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stillpop
81 abonnés
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2,0
Publiée le 23 mai 2011
L'histoire d'une fille d'un tel romantisme qu'elle n'existerait pas aujourd'hui. Heureusement d'ailleurs ! Vous prenez toutes les situations abracadabrantes et pittoresque des feuilletons allemands et américains de l'après midi dans nos campagnes télévisées, vous rajoutez une pointe de costumes, de budget (enfin pas trop non plus), et vous faites arriver votre héroïne juive en plein débarquement nazi à Paris. Vous avez compris, le propos mélodramatique est tellement forcé, les situations tellement caricaturales, et la présence de Johnny Depp en cavalier tsigane est tellement saugrenue que ce film est un immense navet. On peut juste souligner qu'aucun réalisateur avant cette grande romantique niaise n'avait réussi à aussi bien photographier Ricci. C'est d'ailleurs la seule raison qui m'a fait rester devant Cinéma Premier. L'eau de rose, c'est mieux dans les livres, personne n'est obligé de continuer après la dixième page, il n'y a pas l'étrange visage de Christina.
Très poétique et musicale (Trop ?). Les thèmes abordés sont prenants mais tout se passe en silence, en supposition, en légèreté. Dommage que la photographie soit bien trop studio, les interprétations limites (voir fatigantes) et des longueurs incroyables. Tout juste un petit 1.5/5 pour ce petit film !!!
Casting 4 étoiles (Ricci et Deep en tête). Une histoire superbement mise en images. Peu de dialogues, beaucoup de choses suggérées. Une musique envoutante. Vraiment beau. A voir, malgré les critiques assassines.
Sally Potter nous montre dans ce film dramatique les atrocités de la guerre avec les conflit et les propos racistes quelle peut entrainé. Avec une belle brochette d'acteurs tant pour les premier que les second rôles ce film est a voir.
Un des films qui a changé ma vie (surtout grâce au jeu de Johnny Depp), plein de grâce et de beauté, des acteurs qui savent jouer; un thème plutôt courant mais bien exploité. La BO est superbe aussi. Je le recommande.
Soyons honnêtes d'emblée : "The Man Who Cried" n'est en rien le passionnant film historique qu'il aurait pu être, et c'est d'autant plus regrettable que cette histoire retraçant le destin d'une immigrée Russe à travers l'Angleterre, la France et les Etats-Unis paraissait propice à de belles choses. Le film manque ainsi clairement de rythme, de souffle et de magie pour nous séduire totalement, le contexte historique n'étant lui qu'à moitié exploité. Et que dire de ces fautes stylistiques récurrentes de la part de Sally Potter, que ce soit d'un point de vue sonore ou visuelle... Pourtant, et ce malgré un nombre de défauts conséquents donc, le film conserve un certain charme, notamment grâce à une singularité le rendant parfois vraiment étonnant. En effet, que ce soit dans sa manière de filmer Paris ou les différentes relations entre les personnages, Potter arrive régulièrement et même avec une certaine aisance à s'émanciper des conventions du genre, certaines scènes étant il est vrai plutôt réussies. A noter également un casting pour le moins étonnant (Christina Ricci et Cate Blanchett en Russes, John Turturro en Italien et Johnny Depp en Tzigane, si ce n'est pas de l'éclectisme, ça!) mais globalement convaincant... "The Man Who Cried" reste ainsi une légère déception car dôté de lacunes trop importantes à combler, mais n'en demeure pas moins une oeuvre plutôt atypique et même assez attachante. Une curiosité.
Un film qui s'éparpille dans tous les sens, uniquement pour émouvoir le plus possible le spectateur. Mais à trop vouloir en faire, "The Man Who Cried" s'enlise dans la lassitude et ne dégage aucune émotion.
Beau film mais à la réalisation manquant clairement de puissance, l'ensemble manque d'âme et de grandeur heureusement que l'interprétation rattrape le tout (le personnage de Turturro est intéressant). Le film va parfois un peu vite sur certains points (comme l'enfance) et ce n'est jamais totalement prenant de plus seule la scène finale comporte de l'émotion.