Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
La maîtrise de sa trame narrative, son sens du rythme et de la réplique transcende son propos, balaye les doutes et nous offre un récit bouleversant où nostalgie rime avec inventivité.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Malgré les faiblesses d’un scénario qui s’écroule à la fin, "La Légende d’Ochi" est une petite merveille pour les yeux, et un plaisir pour toute personne qui aime les univers remplis d’étranges bestioles et de douce candeur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Tourné dans les montagnes des Carpates avec des animatroniques et non des effets numériques, cette rencontre du troisième type évoque E.T. (1982), de Steven Spielberg, par sa grâce, sa pureté, sa douceur, sa délicatesse, sa beauté et sa poésie.
Si la structure et les codes du film fondateur des popcorn movies des années 1980 sont bien là [...], « La légende d’Ochi » rafraichit le genre par son ton tout en nuances et sa forme à la fois sombre et poétique. Soit un vrai film d’auteur populaire pour toute la famille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Plaisant à regarder et joliment étrange donc, parfois trop hystérique et bruyant, LA LÉGENDE D’OCHI met du temps à atteindre son rythme de croisière mais le trouve dans sa seconde moitié où, enfin, les sentiments prennent le dessus sur l’exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'intrigue fait fortement penser à celle d'"E.T." et explore des thématiques universelles similaires telles que l'empathie et l'acceptation de l'autre.
Conte d’heroic fantasy, le premier long métrage d’Isaiah Saxon se démarque par son identité visuelle, mêlant contemporanéité, folklores européens et images surannées. Cet écrin enchanté ne suffit toutefois pas à faire oublier un récit programmatique.
En privilégiant une approche artisanale dans la conception des effets spéciaux et dans les techniques d'animation (animatroniques et peinture sur cache), le réalisateur affiche une ambition formelle exigeante et soignée au détriment du scénario souvent inégal.
Rien de révolutionnaire dans ce scénario, récit initiatique d’une jeune fille s’émancipant d’un monde dominé de génération en génération par des hommes. Mais le charme opère par le côté suranné de la réalisation (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce monde magique (l’image est somptueuse) et les grands thèmes enfantins du récit (il faut sauver E.T. ) contrastent avec la cruauté du sous-texte. Pas de répit pour l’Homme, et encore moins pour le père. On a bien compris que ce film était une ode à l’intelligence des Ochi. Était-ce une raison pour écrire des personnages humains aussi monolithiques ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Plutôt qu'être une œuvre pour enfants (avec la fraîcheur et la féérie que cela suppose), "La Légende d'Ochi" semble donc s'adresser à un public de hipsters voulant revisiter avec nostalgie les spielbergeries de leurs jeunes années.
À trop resserrer l’intrigue sur une poignée de personnages principaux et à ramener toute la thématique au concept de famille, sans grande originalité, cette « Légende » devient banale, manquant à la fois de rythme pour tenir en haleine les enfants et d’une réflexion plus poussée pour intéresser leurs accompagnants.
Si l'aspect visuel du film étonne et intrigue, ce n’est pas avec ce conte d’héroïque fantaisie moderne que Hollywood poussera la fantasy dans ses retranchements les plus excitants et novateurs.
Sous couvert d’un récit qui prône le respect des espèces sauvages et de la nature, A24 propose surtout l’une de ses œuvres les plus aseptisées, et prête à vendre des goodies sans âme à défaut de planter le virus de la cinéphilie dans le cœur de jeunes spectateurs.
Abus de Ciné
La maîtrise de sa trame narrative, son sens du rythme et de la réplique transcende son propos, balaye les doutes et nous offre un récit bouleversant où nostalgie rime avec inventivité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une ode à l’enfance et aux monstres apprivoisés d’un monde réconcilié.
Ecran Large
Malgré les faiblesses d’un scénario qui s’écroule à la fin, "La Légende d’Ochi" est une petite merveille pour les yeux, et un plaisir pour toute personne qui aime les univers remplis d’étranges bestioles et de douce candeur.
Femme Actuelle
Un récit classique, mais porté par des images fortes, un rythme soutenu, une certaine originalité.
Le Dauphiné Libéré
Le bébé Ochi, adorable croisement entre un gobelin espiègle et un sage miniature à la Yoda, est une merveille de design et d’expressivité.
Le Journal du Dimanche
Tourné dans les montagnes des Carpates avec des animatroniques et non des effets numériques, cette rencontre du troisième type évoque E.T. (1982), de Steven Spielberg, par sa grâce, sa pureté, sa douceur, sa délicatesse, sa beauté et sa poésie.
Le Parisien
Une pépite inclassable et magnifique pour toute la famille.
Paris Match
Si la structure et les codes du film fondateur des popcorn movies des années 1980 sont bien là [...], « La légende d’Ochi » rafraichit le genre par son ton tout en nuances et sa forme à la fois sombre et poétique. Soit un vrai film d’auteur populaire pour toute la famille.
Voici
Ode écolo au dialogue entre les espèces, ce film invoque le cinéma des années 1980 et charme par la force poétique de ses images.
CinemaTeaser
Plaisant à regarder et joliment étrange donc, parfois trop hystérique et bruyant, LA LÉGENDE D’OCHI met du temps à atteindre son rythme de croisière mais le trouve dans sa seconde moitié où, enfin, les sentiments prennent le dessus sur l’exercice de style.
Diverto
Attention ! Objet cinématographique certes identifié mais qui échappe totalement aux normes du genre fantastique tel qu’Hollywood aime à l’utiliser.
L'Ecran Fantastique
L'intrigue fait fortement penser à celle d'"E.T." et explore des thématiques universelles similaires telles que l'empathie et l'acceptation de l'autre.
Le Figaro
Les influences d’E.T L’extraterrestre, des Gremlins et des Goonies se font malheureusement trop ressentir.
Le Monde
Film à l’étrange atmosphère paré de décors somptueux, La Légende d’Ochi en donne une version modernisée qui redonne toute sa place au féminin.
Les Fiches du Cinéma
Conte d’heroic fantasy, le premier long métrage d’Isaiah Saxon se démarque par son identité visuelle, mêlant contemporanéité, folklores européens et images surannées. Cet écrin enchanté ne suffit toutefois pas à faire oublier un récit programmatique.
Positif
En privilégiant une approche artisanale dans la conception des effets spéciaux et dans les techniques d'animation (animatroniques et peinture sur cache), le réalisateur affiche une ambition formelle exigeante et soignée au détriment du scénario souvent inégal.
Première
Rien de révolutionnaire dans ce scénario, récit initiatique d’une jeune fille s’émancipant d’un monde dominé de génération en génération par des hommes. Mais le charme opère par le côté suranné de la réalisation (...).
Télé 2 semaines
"La Légende d’Ochi" offre un spectacle atypique et artisanal. On regrette que le récit sombre parfois dans l’hystérie au détriment de l’émotion.
Télé Loisirs
[...] un grand spectacle atypique et artisanal. On regrette juste que le récit sombre parfois dans l'hystérie au détriment de l'émotion.
Télérama
Ce monde magique (l’image est somptueuse) et les grands thèmes enfantins du récit (il faut sauver E.T. ) contrastent avec la cruauté du sous-texte. Pas de répit pour l’Homme, et encore moins pour le père. On a bien compris que ce film était une ode à l’intelligence des Ochi. Était-ce une raison pour écrire des personnages humains aussi monolithiques ?
L'Obs
Entre merveilleux spielbergien et médiévalisme arty, une aventure esthétiquement intrigante mais peu convaincante.
Mad Movies
Plutôt qu'être une œuvre pour enfants (avec la fraîcheur et la féérie que cela suppose), "La Légende d'Ochi" semble donc s'adresser à un public de hipsters voulant revisiter avec nostalgie les spielbergeries de leurs jeunes années.
Nice-Matin
À trop resserrer l’intrigue sur une poignée de personnages principaux et à ramener toute la thématique au concept de famille, sans grande originalité, cette « Légende » devient banale, manquant à la fois de rythme pour tenir en haleine les enfants et d’une réflexion plus poussée pour intéresser leurs accompagnants.
aVoir-aLire.com
Si l'aspect visuel du film étonne et intrigue, ce n’est pas avec ce conte d’héroïque fantaisie moderne que Hollywood poussera la fantasy dans ses retranchements les plus excitants et novateurs.
Les Inrockuptibles
Sous couvert d’un récit qui prône le respect des espèces sauvages et de la nature, A24 propose surtout l’une de ses œuvres les plus aseptisées, et prête à vendre des goodies sans âme à défaut de planter le virus de la cinéphilie dans le cœur de jeunes spectateurs.