Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Virtuose et élégant, le nouveau film de Matthias Glasner, subtilement situé entre Michael Haneke et Ruben Östlund, suit la plongée en enfer d’une famille hantée par ses névroses. Une œuvre aussi cynique et drôle que dramatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Avec la Partition, Matthias Glasner signe une œuvre ample et singulière où le mélodrame côtoie la comédie transclasse et intergénérationnelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Matthias Glasner met en scène sans concession une famille qui ne parvient pas à s’aimer. Un choc filmé en cinq chapitres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Un jeu de portrait ciselé et précis, qui permet à de très beaux acteurs de livrer une partition magistrale. M. Glasner fait des merveilles à partir de situations dont ressort un L. Eidinger flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La chronique d’une famille aussi mal en point que désunie. Un film parsemé de scènes fortes, portées par des acteur·rices au meilleur de leur forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
[...] cette chronique dispersée entre des parents en bout de course et leurs enfants passablement névrosés s’autorisant des excès de ton, de dialogues, de situations assez ahurissants, grotesque au max, singulièrement glauques et divertissants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Par un geste peut-être trop généreusement expressif, le film a du mal à se canaliser, à installer une cohésion, qui plus est sur une durée aussi longue. Contrairement au "Tár" de Todd Field, qui choisissait de se concentrer, jusqu’à une fascinante asphyxie, sur le point de vue de la cheffe d’orchestre interprétée par Cate Blanchett, "La Partition" donne la voix à tous et assume son côté choral, dont la sincérité confère un côté attachant, malgré ses quelques défauts.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Un film puissant sur ces choix qui façonnent nos vies, nos solitudes, nos agonies.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ici, ni pathos plombant ni cynisme envers les personnages pour lesquels le film parvient à susciter l’empathie, mais une fascinante exploration des rapports humains et familiaux où s’invite un humour noir bienvenu.
Le Monde
par Cl. F.
Pendant trois heures, en quatre mouvements, cette Partition sèche et explosive va démêler les fils d’existences meurtries, en compagnie d’acteurs excellents. Son mouvement avance, de débordements chauds comme la lave à la froideur stupéfiante des sentiments. Dans la veine du feu d’artifice Toni Erdmann (2016) de Maren Ade, à ce jour inégalé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Parfois insoutenable de réalisme mais dominé par un savoureux humour noir.
Première
par Thierry Chèze
Un geste audacieux primé pour son scénario à Berlin. Conseil d’ami (bis) : laissez- vous embarquer, vous ne regretterez pas le voyage !
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Camille Brun
À la limite de la complaisance pour la noirceur, ce drame y échappe grâce à ses acteurs impressionnants et à un scénario qui, s'il joue sur la crispation du spectateur, parvient à tenir en haleine.
Télé Loisirs
par Camille Brun
À la limite de la complaisance pour la noirceur, ce drame y échappe grâce à ses acteurs impressionnants et à un scénario qui, s'il joue sur la crispation du spectateur, parvient à tenir en haleine.
Télérama
par Jacques Morice
Le film est long (trois heures) mais on ne voit pas le temps passer. Le réalisateur parvient bien à maintenir la tension, ajoutant au fil des séquences des touches pour enrichir, nuancer, compléter la psyché de ces personnages, pas forcément sympathiques, mais fascinants dans leurs conflits, leur manière de s’enfermer ou de favoriser une réconciliation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
Loin toutefois de se laisser traverser par une structure rayonnante apte à ouvrir des brèches, la fresque valorise in fine le cocon familial sur le mode de la série, en célébrant la continuité générationnelle au-delà de la rupture et en optant pour des cadrages vus et revus.
aVoir-aLire.com
Virtuose et élégant, le nouveau film de Matthias Glasner, subtilement situé entre Michael Haneke et Ruben Östlund, suit la plongée en enfer d’une famille hantée par ses névroses. Une œuvre aussi cynique et drôle que dramatique.
L'Humanité
Avec la Partition, Matthias Glasner signe une œuvre ample et singulière où le mélodrame côtoie la comédie transclasse et intergénérationnelle.
Le Figaro
Matthias Glasner met en scène sans concession une famille qui ne parvient pas à s’aimer. Un choc filmé en cinq chapitres.
Les Fiches du Cinéma
Un jeu de portrait ciselé et précis, qui permet à de très beaux acteurs de livrer une partition magistrale. M. Glasner fait des merveilles à partir de situations dont ressort un L. Eidinger flamboyant.
Les Inrockuptibles
La chronique d’une famille aussi mal en point que désunie. Un film parsemé de scènes fortes, portées par des acteur·rices au meilleur de leur forme.
Libération
[...] cette chronique dispersée entre des parents en bout de course et leurs enfants passablement névrosés s’autorisant des excès de ton, de dialogues, de situations assez ahurissants, grotesque au max, singulièrement glauques et divertissants.
Culturopoing.com
Par un geste peut-être trop généreusement expressif, le film a du mal à se canaliser, à installer une cohésion, qui plus est sur une durée aussi longue. Contrairement au "Tár" de Todd Field, qui choisissait de se concentrer, jusqu’à une fascinante asphyxie, sur le point de vue de la cheffe d’orchestre interprétée par Cate Blanchett, "La Partition" donne la voix à tous et assume son côté choral, dont la sincérité confère un côté attachant, malgré ses quelques défauts.
L'Obs
Un film puissant sur ces choix qui façonnent nos vies, nos solitudes, nos agonies.
Le Journal du Dimanche
Ici, ni pathos plombant ni cynisme envers les personnages pour lesquels le film parvient à susciter l’empathie, mais une fascinante exploration des rapports humains et familiaux où s’invite un humour noir bienvenu.
Le Monde
Pendant trois heures, en quatre mouvements, cette Partition sèche et explosive va démêler les fils d’existences meurtries, en compagnie d’acteurs excellents. Son mouvement avance, de débordements chauds comme la lave à la froideur stupéfiante des sentiments. Dans la veine du feu d’artifice Toni Erdmann (2016) de Maren Ade, à ce jour inégalé.
Ouest France
Parfois insoutenable de réalisme mais dominé par un savoureux humour noir.
Première
Un geste audacieux primé pour son scénario à Berlin. Conseil d’ami (bis) : laissez- vous embarquer, vous ne regretterez pas le voyage !
Télé 2 semaines
À la limite de la complaisance pour la noirceur, ce drame y échappe grâce à ses acteurs impressionnants et à un scénario qui, s'il joue sur la crispation du spectateur, parvient à tenir en haleine.
Télé Loisirs
À la limite de la complaisance pour la noirceur, ce drame y échappe grâce à ses acteurs impressionnants et à un scénario qui, s'il joue sur la crispation du spectateur, parvient à tenir en haleine.
Télérama
Le film est long (trois heures) mais on ne voit pas le temps passer. Le réalisateur parvient bien à maintenir la tension, ajoutant au fil des séquences des touches pour enrichir, nuancer, compléter la psyché de ces personnages, pas forcément sympathiques, mais fascinants dans leurs conflits, leur manière de s’enfermer ou de favoriser une réconciliation.
Cahiers du Cinéma
Loin toutefois de se laisser traverser par une structure rayonnante apte à ouvrir des brèches, la fresque valorise in fine le cocon familial sur le mode de la série, en célébrant la continuité générationnelle au-delà de la rupture et en optant pour des cadrages vus et revus.