Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
Hommage psychédélique frénétique à un artiste multifacettes, Moonage Daydream est une œuvre d’art en soi, dont on sort sonné, des étoiles plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
20 Minutes
par Caroline Vié
Brett Morgen offre une expérience de cinéma immersive et inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Ce documentaire, consacré au chanteur britannique, défie les codes du genre. Au-delà de l’hagiographie, il permet de comprendre sa philosophie de vie et les ressorts de sa création.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Moonage Daydream est fait de ces éclats de réalité, assemblés non pas en une mosaïque représentant son sujet, mais en une boule à facettes dont la lumière changeante altère et transcende sans fin la réalité d’un artiste de toute façon insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Le film vire donc carrément à l’expérience sensorielle, philosophique et métaphysique, bien appuyé par les déclarations du musicien, toujours touchant, parfois abscons, jamais ennuyeux. Un documentaire qui fera date.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Au montage d'archives chronologique, Brett Morgen a préféré réaliser…un portrait halluciné de David Bowie. Il signe une vaste tapisserie de sons et lumières qui culmine en un spectacle ébouriffant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Baptiste Roux
Le principal intérêt du documentaire de Brett Morgen est de proposer, dans sa forme, un traitement mimétique des avatars de Bowie, ces Ziggy, Thin White Duke ou Nathan Adler, à savoir un mashup rugissant et kaléidoscopique qui entre mêle dénotation (les interviews ou concerts) et connotation.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Un documentaire vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Présenté à Cannes en mai dernier, « Moonage Daydream » décrypte la psyché complexe de David Bowie et recèle de formidables archives inédites. Un documentaire hors-format, comme une longue fresque psychédélique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un manque de générosité à l’égard des profanes que l’on ne peut s’empêcher de regretter…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Valentin Denis
Un film inégal, convaincant dans ses moments les plus expérimentaux et nettement moins lorsqu’il devient didactique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Moonage Daydream est un documentaire subjectif, confinant parfois au trip psychédélique. Il traduit la vision morgenienne de l’univers Bowie – il est un point de vue documenté, pour reprendre une formule du cinéaste français Jean Vigo utilisée à une tout autre une époque, dans un autre contexte.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Car c’est une orgie d’images rares. Morgen a même exhumé les plans inédits ou presque d’un documentaire que Bowie, période « Let’s Dance » (1983), avait supervisé en Asie, pendant la tournée Serious Moonlight. Un scoop archéologique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Par sa luxuriance visuelle, ses archives inédites, sa durée, le film de Brett Morgen aurait pu être le document cinématographique définitif sur Bowie. Il y parvient parfois, mais son choix de privilégier l’homme plutôt que le musicien s’avère frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
S’appuyant sur une somme invraisemblable d’archives, le documentaire livre un portrait foutraque mais émouvant de la star britannique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Frédéric Foubert
Une façon pour Morgen de détacher Bowie des contingences historiques et terrestres (à part Brian Eno, ses collaborateurs ne sont pas évoqués) et d’ériger son œuvre en grand tout, d’une cohérence suprême : un spaceship voguant tranquillement vers l’infini.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hugo Cassavetti
Composé d’archives, parfois rares, un documentaire captivant sur les multiples facettes du génie Bowie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le réalisateur nous montre tout simplement le charisme et le génie qui se manifestent dans les traits de cette star incontestable du 20ème siècle. Hélas, le propos s’épuise dans la multiplication des effets stylistiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par L.P.
Mais après une première partie autour du choc Ziggy Stardust, ce film [...] s’essouffle, se perdant dans les méandres d’un propos arty prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le propos n’est pas neuf : Ziggy Stardust était une création géniale et le Bowie pop de « Let’s Dance » s’est mué en un produit de grande consommation. Un postulat normé et réducteur qui limite la réussite de ce portrait d’un génie pur de la musique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le kaléidoscope est ainsi le modèle et le miroir aux alouettes de l’entreprise : si les quelque 140 minutes de montage engendrent parfois la sidération, c’est le plus souvent la frustration qui prend le dessus, tant l’incomplétude arbitraire des extraits proposés et l’oubli d’éléments déterminants dans le parcours terrestre du demi-dieu semblent vouloir faire oublier qu’il fut avant tout un musicien.
Le Figaro
par Olivier Nuc
Ce documentaire consacré à la star anglaise s’attarde sur les années les plus connues sans apporter du neuf. Raté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Olivier Lamm
Boursouflé, tapageur et grandiloquent, le documentaire-megamix de Brett Morgen consacré à la star anglaise noie le spectateur dans une débauche d’images, de musique et de citations aussi vaine que confuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Hommage psychédélique frénétique à un artiste multifacettes, Moonage Daydream est une œuvre d’art en soi, dont on sort sonné, des étoiles plein les yeux.
20 Minutes
Brett Morgen offre une expérience de cinéma immersive et inoubliable.
L'Humanité
Ce documentaire, consacré au chanteur britannique, défie les codes du genre. Au-delà de l’hagiographie, il permet de comprendre sa philosophie de vie et les ressorts de sa création.
Le Monde
Moonage Daydream est fait de ces éclats de réalité, assemblés non pas en une mosaïque représentant son sujet, mais en une boule à facettes dont la lumière changeante altère et transcende sans fin la réalité d’un artiste de toute façon insaisissable.
Le Parisien
Le film vire donc carrément à l’expérience sensorielle, philosophique et métaphysique, bien appuyé par les déclarations du musicien, toujours touchant, parfois abscons, jamais ennuyeux. Un documentaire qui fera date.
Les Echos
Au montage d'archives chronologique, Brett Morgen a préféré réaliser…un portrait halluciné de David Bowie. Il signe une vaste tapisserie de sons et lumières qui culmine en un spectacle ébouriffant.
Positif
Le principal intérêt du documentaire de Brett Morgen est de proposer, dans sa forme, un traitement mimétique des avatars de Bowie, ces Ziggy, Thin White Duke ou Nathan Adler, à savoir un mashup rugissant et kaléidoscopique qui entre mêle dénotation (les interviews ou concerts) et connotation.
Rolling Stone
Un documentaire vibrant.
Sud Ouest
Présenté à Cannes en mai dernier, « Moonage Daydream » décrypte la psyché complexe de David Bowie et recèle de formidables archives inédites. Un documentaire hors-format, comme une longue fresque psychédélique.
CinemaTeaser
Un manque de générosité à l’égard des profanes que l’on ne peut s’empêcher de regretter…
Critikat.com
Un film inégal, convaincant dans ses moments les plus expérimentaux et nettement moins lorsqu’il devient didactique.
Culturopoing.com
Moonage Daydream est un documentaire subjectif, confinant parfois au trip psychédélique. Il traduit la vision morgenienne de l’univers Bowie – il est un point de vue documenté, pour reprendre une formule du cinéaste français Jean Vigo utilisée à une tout autre une époque, dans un autre contexte.
L'Obs
Car c’est une orgie d’images rares. Morgen a même exhumé les plans inédits ou presque d’un documentaire que Bowie, période « Let’s Dance » (1983), avait supervisé en Asie, pendant la tournée Serious Moonlight. Un scoop archéologique.
Les Fiches du Cinéma
Par sa luxuriance visuelle, ses archives inédites, sa durée, le film de Brett Morgen aurait pu être le document cinématographique définitif sur Bowie. Il y parvient parfois, mais son choix de privilégier l’homme plutôt que le musicien s’avère frustrant.
Les Inrockuptibles
S’appuyant sur une somme invraisemblable d’archives, le documentaire livre un portrait foutraque mais émouvant de la star britannique.
Première
Une façon pour Morgen de détacher Bowie des contingences historiques et terrestres (à part Brian Eno, ses collaborateurs ne sont pas évoqués) et d’ériger son œuvre en grand tout, d’une cohérence suprême : un spaceship voguant tranquillement vers l’infini.
Télérama
Composé d’archives, parfois rares, un documentaire captivant sur les multiples facettes du génie Bowie.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur nous montre tout simplement le charisme et le génie qui se manifestent dans les traits de cette star incontestable du 20ème siècle. Hélas, le propos s’épuise dans la multiplication des effets stylistiques.
Le Journal du Dimanche
Mais après une première partie autour du choc Ziggy Stardust, ce film [...] s’essouffle, se perdant dans les méandres d’un propos arty prétentieux.
Paris Match
Le propos n’est pas neuf : Ziggy Stardust était une création géniale et le Bowie pop de « Let’s Dance » s’est mué en un produit de grande consommation. Un postulat normé et réducteur qui limite la réussite de ce portrait d’un génie pur de la musique.
Cahiers du Cinéma
Le kaléidoscope est ainsi le modèle et le miroir aux alouettes de l’entreprise : si les quelque 140 minutes de montage engendrent parfois la sidération, c’est le plus souvent la frustration qui prend le dessus, tant l’incomplétude arbitraire des extraits proposés et l’oubli d’éléments déterminants dans le parcours terrestre du demi-dieu semblent vouloir faire oublier qu’il fut avant tout un musicien.
Le Figaro
Ce documentaire consacré à la star anglaise s’attarde sur les années les plus connues sans apporter du neuf. Raté.
Libération
Boursouflé, tapageur et grandiloquent, le documentaire-megamix de Brett Morgen consacré à la star anglaise noie le spectateur dans une débauche d’images, de musique et de citations aussi vaine que confuse.