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Jipéhel
58 abonnés
277 critiques
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1,5
Publiée le 18 avril 2023
Plus lourd, tu meurs !
1,2 millions d’entrées en 2020 avec le 1er volet, pourquoi pas remettre le couvert ? C’est en tout cas ce que se sont dit d’un commun accord Ludovic Bernard et ses producteurs. Et, 96 minutes après, on apprend à nos dépends ce que c’est que du sous-cinéma. Après son licenciement, Antoine, ancien DRH d’une grande enseigne de bricolage, a choisi de rester à la maison pour s’occuper de ses 4 enfants. Un nouveau travail qu’il effectue la plupart du temps seul, car sa femme Isabelle est très occupée par sa nouvelle activité d’avocate. Depuis deux ans dans la famille Mercier, les rôles ont donc clairement été inversés et Antoine commence à de moins en moins tenir le coup face à l’énergie que lui demande sa petite famille. Voilà pourquoi 10 jours de vacances à la montagne s’annoncent comme une aubaine pour le père au foyer qu’il est devenu. Hélas, une affaire inespérée pour le cabinet d’Isabelle tombe du ciel. Elle n’a pas d’autres solutions que de laisser Antoine partir 10 jours au ski seul avec les 4 enfants, et surtout : sans maman ! Lors de la sortie du film précédent, j’écrivais : comédie poussive, Ludovic Bernard a décidé de pousser très loin les limites de la putasserie. Je ne changerai donc pas une virgule à mon jugement un tantinet abrupt d’il y a 3 ans. On avait eu les Mercier à la maison, voici les Mercier à la montagne… on redoute déjà les Mercier à la plage. A éviter de toute urgence. Si L’ascension et Au bout des doigts étaient honorables, là on replonge dans les abysses les plus profondes de la nullité made in France. Alors donc, on prend les mêmes et on recommence. Papa poule et dépassé, maman… absente, les 4 enfants insupportables – on les achèterait pour les taper -, les gags éventés, un soupçon de social pour la caution morale, et surtout, des personnages totalement caricaturaux. Côté cinéma, c’est vite fait, il n’y en a pas. Difficile de faire pire, malgré quelques clins d’œil à certains films comme Camping, Les Bronzés ou Shining de Kubrick. Même le casting s’ennuie.
Franck Dubosc ne se donne même plus la peine de faire du Dubosc. Aure Atika en fait des tonnes, à sa décharge, elle n’a rien à défendre tant son rôle est transparent. Swann Joulin, Violette Guillon, Ilan Debrabant et Evan Paturel, campent les enfants qu’on rêve de ne pas avoir et font une magnifique pub pour la méthode Ogino et l’IVG. Alexis Michalik cabotine à fond et Hélène Noguerra n’en n’a pas le temps, on doit la voir durant deux plans de 20 secondes. Qui a dit qu’il ne pouvait pas y avoir un minimum de prétentions dans un divertissement familial ? Ludovic Bernard.
J'ai vraiment adoré ce film car spoiler: meme apres avoir lu les commentaires qui etaient plutot negatifs je m'attendais vraiment a pire mais moi et ma famille nous avons bien rigole. Je conseille ce film surtout aux personnes entre 5 et 70 ans
Ludovic Bernard récidive avec la même équipe pratiquement dans les péripéties d'un père de famille, joué par Franck Dubosc, de la comédie sortie il y a 2 ans. Malgré quelques petits clins d’œil à des films cultes tels "les Bronzés font du ski" ou même "Shining", certes toujours amusants, je dois reconnaître que F Dubosc revient d'avantage à une prestation du niveau des "Camping" que de la belle surprise de "Rumba la vie" où il avait brillé, en tant que comédien ET réalisateur. Ici, nous retrouvons un scénario poussif, très lourd, qui frise la mièvrerie dans les attitudes avec son épouse Isabelle ( Aure Atika ) ou Laure ( Annelise Hesme ). On aurait pu l'intituler : "Maman j'ai encore raté un film"..... Fuyez cette pantalonnade....!!**
"10 jours encore sans maman" est la suite de "10 jours sans maman", se déroulant deux ans plus tard pendant des vacances de ski. Cependant, ce film est en dessous de son prédécesseur déjà médiocre, n'offrant rien de nouveau ou d'intéressant. L'humour tenté est lourd et devient insupportable, avec les enfants étant constamment désagréables et insolents. Le père est présenté comme une victime, rendant le film encore plus désagréable à regarder. Malheureusement, l'humour tombe à plat, et les références à des films cultes comme "Camping" et "Shining" sont forcées et n'apportent pas de fraîcheur. La performance de Franck Dubosc est unidimensionnelle et ne met pas en valeur son talent comique habituel. Les performances des jeunes acteurs sont également maladroites, à l'exception de l'apparition brève de Ragnar Le Breton.
Premier avis de film que je fais et il est MAUVAIS. Prévisible, attendu, indigeste et encore ce sont des mots FAIBLES, mais pas autant que Dubosc dans cette prestation. (Son acting est bon, le rôle lui est insupportable)
Aucun personnages est attachant, rien n’est hilarant, j’ai même eu du mal à esquisser un léger sourire. Si un humour enfantin basé sur du caca-pipi-prout est votre domaine, allez y les yeux fermés. Dans le cas ou votre humour se veut plus travaillé fuyez le. (je souhaite preciser que j’ai l’humour assez facile et oui, il peut m’arriver de rigoler à certaines blagues enfantines, mais JAMAIS à ce niveau)
Il y a eu une scène interéssante sur la moto-neige, gachée par le cours de l’histoire qui remet Dubosc face à une situation plus génante et plus insoutenable pour le yeux. J’avoue avoir quitté la salle, je n’étais pas le premier.
Je tiens à préciser que mon avis n’engage que moi. Et le film qui se veut burlesque peut convenir aux familles.. Enfin pas toutes.
Je n’avais pas vu en salle le numéro un de « 10 jours sans maman » (2020). Vaguement regardé à la télévision ces derniers jours (programmation en prime time qui sent l’accompagnement marketing !) mais je somnolais, disons que ça n’a pas réussi à retenir mon attention et donc éveillé.
D’une manière générale, je ne goute pas trop aux pitreries confiées à Franck Dubosc dans les comédies. Enfin, ça fait de moi un spectateur presque neuf, pas trop influencé ni en bien ni en mal par le premier opus. Je me garderai donc bien d’une comparaison : mieux, pas mieux, pareil, différent…
Ce que je ressens c’est qu’une fois posé le sujet, ce type de scénario est difficile à alimenter et les répétitions de situations censées être cocasses vont se répéter. Les catastrophes, les situations inconfortables, le petit dernier qui fait caca dans sa culotte (plusieurs fois !), les ados et pré-ados qui se disputent et se chamaillent sans arrêt quand ils ne sont pas les yeux rivés sur leurs portables (et même quand…), ce qui « les rend cons » (c’est dans les dialogues !).
Ce n’est que du cinéma mais les mêmes dans la vraie vie il y aurait quelques claques qui se perdraient : merci Caroline Goldman, la psychologue qui entent libérer les parents de toute l’opprobre que l’évolution des mœurs sociales a cultivée. Ils ont comploté nos enfants ? Ce n’est pas possible autrement !
Seul passage intéressant et cinématographiquement nouveau sur le plan des affres et douleurs parentales, l’intervention d’un voyageur à bord du TGV dans la scène de début de ce départ en vacances à la neige « sans maman ». J’attendais avec impatience de le revoir plus loin dans une scène de clôture, pourquoi pas ? spoiler: Mais non, on ne le reverra pas ! Dommage.
Le numéro un ne remonte pas à si longtemps que ça. Cela signifierait-il qu’il y ait un filon à exploiter pour justifier ce « encore » ? Pour moi, promis, juré, en tant que spectateur il n’y aura de nouvel « encore » !
Je comprends les critiques sur le film. Mais n'ayant pas vu le 1er je trouve se film relativement sympathique même si les blagues sont prévisible ça reste dans le thème de Dubosc.
Film tres sympathique j'ai passe un bon moment leger et en même temps personnages attachants . Bon au debut j'avoue on dirait que les enfants ont 0 éducation c'est ridicule. Après c'est une comédie familiale honnête sans prétention. Merci . Bien pour mettre son cerveau en off.
Je n'en attendais rien et je n'ai pas été déçu. Tous les acteurs sont mauvais, le scénario écrit en 2 jours. Des dialogues inutiles, Dubosc cabotine, il doit glisser au moins 10 fois dans le film. Bref digne des plus mauvais téléfilms.
Déjà, la bande "annonce" le dérapage : le père poissard (alias Dubosc) qui ne tient pas debout, et n'arrive pas à relever l'humour avec des blagues trop attendues. De plus, les enfants qui veulent aller au ski (en guise d'intro jusque là c'est bien), mais se chamaillent et râlent une bonne partie du film, et c'est vraiment pénible. "Faites des gosses" comme on dit ? A croire qu'il y a un message pour les parents en montrant que si vous n'éduquez pas vos enfants, ça donne ce résultat... mais là c'est abusé. Heureusement, l'histoire reste bien ficelée et les scènes s'enchainent bien (notamment celle avec le montagnard solitaire). Ce second volet sans maman n'est pas ennuyeux, mais pas drôle nous plus, juste histoire de s'évader l'esprit à la montagne.
comédie familiale sympathique , la famille décalé néanmoins attachante pour de nouvelle aventures dans la station de luxe de Courchevel , gags assurés, bons moments