire la garde de son enfant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un drame haletant et déchirant sur une mère courage confrontée à une erreur judiciaire. Les frères Dardenne ont désormais une sœur, elle est très douée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans Rien à perdre, un drame social palpitant, Virginie Efira se bat contre la machine administrative et judiciaire pour récupérer son fils, placé par les services sociaux. L’actrice est exceptionnelle dans un film très maîtrisé qui, au-delà de son sujet, dresse le portrait contrasté d’une femme refusant obstinément de se plier au système.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Pour incarner cette famille qui ne rentre pas dans les cases traditionnelles de la société sans pour autant être marginale, il fallait une sacrée actrice pour incarner la mère. Virginie Efira fait preuve de tout son talent pour rendre son personnage bouleversant et attachant.
Le Figaro
par Valérie Beck
En maman courage privée de son fils, Virginie Efira impressionne dans ce drame poignant et intense.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cinéaste du réel et du social pleine de sensibilité, Delphine Deloget n’a rien à envier à Ken Loach et aux frères Dardenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par M. Dl.
Rien à perdre ne tranche pas, refuse d’élaborer un discours normatif sur le bien-être de l’enfant… Cette approche détaillée rend le film aussi pertinent qu’exaltant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Delphine Deloget signe un premier long métrage émouvant, dont la force réside dans l’interprétation de ses comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Olivier Sarazin
Le récit, poignant, servi par d’excellents acteurs, ne sombre jamais dans le misérabilisme. Il manque peut-être de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Un film fort en émotions, qui marque autant qu'il interroge, sur un sujet délicat.
Voici
par La Rédaction
Une fiction sociale au ton singulier où des touches d'humour viennent éclairer un réalisme cru.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une première œuvre sincère et courageuse d’une documentariste passée à la fiction.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Face à Virginie Efira, dont le jeu, entre ébahissement et révolte maternelle, fascine par sa capacité à faire surgir la violence de l’accablement du quotidien, se tient une non-moins étonnante India Hair dont la candeur habituelle, en un quasi-contre-emploi, s’accommode de l’intransigeance pavée de bonnes intentions de son personnage d’assistante sociale.
Closer
par J.-P G.
C'est la première fiction de la réalisatrice qui vient du documentaire : elle y met du cœur, mais peut avoir la dent dure. Et même si l'ensemble accroche, le manichéisme comme la sensiblerie ne sont jamais loin.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, Delphine Deloget raconte l'histoire d'une mère qui mène un long combat pour récupérer ses enfants. Réservé aux inconditionnels de Virginie Efira.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Film à « sujet » mené par la journaliste et documentariste Delphine Deloget, son objet est d’abord d’instruire le dossier des placements en foyer après des signalements, et l’emballement contingent d’une administration aveugle aux aléas très variables de l’intimité familiale. Pourtant, et sans jamais faire dérailler le film de sa voie, Virginie Efira ne semble éprouver aucune difficulté à rendre son incarnation passionnante et au-delà.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Les "Efira movies" se suivent mais ne se ressemblent pas. Dans cette nouvelle prestation lumineuse, l'actrice se bat pour garder auprès d'elle son fils que les services sociaux veulent à tout prix lui retirer.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Une nouvelle fois, Virginie Efira se fond, subtile et animale, dans un personnage complexe, quand sa réalisatrice porte un film maîtrisé et simplement humain.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La documentariste Delphine Deloget (Prix Albert-Londres 2015) brosse avec empathie, mais sans complaisance, le portrait d’une mère défaillante. La réalisatrice interroge ce qui reste d’une famille quand elle a explosé, la nécessité d’être séparé, mais aussi la rigidité kafkaïenne des services sociaux, quitte à frôler la caricature.
Télérama
par Frédéric Strauss
Autour de ce personnage, défendu avec beaucoup de cœur par Virginie Efira, la réalisatrice débutante noue un étonnant film social à suspense, genre inusité en France – Rien à perdre évoque parfois les tensions iraniennes d’Une séparation, d’Asghar Farhadi. Côté scénario, la volonté d’une dramaturgie efficace conduit cependant à une simplification du propos (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Yohan Haddad
En choisissant de raconter l’éternel combat de David contre Goliath, Delphine Deloget parvient à faire adhérer le spectateur à sa cause mais peine à montrer les vices de l’administration française en misant tout sur une émotion brute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par La Rédaction
Ce récit, s’il s’avère très bien interprété, pose tout de même quelques soucis, tant il manque d’une vision équilibrée. Car sa réalisatrice prend nettement le parti de la mère dans son affrontement avec les services sociaux, jusqu’à l’extrême.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
Virginie Efira est absolument bouleversante dans le rôle de cette femme en lutte.
CNews
Habituée aux documentaires, la réalisatrice Delphine Deloget [...] réussit avec brio son passage à la fiction avec ce premier long-métrage bouleversant qui évite le misérabilisme.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il suffit d’un rien que pour tout bascule : pour sa première fiction, la réalisatrice Delphine Deloget le montre avec application dans un film social porté par un excellent casting, notamment une Virginie Efira parfaite en mère de famille imparfaite.
Femme Actuelle
Encore un très beau rôle pour Virginie Efira.
Franceinfo Culture
Rythmé et bouleversant.
L'Humanité
Dans un premier long métrage de fiction très réussi, Delphine Deloget filme Virginie Efira en mère célibataire confrontée à la machine administrative qui lui retire la garde de son enfant.
L'Obs
Un drame haletant et déchirant sur une mère courage confrontée à une erreur judiciaire. Les frères Dardenne ont désormais une sœur, elle est très douée.
La Croix
Dans Rien à perdre, un drame social palpitant, Virginie Efira se bat contre la machine administrative et judiciaire pour récupérer son fils, placé par les services sociaux. L’actrice est exceptionnelle dans un film très maîtrisé qui, au-delà de son sujet, dresse le portrait contrasté d’une femme refusant obstinément de se plier au système.
Le Dauphiné Libéré
Pour incarner cette famille qui ne rentre pas dans les cases traditionnelles de la société sans pour autant être marginale, il fallait une sacrée actrice pour incarner la mère. Virginie Efira fait preuve de tout son talent pour rendre son personnage bouleversant et attachant.
Le Figaro
En maman courage privée de son fils, Virginie Efira impressionne dans ce drame poignant et intense.
Le Journal du Dimanche
Cinéaste du réel et du social pleine de sensibilité, Delphine Deloget n’a rien à envier à Ken Loach et aux frères Dardenne.
Le Monde
Rien à perdre ne tranche pas, refuse d’élaborer un discours normatif sur le bien-être de l’enfant… Cette approche détaillée rend le film aussi pertinent qu’exaltant.
Les Fiches du Cinéma
Delphine Deloget signe un premier long métrage émouvant, dont la force réside dans l’interprétation de ses comédiens.
Sud Ouest
Le récit, poignant, servi par d’excellents acteurs, ne sombre jamais dans le misérabilisme. Il manque peut-être de point de vue.
Télé 2 semaines
Un film fort en émotions, qui marque autant qu'il interroge, sur un sujet délicat.
Voici
Une fiction sociale au ton singulier où des touches d'humour viennent éclairer un réalisme cru.
aVoir-aLire.com
Une première œuvre sincère et courageuse d’une documentariste passée à la fiction.
Cahiers du Cinéma
Face à Virginie Efira, dont le jeu, entre ébahissement et révolte maternelle, fascine par sa capacité à faire surgir la violence de l’accablement du quotidien, se tient une non-moins étonnante India Hair dont la candeur habituelle, en un quasi-contre-emploi, s’accommode de l’intransigeance pavée de bonnes intentions de son personnage d’assistante sociale.
Closer
C'est la première fiction de la réalisatrice qui vient du documentaire : elle y met du cœur, mais peut avoir la dent dure. Et même si l'ensemble accroche, le manichéisme comme la sensiblerie ne sont jamais loin.
Les Echos
Dans son premier film, Delphine Deloget raconte l'histoire d'une mère qui mène un long combat pour récupérer ses enfants. Réservé aux inconditionnels de Virginie Efira.
Libération
Film à « sujet » mené par la journaliste et documentariste Delphine Deloget, son objet est d’abord d’instruire le dossier des placements en foyer après des signalements, et l’emballement contingent d’une administration aveugle aux aléas très variables de l’intimité familiale. Pourtant, et sans jamais faire dérailler le film de sa voie, Virginie Efira ne semble éprouver aucune difficulté à rendre son incarnation passionnante et au-delà.
Marie Claire
Les "Efira movies" se suivent mais ne se ressemblent pas. Dans cette nouvelle prestation lumineuse, l'actrice se bat pour garder auprès d'elle son fils que les services sociaux veulent à tout prix lui retirer.
Paris Match
Une nouvelle fois, Virginie Efira se fond, subtile et animale, dans un personnage complexe, quand sa réalisatrice porte un film maîtrisé et simplement humain.
Télé 7 Jours
La documentariste Delphine Deloget (Prix Albert-Londres 2015) brosse avec empathie, mais sans complaisance, le portrait d’une mère défaillante. La réalisatrice interroge ce qui reste d’une famille quand elle a explosé, la nécessité d’être séparé, mais aussi la rigidité kafkaïenne des services sociaux, quitte à frôler la caricature.
Télérama
Autour de ce personnage, défendu avec beaucoup de cœur par Virginie Efira, la réalisatrice débutante noue un étonnant film social à suspense, genre inusité en France – Rien à perdre évoque parfois les tensions iraniennes d’Une séparation, d’Asghar Farhadi. Côté scénario, la volonté d’une dramaturgie efficace conduit cependant à une simplification du propos (...).
Première
En choisissant de raconter l’éternel combat de David contre Goliath, Delphine Deloget parvient à faire adhérer le spectateur à sa cause mais peine à montrer les vices de l’administration française en misant tout sur une émotion brute.
Le Parisien
Ce récit, s’il s’avère très bien interprété, pose tout de même quelques soucis, tant il manque d’une vision équilibrée. Car sa réalisatrice prend nettement le parti de la mère dans son affrontement avec les services sociaux, jusqu’à l’extrême.