Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Pablo Patarin
Loin de poser ses personnages en victimes, ce premier long métrage dit l’antisémitisme aussi bien que l’entraide et le vivre-ensemble, tout en touchant à l’universel par la question du deuil. Presque malgré lui, Bellisha apporte la paix autour de lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par É.S.
Le Dernier des juifs, c'est Le Livre de ma mère version film de banlieue. C'est surtout une bonne histoire juive, c'est-à-dire une tragédie racontée à la façon d'une comédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un film drôle et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Sur un air de musique klezmer et servi par deux formidables comédiens, le propos est drôle, sincère et profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Cette comédie secouante s'impose comme la plus belle révélation du début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Tour à tour drôle et grave, le premier film de Noé Debré s'empare de questions épineuses pour mieux sonder la profonde solitude de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Sur cette vue en coupe de la judéité française plane le souvenir d’un melting-pot banlieusard black-blanc-beur-juif dont le film semble à la fois porter le deuil et tenter de construire le réveil, le tout dans un contexte politique à l’écho éminemment douloureux mais qui, fort heureusement, n’intimide pas sa part de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une comédie audacieuse et très réussie.
Ouest France
par Pascale Vergereau
Une pépite de drôlerie et de mélancolie.
Positif
par Yann Tobin
Ce premier long métrage de Noé Debré se distingue par la finesse de son écriture, qui déboulonne les clichés sans jamais verser dans l’angélisme, faisant passer quelques idées sur le racisme ou l’antisémitisme avec drôle rie et sans prêchi-prêcha.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une chronique drôle, émouvante, mélancolique. Noé Debré décrit la fin d’un monde où l’amitié quotidienne et les relations de voisinage prévalaient, malgré les tensions, sur les antagonismes géopolitiques.
Télé Loisirs
par A. A. B.
Michael Zindel et Agnès Jaoui portent avec grâce ce duo touchant dans une comédie qui s'empare brillamment d'un sujet très actuel.
Télérama
par Marie Sauvion
Première réalisation de Noé Debré qui sonde la judéité et les préjugés avec humour et finesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une comédie qui fait du bien grâce à son habileté à parler de sujets graves sans se prendre au sérieux ni égratigner personne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Burlesque et lunaire, Michael Zindel donne une vie simple à un menteur marrant aux idées saugrenues, dans une comédie douce absurde, sur fond de judaïsme loufoque. Agnès Jaoui est épatante, évidemment.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le scénariste Noé Debré, avec un sens aiguisé du dialogue et du comique de situation, et beaucoup d’esprit, traite du racisme et de l’antisémitisme dans ce premier film tourné avant le 7 octobre mais étonnamment prémonitoire, qui bat en brèche les clichés (Bellisha a pour dulcinée une musulmane mariée).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cette comédie teintée de mélancolie sur le départ des juifs des quartiers populaires porte, avec une légèreté appréciable dans le contexte actuel, un message de réconciliation entre les communautés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La loufoquerie et la dinguerie s’en vont bras dessus bras dessous dans ce duo mère-fils comique, bourré d’amour et d’absurdité.
Le Monde
par J. Ma.
Un acteur, un personnage et un réalisateur sont ainsi gracieusement posés sur un fil de funambule, qui évoquent tant le Jean-Pierre Léaud des Baisers volés (1968), de François Truffaut, que le Claude Melki de L’amour c’est gai, l’amour c’est triste (1971), de Jean-Daniel Pollet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
La stratégie du miroir grossissant, arme comique par excellence, n’est pas celle que retient Noé Debré pour s’emparer d’un sujet qui fait généralement s’allumer les warnings, préférant s’en remettre à un art inégal mais méritant de la décongestion en douceur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
A travers l’itinéraire de cet anti-héros Noé Debré prend à bras le corps la violence sociale et culturelle qui plombe nos sociétés. Et à l’habituel circuit fermé, le cinéaste répond par une ouverture d’esprit d’une réelle intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Loin de poser ses personnages en victimes, ce premier long métrage dit l’antisémitisme aussi bien que l’entraide et le vivre-ensemble, tout en touchant à l’universel par la question du deuil. Presque malgré lui, Bellisha apporte la paix autour de lui.
Le Figaro
Le Dernier des juifs, c'est Le Livre de ma mère version film de banlieue. C'est surtout une bonne histoire juive, c'est-à-dire une tragédie racontée à la façon d'une comédie.
Le Parisien
Un film drôle et attachant.
Le Point
Sur un air de musique klezmer et servi par deux formidables comédiens, le propos est drôle, sincère et profond.
Les Echos
Cette comédie secouante s'impose comme la plus belle révélation du début d'année.
Les Fiches du Cinéma
Tour à tour drôle et grave, le premier film de Noé Debré s'empare de questions épineuses pour mieux sonder la profonde solitude de ses personnages.
Les Inrockuptibles
Sur cette vue en coupe de la judéité française plane le souvenir d’un melting-pot banlieusard black-blanc-beur-juif dont le film semble à la fois porter le deuil et tenter de construire le réveil, le tout dans un contexte politique à l’écho éminemment douloureux mais qui, fort heureusement, n’intimide pas sa part de légèreté.
Marianne
Une comédie audacieuse et très réussie.
Ouest France
Une pépite de drôlerie et de mélancolie.
Positif
Ce premier long métrage de Noé Debré se distingue par la finesse de son écriture, qui déboulonne les clichés sans jamais verser dans l’angélisme, faisant passer quelques idées sur le racisme ou l’antisémitisme avec drôle rie et sans prêchi-prêcha.
Sud Ouest
Une chronique drôle, émouvante, mélancolique. Noé Debré décrit la fin d’un monde où l’amitié quotidienne et les relations de voisinage prévalaient, malgré les tensions, sur les antagonismes géopolitiques.
Télé Loisirs
Michael Zindel et Agnès Jaoui portent avec grâce ce duo touchant dans une comédie qui s'empare brillamment d'un sujet très actuel.
Télérama
Première réalisation de Noé Debré qui sonde la judéité et les préjugés avec humour et finesse.
aVoir-aLire.com
Une comédie qui fait du bien grâce à son habileté à parler de sujets graves sans se prendre au sérieux ni égratigner personne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Burlesque et lunaire, Michael Zindel donne une vie simple à un menteur marrant aux idées saugrenues, dans une comédie douce absurde, sur fond de judaïsme loufoque. Agnès Jaoui est épatante, évidemment.
L'Obs
Le scénariste Noé Debré, avec un sens aiguisé du dialogue et du comique de situation, et beaucoup d’esprit, traite du racisme et de l’antisémitisme dans ce premier film tourné avant le 7 octobre mais étonnamment prémonitoire, qui bat en brèche les clichés (Bellisha a pour dulcinée une musulmane mariée).
La Croix
Cette comédie teintée de mélancolie sur le départ des juifs des quartiers populaires porte, avec une légèreté appréciable dans le contexte actuel, un message de réconciliation entre les communautés.
Le Dauphiné Libéré
La loufoquerie et la dinguerie s’en vont bras dessus bras dessous dans ce duo mère-fils comique, bourré d’amour et d’absurdité.
Le Monde
Un acteur, un personnage et un réalisateur sont ainsi gracieusement posés sur un fil de funambule, qui évoquent tant le Jean-Pierre Léaud des Baisers volés (1968), de François Truffaut, que le Claude Melki de L’amour c’est gai, l’amour c’est triste (1971), de Jean-Daniel Pollet.
Libération
La stratégie du miroir grossissant, arme comique par excellence, n’est pas celle que retient Noé Debré pour s’emparer d’un sujet qui fait généralement s’allumer les warnings, préférant s’en remettre à un art inégal mais méritant de la décongestion en douceur.
Première
A travers l’itinéraire de cet anti-héros Noé Debré prend à bras le corps la violence sociale et culturelle qui plombe nos sociétés. Et à l’habituel circuit fermé, le cinéaste répond par une ouverture d’esprit d’une réelle intelligence.