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Gras Alain
1 abonné
7 critiques
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2,0
Publiée le 3 février 2024
Mal écrit, camééra ennyeuse, scénario sans consistance, humour à deviner,, l'idée de départ était bonne mais cela se résume à un dialogue mère fils, le milieu est presque inecistant
Un film vide de sens ! La bande annonce semblait présenter un film assez drôle, et en même temps je me suis demandée si je n'en avais pas tout vu. Effectivement, n'allez pas plus loin ! Il n'y a rien à voir de plus. Ce que l'on vous montrera n'aura que très peu de valeur ajoutée. Cela ne donnera pas plus de saveur au film et vous auriez pu éviter de perdre de votre temps, ô combien, ! De nombreuses scènes ajoutées dont on ne connaît pas la conclusion, l'objectif semblant être d'atteindre le format de long métrage.
2 bons interprètes parfaitement impuissants à insuffler un intérêt quelconque au film. On s’ennuie et on attend,hélas en vain, qu’un évènement dans la vie des 2 personnages fasse démarrer le film. Le sujet était pourtant bon et d’actualité.
Film vraiment bon. Une histoire fantastique remplie de moments drôles, émouvants et même touchants accompagnés par une réalisation exceptionnelle. Un trés beau film à voir en ce début d'année 2024 dans les salles obscures.
Pour Agnès Jaoui (qui va recevoir un César d’Honneur pour l’ensemble de sa carrière), je suis allé voir « Le dernier des juifs » de Noé Debré dont c’est le premier long-métrage (2023). Bellisha (Michael Zindel) a 27 ans mais mène une vie de retraité ne dépassant pas les limites de son quartier de banlieue parisienne. Il vit chez sa mère Giselle (Agnès Jaoui) qui ne sort pas spoiler: car elle présente une insuffisance rénale chronique mais qui a perçu que la communauté juive de son quartier s’étiolait. Elle veut déménager mais Bellisha n’en a pas très envie, et il lui fait croire qu’il est solidement intégré dans la vie active. Ne connaissant pas les codes du judaïsme, je n’ai probablement pas pu gouter tout le sel de cette comédie mais j’ai souri à plusieurs reprises devant les facéties de ce nouveau jeune acteur avec son air hébété et rêveur. Agnès Jaoui est magistrale dans un rôle émouvant et le film se laisse regarder avec plaisir baignant dans la nostalgie d’un pays (l’Algérie ?) où les communautés vivaient en osmose. Un film d’autant plus sain que sortant dans le contexte international que nous subissons.
Très pénible. Un pauvre garçon, qui ne sait et ne veut rien faire, se traine, inutile, tout au long du film en mentant à tous et tout d'abord à sa mère. Le fait qu'il soit juif fait un peu rire au début ceux qui se sentent concernés (et auxquels les codes évoquent quelque chose) puis traine en longueur (les rires cessent assez vite). S'il était breton ou auvergnat, ça ne ferait pas une ligne, nulle part. spoiler: Et Quand sa mère meurt, il finit dans la rue...
Un film fait de bienveillance et malgré tout, la sauce n’a pas pris, du en partie au scénario qui n’a pas réussi à se renouveler dans la forme, ce qui a réussi à m’ennuyer à un certain moment. Dommage car ce film n’a rien de déshonorant, loin de là.
Sur un ton badin, mine de rien le sujet aborde le communautarisme. Juif ici, comme l'annonce le titre éponyme. Lorsque qu'est abordé avec délicatesse et sans aucune animosité, chacun s'autorisera à en sourire. Cette communauté n'est en effet pas la dernière à pointer ses travers. Notamment la manière dont elle est parfois engluée (ce n'est pas la seule !) dans certaines traditions. Comment résumer tout cela sans trop en révéler ? Il est évidemment nécessaire de spoiler car c'est davantage un film qui se regarde plus qu'il ne se raconte. Ce qui suit est retranscrit à peu-près des dialogues, peut-être pas au mot près mais dans l'esprit. spoiler: «La mère à son fils. A 27 ans, il est temps que tu te maries. Pas forcément avec une juive (car il n'a manifestement pas trouvé, peut-être pas trop cherché non plus). Mais surtout pas avec une musulmane. Sauf si c'est une Marocaine ! » « Dans l'agence qui organise l'Alya, le retour en Israël : y a t'il encore beaucoup de membres de la communauté autour de vous (c'est qu'on est dans le 93 où les épiceries cacher ferment les unes après les autres au profit du halal, ce qui dans le rituel alimentaire est pratiquement la même chose). Non, on est les derniers. Ce sont des Maghrébins alors ? Non, c'est surtout des noirs. Ah ? En Israël il y a aussi beaucoup de noirs. Mais ce sont des noirs juifs (répété deux fois) » . Un fond qui aurait sans doute pu être davantage caustique en poussant la caricature avec des personnages davantage hauts en couleur. Comme l'impression que c'est à dessein que le réalisateur et scénariste a voulu se retenir. Pour ne pas froisser ? Pour ne pas prêter à la critique ? Le fond est en effet glissant pour qui serait malintentionné. Procès qu'on ne doit pas faire ici. Un film de genre s'il en est avec ce qu'il faut d'audace, mais pas davantage.
On est pris dans une histoire de petites gens, eux-mêmes pris dans la tourmente de notre époque, derniers vestiges d'une société pluriculturelle et populaire qui a sombré, mais dont il reste la trace nostalgique. Le personnage du fils, acharné à ne pas rentrer lans la vie adulte comme si cela devait le protéger du malheur et celui de la mère si attachante : on sort de la salle touchés par la tendresse et le regret d'une époque plus douce. Magnifiques comédiens et excellent scénario
Flop! Insipide...les acteurs sont à côté et si mous... J'attends le moment de rire, ou de pleurer mais rien, il semble que les seuls bons moments soient dans les brefs passages lors de la bande annonce. Je suis déçue, je m'attendais à un film brillant.