AlloCiné
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Votre avis sur The Covenant ?
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Voilà probablement le meilleur film d'Amazon. Ce film de guerre, tiré de faits réels, montre une équipe de soldat en Afghanistan, aidé par un interprète traquer les talibans. Un piège va décimer toute la compagnie excepté du sergent et de l'interprète. Celui-ci va alors tout faire pour aider et transporter le soldat américain gravement blessé à travers son pays et ses dangers.
Très très belle mise en scène et histoire tout simplement bouleversante.
Bref : un sacré courage pour ces hommes de l'ombre est à comprendre.
Très très belle mise en scène et histoire tout simplement bouleversante.
Bref : un sacré courage pour ces hommes de l'ombre est à comprendre.
On ne retrouve pas la patte de Guy Richie dans ce film de guerre somme tout conventionnel mais relativement bien fait. Divisé en deux parties, « The Covenant » perd quelque peu de son intensité en abordant la deuxième mais c’est sans compter sur Jake Gyllenhaal et Dar Samil, que je découvre ici pour la première fois, lesquels emballent de leur charisme respectif une histoire qui n’a malheureusement pas su trouver son public, ni fait l’objet d’une diffusion en salles dans de nombreux pays. Il est temps de lui donner une seconde chance.
Film émouvant , superbement interprété par les deux protagonistes principaux.
Il y'a tout de même quelques longueurs et des clichés sur les Américains 'chevaliers blancs'.
Une pensée pour tous ces interprètes qui sont morts ou qui se cachent en Afghanistan...
4/5
Il y'a tout de même quelques longueurs et des clichés sur les Américains 'chevaliers blancs'.
Une pensée pour tous ces interprètes qui sont morts ou qui se cachent en Afghanistan...
4/5
Très bon film d'action divertissant et plus original que la plupart des films dans ce genre. Les deux volets du films qui se répondent mettent efficacement en scène les deux personnages principaux, animés par une haute estime de leur promesse et de leur honneur, ce qui les rends très sensible et ajoute de la profondeur à un film qui aurait pu être banal. Mention spéciale pour l'acteur Dar Salim, impressionnant de charisme.
Super film. Totalement inconnu jusqu ici. Je suis très étonné de ce film. C'est vraiment prenant , une super histoire.
Avant de commencer je tiens à préciser que je suis un fan inconditionnel de Guy Ritchie et de Jake Gyllenhaal mais il faut être honnête avec soi même et son ressenti.
Impossible de mettre moins de 2,5/5, la BO est impeccables, les plans de vues sont souvent magnifiques, et tous les acteurs font le taff. Mais impossible de mettre plus que 2,5/5 car pour moi il n'y a rien de "plus" à dire. Le genre de guerre n'est pas compatible avec la patte de Guy Ritchie, il a abordé le film avec une approche très réaliste mais ce n'est malheureusement pas son fort car les émotions sont restées bloquées sur les feuilles de script et ne circulent pas. Le film manque évidement de rythme sur la seconde partie, mais surtout manque de caractère / de chien sur TOUTE SA DURÉE. Tout est lisse, il n'y a pas d'aspérité, pas de surprise, les scènes d'actions sont bien filmées mais elles ne nous mettent jamais en haleine.
À l'image de cette scène finale qui est belle visuellement mais ennuyante car attendue à des kilomètres.
Gros bémol aussi :Les personnages secondaires, qui n'apportent tellement rien aux films en terme d'émotions (la famille d'Ahmed et la famille de John en particulier) si ils avaient été filmés hors-champ et que l'on entendait juste leur voix ça aurait presque mieux desservi nos deux héros.
Même la relation entre les deux héros est assez plate finalement, on essaie de tout faire passer dans les gestes et le regard, mais le spectateur reste imperméable aux émotions qu'ils sont censés véhiculer.
Là où dans un registre beaucoup plus dramatique Kathryn Bigelow m'avait noué les tripes avec son film Démineurs, ce Covenant ne dégage rien à part de beaux plans de vue, et sera malheureusement très vite oublié..
Belle tentative de la part de Mr. Ritchie cependant, mais espérons qu'il s'en tienne à ses points fort pour ses prochains films
Impossible de mettre moins de 2,5/5, la BO est impeccables, les plans de vues sont souvent magnifiques, et tous les acteurs font le taff. Mais impossible de mettre plus que 2,5/5 car pour moi il n'y a rien de "plus" à dire. Le genre de guerre n'est pas compatible avec la patte de Guy Ritchie, il a abordé le film avec une approche très réaliste mais ce n'est malheureusement pas son fort car les émotions sont restées bloquées sur les feuilles de script et ne circulent pas. Le film manque évidement de rythme sur la seconde partie, mais surtout manque de caractère / de chien sur TOUTE SA DURÉE. Tout est lisse, il n'y a pas d'aspérité, pas de surprise, les scènes d'actions sont bien filmées mais elles ne nous mettent jamais en haleine.
À l'image de cette scène finale qui est belle visuellement mais ennuyante car attendue à des kilomètres.
Gros bémol aussi :Les personnages secondaires, qui n'apportent tellement rien aux films en terme d'émotions (la famille d'Ahmed et la famille de John en particulier) si ils avaient été filmés hors-champ et que l'on entendait juste leur voix ça aurait presque mieux desservi nos deux héros.
Même la relation entre les deux héros est assez plate finalement, on essaie de tout faire passer dans les gestes et le regard, mais le spectateur reste imperméable aux émotions qu'ils sont censés véhiculer.
Là où dans un registre beaucoup plus dramatique Kathryn Bigelow m'avait noué les tripes avec son film Démineurs, ce Covenant ne dégage rien à part de beaux plans de vue, et sera malheureusement très vite oublié..
Belle tentative de la part de Mr. Ritchie cependant, mais espérons qu'il s'en tienne à ses points fort pour ses prochains films
Un bon divertissement qui joue la carte du sérieux mais qui accumule des invraisemblances qui peuvent déranger ceux qui comme moi peuvent être tatillons sur des aspects techniques et de nombreux détails.
spoiler:
On reconnaît trop parfois les paysages du nouveau Mexique et pas assez ceux de l'Afghanistan bien que je comprenne l'impossibilité d'avoir tourné le film là-bas ou dans les pays voisins, au point que si on fait un peu attention, les paysages du lieu de résidence de John Kinley aux USA sont les mêmes que ceux des scènes en Afghanistan, le fait qu'il serait impossible de parcourir les reliefs escarpés en évitant les routes pour un homme chargé de transporter un blessé avec une Charette rudimentaire (d'ailleurs bien que le film nous rappelle que Ali évite les routes, on constate qu'il est systématiquement sur un sentier, ou une route), le manque de réalisme de l'embuscade avec des règles d'engagement étranges et la facilité déconcertante qu'on les Américains pour éliminer les talibans avec des tirs mortels quasi systématiques, les scènes de combats au corps à corps ou les types meurent sèchement d'un étranglement de 15 secondes ou de 4-5 coups de couteaux (les coups de couteaux provoquent des lésions et des hémorragies mortelles mais rarement une mort immédiate sauf si le coeur est atteint), un égorgement de Ali sur un taliban qui pour les mêmes raison est irréaliste et "éteint" littéralement et en silence le taliban, la manière déconcertante avec laquelle John passe inaperçu avec une veste en daim et un pantalon de marines seulement en tournant le dos à des patrouilles de talibans et en mettant un foulard sur la tête, l'utilisation improbable d'un A130 par des mercenaires, la grenade que dégoupille John à la fin qui met 15 secondes à exploser spoiler:
ce genre de petits détails donc qui font vite comprendre aux plus perspicaces qu'il s'agit d'une fiction et non d'un récit réel.
Mais dans l'ensemble, le film aborde des facettes de la guerre d'Afghanistan concernant les interprètes qu'il est important de montrer et qui n'ont à ma connaissance jamais été abordés et pourtant ce sont 70 000 interprètes Afghans qui ont obtenu un visa américain entre 2008 et 2021, ce qui est loin d'être anecdotique.
spoiler:
On reconnaît trop parfois les paysages du nouveau Mexique et pas assez ceux de l'Afghanistan bien que je comprenne l'impossibilité d'avoir tourné le film là-bas ou dans les pays voisins, au point que si on fait un peu attention, les paysages du lieu de résidence de John Kinley aux USA sont les mêmes que ceux des scènes en Afghanistan, le fait qu'il serait impossible de parcourir les reliefs escarpés en évitant les routes pour un homme chargé de transporter un blessé avec une Charette rudimentaire (d'ailleurs bien que le film nous rappelle que Ali évite les routes, on constate qu'il est systématiquement sur un sentier, ou une route), le manque de réalisme de l'embuscade avec des règles d'engagement étranges et la facilité déconcertante qu'on les Américains pour éliminer les talibans avec des tirs mortels quasi systématiques, les scènes de combats au corps à corps ou les types meurent sèchement d'un étranglement de 15 secondes ou de 4-5 coups de couteaux (les coups de couteaux provoquent des lésions et des hémorragies mortelles mais rarement une mort immédiate sauf si le coeur est atteint), un égorgement de Ali sur un taliban qui pour les mêmes raison est irréaliste et "éteint" littéralement et en silence le taliban, la manière déconcertante avec laquelle John passe inaperçu avec une veste en daim et un pantalon de marines seulement en tournant le dos à des patrouilles de talibans et en mettant un foulard sur la tête, l'utilisation improbable d'un A130 par des mercenaires, la grenade que dégoupille John à la fin qui met 15 secondes à exploser spoiler:
ce genre de petits détails donc qui font vite comprendre aux plus perspicaces qu'il s'agit d'une fiction et non d'un récit réel.
Mais dans l'ensemble, le film aborde des facettes de la guerre d'Afghanistan concernant les interprètes qu'il est important de montrer et qui n'ont à ma connaissance jamais été abordés et pourtant ce sont 70 000 interprètes Afghans qui ont obtenu un visa américain entre 2008 et 2021, ce qui est loin d'être anecdotique.
Avec ce film de guerre, Guy Ritchie s'éloigne de son fond de commerce. Au point de devoir placer son nom dans le titre ("Guy Ritchie's The Covenant", en vo) pour s'assurer que c'est bien le sien? On ne l'aurait pas deviné non plus! Toujours est-il que le film est bien exécuté, aborde le sujet rare et courageux des interprètes de guerre et présente un duo d'acteurs principaux assez exceptionnel. Il faut voir Gyllenhaal et Salim s'arracher l'un pour l'autre pour y croire! Même si l'ensemble tombera inévitablement dans l'oubli (c'est déjà fait, vous dites?), Ritchie n'a pas à en rougir!
Guy Ritchie nous livre un de ses films les plus sérieux. Ici il n'est pas question de l'expression de son style, qu'il a épuré. Le réalisateur a tout fait pour mettre en valeur l'histoire qui était entre ses mains. C'est plutôt propre, bien dosé, avec un bon thème original. Quelques lourdeurs ci et là mais Jake est toujours impeccable. Les interprêtes, ceux du film et les vrais, sont justes. Le scénario, bien orchestré, met en valeur la trahison etats-unienne envers ses personnels paramilitaires, traducteurs, chauffeurs et autres, suite au retrait grotesque et grandiloquent sans solution de protection ou d'évacuation de ces derniers. Un des meilleurs films sortis directement sur plateforme.
FRERES D'AMES. Seul les morts voient la fin de la guerre. Dar Salim l'interprète ideal d'un état de crasse. Des armes pour le plaisir, des armes qu'il faut caresser, dévisagent, défigurent . Léo Ferré a aimé et moi donc.
Guy Ritchie s’attaque au film du genre guerre , mais pourquoi ?! Absolument pas son registre et tellement risqué ! Mais finalement merci Guy ! Tu es rentré directement dans le top 5 des films du genre ! On est pas loin du chef d’œuvre, le film m’a carrément rappelé «du sang et des larmes», inspiré de faits réels, le duo jake gyllenhaal - Dar Salim (que je découvre) vous scotch , le film n’a clairement pas eu le buzz qu’il méritait, c’est dispo sur Amazon, faites vous plaisir.
The Covenant - Ou comment Guy Ritchie a décidé d'ajouter une touche de badass à la diplomatie
On débarque dans "The Covenant" comme dans un FPS sans tutoriel. On a le sergent John Kinley, joué par Jake "l'homme qui a survécu à un tas d'apocalypses" Gyllenhaal, et son acolyte, Ahmed, qui est un peu l'Aladdin des zones de guerre. Après une mission qui a mal tourné, nos deux compères se retrouvent à jouer à cache-cache avec des talibans. C'est là que tu te dis que la diplomatie, c'est pas juste des poignées de main et des dîners chics.
On va pas se mentir, la relation entre Kinley et Ahmed, c'est un peu le mix improbable entre "Brokeback Mountain" et "Rambo". Une dette d'honneur, ça se rembourse pas avec des chèques, mais avec des balles. Les deux se retrouvent dans un buddy movie à la sauce guerre, et c'est plus explosif que le dernier Marvel. On sent que Guy Ritchie a décidé de faire péter les clichés comme s'il s'agissait de pétards le 14 juillet.
La première partie du film, c'est un peu le "Bear Grylls Challenge" version hardcore. Kinley et Ahmed sont seuls, paumés, avec un tas de méchants à leurs trousses. C'est là que tu te dis que MacGyver aurait dégainé son couteau suisse et construit une machine à remonter le temps avec trois bouts de chewing-gum. Mais bon, nos gars, eux, ils préfèrent les flingues et les explosions. C'est peut-être moins utile pour ouvrir une canette de soda, mais ça a son charme.
Retour aux States, Kinley apprend que son pote Ahmed a plus de chance de décrocher un Oscar que d'obtenir un visa. Là, tu te dis que l'administration américaine, c'est pas Avengers, c'est la Ligue des Justiciers version paperasse. Kinley, plus déterminé qu'un gamer en quête de la fin du niveau, décide de retourner sur le terrain de jeu afghan pour sauver son pote. C'est là que la mission prend un tournant "Fast & Furious", mais avec moins de voitures et plus de sable.
Le film, c'est comme une partie de Call of Duty, mais en mieux. Les scènes d'action sont aussi intenses que la sortie du dernier iPhone. Les balles sifflent, les explosions éclatent, et tu te demandes si Kinley et Ahmed ont signé pour ça en lisant le contrat. Les deux acteurs, Gyllenhaal et Salim, forment un duo plus soudé que Batman et Robin, et c'est pas peu dire. Entre répliques percutantes et moments d'intense camaraderie, tu te prends à espérer qu'ils auront un spin-off façon "L'Arme Fatale".
"The Covenant", c'est un peu comme si Quentin Tarantino avait décidé de réaliser un film de guerre. Ça saigne, ça explose, et les répliques font mouche comme un sniper dans la nuit. Guy Ritchie prend un virage à 180 degrés, et le résultat, c'est une bombe cinématographique. Entre action, humour noir et bromance guerrière, on en ressort avec l'envie de s'engager dans l'armée... ou de jouer à Call of Duty en boucle. Si la diplomatie pouvait toujours se régler à coups de flingues et de punchlines, le monde serait sans doute un endroit plus divertissant.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
On débarque dans "The Covenant" comme dans un FPS sans tutoriel. On a le sergent John Kinley, joué par Jake "l'homme qui a survécu à un tas d'apocalypses" Gyllenhaal, et son acolyte, Ahmed, qui est un peu l'Aladdin des zones de guerre. Après une mission qui a mal tourné, nos deux compères se retrouvent à jouer à cache-cache avec des talibans. C'est là que tu te dis que la diplomatie, c'est pas juste des poignées de main et des dîners chics.
On va pas se mentir, la relation entre Kinley et Ahmed, c'est un peu le mix improbable entre "Brokeback Mountain" et "Rambo". Une dette d'honneur, ça se rembourse pas avec des chèques, mais avec des balles. Les deux se retrouvent dans un buddy movie à la sauce guerre, et c'est plus explosif que le dernier Marvel. On sent que Guy Ritchie a décidé de faire péter les clichés comme s'il s'agissait de pétards le 14 juillet.
La première partie du film, c'est un peu le "Bear Grylls Challenge" version hardcore. Kinley et Ahmed sont seuls, paumés, avec un tas de méchants à leurs trousses. C'est là que tu te dis que MacGyver aurait dégainé son couteau suisse et construit une machine à remonter le temps avec trois bouts de chewing-gum. Mais bon, nos gars, eux, ils préfèrent les flingues et les explosions. C'est peut-être moins utile pour ouvrir une canette de soda, mais ça a son charme.
Retour aux States, Kinley apprend que son pote Ahmed a plus de chance de décrocher un Oscar que d'obtenir un visa. Là, tu te dis que l'administration américaine, c'est pas Avengers, c'est la Ligue des Justiciers version paperasse. Kinley, plus déterminé qu'un gamer en quête de la fin du niveau, décide de retourner sur le terrain de jeu afghan pour sauver son pote. C'est là que la mission prend un tournant "Fast & Furious", mais avec moins de voitures et plus de sable.
Le film, c'est comme une partie de Call of Duty, mais en mieux. Les scènes d'action sont aussi intenses que la sortie du dernier iPhone. Les balles sifflent, les explosions éclatent, et tu te demandes si Kinley et Ahmed ont signé pour ça en lisant le contrat. Les deux acteurs, Gyllenhaal et Salim, forment un duo plus soudé que Batman et Robin, et c'est pas peu dire. Entre répliques percutantes et moments d'intense camaraderie, tu te prends à espérer qu'ils auront un spin-off façon "L'Arme Fatale".
"The Covenant", c'est un peu comme si Quentin Tarantino avait décidé de réaliser un film de guerre. Ça saigne, ça explose, et les répliques font mouche comme un sniper dans la nuit. Guy Ritchie prend un virage à 180 degrés, et le résultat, c'est une bombe cinématographique. Entre action, humour noir et bromance guerrière, on en ressort avec l'envie de s'engager dans l'armée... ou de jouer à Call of Duty en boucle. Si la diplomatie pouvait toujours se régler à coups de flingues et de punchlines, le monde serait sans doute un endroit plus divertissant.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Histoire assez prenante et intéressante, la deuxième partie du film est cependant assez *molle" et fait retomber un peu l'intensité mise en place. Cependant, les acteurs jouent bien et la musique est bonne, ce n'est pas le film de l'année mais ça rste une bonne surprise!
Un effort considérable pour rester dans l'émotion sans sombrer dans la folie. Un rappel juste de ces hommes et femmes qui décident de se battrent contre l'enfer qui est né sur le même sol qu'eux.
Félicitations à Monsieur Ritchie. Ceci est un film bien réussi. Chapeau l'artiste
Félicitations à Monsieur Ritchie. Ceci est un film bien réussi. Chapeau l'artiste
Ce film est excellent Jake Gyllenhaal et Dar Salim,les acteurs principaux sont magistraux.
À voir !
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