Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Parisien
par La rédaction
Malgré quelques ralentissements dans la deuxième partie du film, on rit beaucoup dans cette suite enlevée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par Charlotte Marsal
Une suite divertissante.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une comédie au scénario cousu de fil blanc mais qui fonctionne grâce à son lâcher-prise général et son humour burlesque, porté par l’abattage de Franck Dubosc.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Nicolas Didier
En d’autres termes, 10 jours encore sans maman finit par véhiculer un fantasme d’homme célibataire, qui va à l’encontre du sujet. Le film n’ayant, alors, plus rien à raconter, Dubosc en est réduit à un laborieux one-man-show burlesque, entre chutes à ski et accidents de motoneige.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On pourra dire qu’il s’agit d’un divertissement familial sans prétention. Mais qui a décrété qu’il ne pouvait pas y avoir un minimum de prétentions dans un divertissement familial ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Première
par François Léger
Le changement de décor ne suffit pas à renouveler les péripéties autour de ce papa dépassé, et Franck Dubosc fait ce qu'il peut avec un scénario dont les seules idées sont de le faire chuter à tout-va (avec des skis, sans skis, en motoneige... Vous voyez le genre). Absolument épuisant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Malgré quelques ralentissements dans la deuxième partie du film, on rit beaucoup dans cette suite enlevée.
CNews
Une suite divertissante.
Le Journal du Dimanche
Une comédie au scénario cousu de fil blanc mais qui fonctionne grâce à son lâcher-prise général et son humour burlesque, porté par l’abattage de Franck Dubosc.
Télérama
En d’autres termes, 10 jours encore sans maman finit par véhiculer un fantasme d’homme célibataire, qui va à l’encontre du sujet. Le film n’ayant, alors, plus rien à raconter, Dubosc en est réduit à un laborieux one-man-show burlesque, entre chutes à ski et accidents de motoneige.
La Voix du Nord
On pourra dire qu’il s’agit d’un divertissement familial sans prétention. Mais qui a décrété qu’il ne pouvait pas y avoir un minimum de prétentions dans un divertissement familial ?
Première
Le changement de décor ne suffit pas à renouveler les péripéties autour de ce papa dépassé, et Franck Dubosc fait ce qu'il peut avec un scénario dont les seules idées sont de le faire chuter à tout-va (avec des skis, sans skis, en motoneige... Vous voyez le genre). Absolument épuisant.